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Septembre 2017. Exposition Monet collectionneur

Du 14 septembre 2017 au 14 janvier 2018 au musée Marmottan-Monet


Présentation de l’artiste

Voir Présentations d’Artistes de A à Z

Claude Monet (1840-1926), célèbre peintre français, est l’un des fondateurs de l’impressionnisme, avec Renoir et Pissarro.

Né à Paris, rue Laffitte, Claude Monet grandit au Havre où il se montre particulièrement précoce, virtuose et assidu au dessin, qu’il travaille avec Ochard, un ancien élève de David. Il commence sa carrière d’artiste en réalisant quelques caricatures, des "portraits-charges" de notables de la ville, qu’il place (et vend avec succès) dans la vitrine d’un papetier-encadreur, Gravier, par lequel il fera la connaissance du peintre Eugène Boudin.

Monet peint ses premiers paysages en 1858. Il en présente deux à l’exposition municipale des Beaux-Arts du Havre. Elles sont acceptées et présentées sous le même titre : "Paysage. Vallée de Rouelles".

En 1859, sur le conseil de Boudin, et avec l’aide financière de sa tante, elle-même peintre amateur, Monet part tenter sa chance à Paris dans le but de progresser dans son art et de rencontrer d’autres peintres. Il assiste à quelques cours dispensés par le Suisse Charles Gleyre, à l’école impériale des beaux-arts de Paris, réputée être au meilleur coût, et fréquente avec davantage d’assiduité les bars, où il fait la connaissance d’autres artistes et auteurs.

De même, aux cours de Gleyre, il avait sympathisé avec Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley et Frédéric Bazille, avec qui il allait entretenir une importante correspondance.

Monet rencontre aussi Johan Barthold Jongkind. Tiré au sort, le jeune peintre doit faire son sa période militaire en Algérie qui l’émerveille. À son retour, il remporte un vrai succès d’estime pour la qualité de ses peintures de la baie de Honfleur qu’il expose.

Claude Monet rencontre de favorables critiques au Salon de peinture et de sculpture de 1866, où il présente son tableau La Femme en robe verte, pour lequel avait posé son amie Camille Doncieux, qu’il épousera en 1870.

La Femme en robe verte, 1866

La vie du foyer durant quelques années est précaire, et l’horizon paraît d’autant plus bouché que la pétition lancée par de nombreux artistes pour qu’une exposition des œuvres refusées soit organisée est rejetée. Monet, dans le besoin, retourne peindre en Normandie dans sa famille à laquelle il cache l’existence de Camille.

Monet emprunte assez régulièrement de l’argent à ses amis, assez préférentiellement à Bazille, mais aussi à Manet, au docteur Bellio, à Gustave Caillebotte et à Ernest Hoschedé. Ses tableaux sont fréquemment saisis. Il commet une tentative de suicide en 1868.

En 1869, il s’installe à Bougival, et peint, en compagnie de Renoir, l’établissement des bains de la Grenouillère (Bain à la Grenouillère), inventant alors semble-t-il la technique de peinture impressionniste. Mais durant deux nouvelles années, toutes ses toiles sont refusées au salon sous le contrôle de Gérôme.

Le couple Monet doit de plus fuir la guerre de 1870 (Claude voulant éviter d’être enrôlé), s’installant momentanément à Trouville, ensuite à Londres, où le peintre fait la rencontre du marchand d’art Paul Durand-Ruel (qui devient sa principale source de revenus pendant le reste de sa carrière), puis plus tard aux Pays-Bas.

À Londres, il a retrouvé Pissarro. Il y admire les tableaux de Turner et de John Constable, impressionné par la virtuosité du premier à traiter la lumière, notamment pour ses rendus de brouillard sur la Tamise. Et il rencontre le peintre américain James Abbott McNeill Whistler, avec lequel il se lie d’amitié.

Impression soleil levant (1872)

Monet peint devant le modèle sur l’intégralité de sa toile dès les premières ébauches. Il retouche ensuite de nombreuses fois jusqu’à ce que le résultat le satisfasse. Contrairement à ce qu’il affirmait, il termine la plupart de ses toiles en atelier, prenant modèle sur les premières peintures d’une série pour peindre les autres.

Revenu à Paris, il est l’un des piliers de la première exposition des futurs impressionnistes, qui se tient en 1874, dans les ateliers de Nadar, au 35, boulevard des Capucines.

À la seconde exposition, il présente 18 toiles, pour lesquelles l’accueil critique est moins virulent et même bienveillant.

La même année, en 1876, il rencontre Ernest Hoschedé, un mécène qui lui achète des toiles... et fera quelque temps plus tard faillite, pour avoir spéculé sur les œuvres d’art. En 1878, ce dernier, sa famille et celle de Monet emménagent dans une maison commune à Vétheuil. La mort de Camille en 1879 et les nombreuses absences d’Ernest, conduisent au rapprochement de Monet et d’Alice Hoschedé.

Durant l’hiver rigoureux de 1880, et à la suite du décès de sa femme (qu’il peint sur son lit de mort), les tableaux de Monet ne font plus figurer aucun humain... Débâcles et Glaçons. Les variations de son style l’amènent même à ce que les autres impressionnistes rompent avec lui. En plus de représenter intensivement la Seine, Claude se rend régulièrement sur la côte normande pour peindre.

Camille sur son lit de mort, 1879

Au printemps, est organisée une exposition monographique avec 18 de ses œuvres, qu’il parvient si bien à vendre... qu’il en rembourse et solde même ses dettes.

En 1883, lui, ses deux enfants et la famille Hoschedé emménagent ensemble définitivement à Giverny, ce qui est perçu pour l’époque comme scandaeux. C’est sensiblement à partir de cette période que prennent enfin fin ses sempiternels ennuis d’argent, sa réputation évolue de façon très positive, et commence même pour lui une certaine aisance en progression jusqu’à la fin de son existence.

Séjours sur la Côte-d’Azur, avec Renoir. Ils visitent ensemble Cézanne à l’Estaque. Monet se rendra à Bordighera et à Menton, et émerveillé par les paysages, il peint une quarantaine de toiles représentant des sites comme les vallées de Sasso ou de la Nervia.

Monet commence aussi à tisser autour de lui un réseau de collectionneurs, à refuser l’exclusivité dont jouissait Durand-Ruel en ajoutant notamment à ce commerce le galeriste Georges Petit.

Il y exposera en 1889 avec Rodin "Rien que vous et moi", présentant 145 peintures et 36 sculptures, et s’investit la même année dans l’achat par souscription de l’Olympia de Manet dont il est fait don au Louvre.

À partir de 1890, Monet se consacre à des séries, genre qu’avait pratiqué Boudin, peignant le même motif à différentes heures de la journée, à diverses saisons. Peintre-orchestre, il peint parfois en parallèle plusieurs toiles, parfois simultanément plus d’une dizaine, passant de l’une à l’autre en fonction des "impressions" du moment.

Il commence ce type de productions par les Meules (dont il fait une vingtaine de versions), puis enchaînera successivement avec d’autres séries : les Peupliers, les Cathédrales de Rouen (28 versions), celle des Parlements de Londres et Les Nymphéas de son jardin, qu’il décline en grands formats dans un esprit décoratif.

Les peupliers, dans le vent

En 1891 dans la galerie parisienne de Durand-Ruel, l’exposition "Œuvres récentes de Claude Monet" propose 15 toiles des Meules, portant chacune le même titre, mais avec une précision temporelle. Vif succès auprès de la critique. Bonnes ventes.

En 1895, Monet se rendra en Norvège d’où il rapportera 28 toiles.

Plusieurs voyages à Londres lui permettent de travailler le fameux brouillard persistant si souvent sur la Tamise. Il reviendra avec une série de tableaux qu’il retouche jusqu’en 1904, et qu’il expose une fois de plus chez Durand-Ruel, remportant un très grand succès.

Depuis 1903, le jardin, son jardin, qu’il a tellement aménagé, creusant un plan d’eau aux nénuphars, faisant poser un pont japonisant, est devenu après la peinture sa deuxième passion. Monet résume sa vie ainsi de la meilleure manière : « Qu’y a-t-il à dire de moi ? Que peut-il y avoir à dire, je vous le demande, d’un homme que rien au monde n’intéresse que sa peinture - et aussi son jardin et ses fleurs ? »

Le peintre s’attaque aux Nymphéas et aux transparences, les reprenant, allant parfois jusqu’à les détruire, et finissant en 1909 à exposer quelque 48 toiles. Succès encore.

En 1908, Claude Monet se rend avec sa femme à Venise pour y peindre, mais il n’y réalisera pas de série.

Il sera très touché par le décès d’Alice Hoschedé qui survient et par une maladie, la cataracte, qui l’affecte dans son travail... et dans son caractère qui devient instable. Sur les conseils de son ami Georges Clemenceau, il acceptera avec réticence de supporter successivement plusieurs opérations, qui finalement lui permettront de recouvrer sa vue.

Il mènera alors enfin à son terme, après avoir repoussé le délai de remise autant qu’il eut pu, la commande d’État faite dix années auparavant 10 ans durant fébrilement par Clemenceau : les 19 grands panneaux des Nymphéas réalisés spécialement pour le musée de l’Orangerie qui les attendait...

Nymphéas, 1904

Claude Monet s’éteint à 86 ans d’un cancer des poumons.

S’il fut d’un caractère parfois difficile sur le tard, prompt à la colère comme au découragement, Claude Monet a été un travailleur acharné et exigeant qui n’hésitait pas à peindre en plein air par tous les temps.

Il a réalisé quelques-uns des tableaux les plus célèbres au monde : Impression soleil levant, et les Nymphéas, dans lesquels il cherche à retranscrire les transparences de l’air et de l’eau, et les jeux changeants de la lumière.

Il disait : « Plus je vais, plus je vois qu’il faut beaucoup travailler pour rendre ce que je cherche »

Présentation de l’exposition Monet Collectionneur

« Vous vous étonnez de ne voir chez moi que ma peinture et mes estampes japonaises ? … et pourtant, j’ai aussi ma collection.[…] Seulement, je suis un égoïste. Ma collection est pour moi seul… et pour quelques amis. […] Venez la voir ». (Marc Elder, À Giverny, chez Claude Monet, Paris, Bernheim-Jeune, 1924, p.70)

Claude Monet, le plus célèbre des peintres impressionnistes, fut aussi le plus secret de leurs collectionneurs.

Les chefs-d’œuvre qu’il a réunis tout au long de sa vie constitue pourtant un ensemble aussi rare qu’exceptionnel. À l’exception de ses estampes japonaises, on ignore les chefs-d’œuvre qu’il a réunis tout au
long de sa vie, et qui constituaient pourtant son panthéon artistique et sentimental.

Pierre-Auguste Renoir, Jeune Fille se baignant, 1892. Huile sur toile 81,3 x 64,8 cm. New York, The Metropolitan Museum of Art

Légataire universel du fils du peintre, dépositaire du premier fonds mondial d’œuvres de Claude Monet ainsi que de certaines œuvres de ses amis, le musée Marmottan Monet a entrepris de lever le voile sur cette passion privée avec l’exposition inédite "Monet collectionneur".

Reconstituer sa collection personnelle, en partie dispersée à sa mort et tombée depuis dans l’oubli, a nécessité de mener une étude approfondie pour que puisse à nouveau être rassemblé cet ensemble, comme d’établir dates et circonstances dans lesquelles peintures, dessins, sculptures entrèrent à Giverny.

Une centaine d’œuvres proviennent de Marmottan, mais d’autres des États-Unis, d’Amérique latine, du Japon ou d’Europe. Le Moma, Le Metropolitan Museum de New York, la National Gallery de Washington, les musées de Houston, de San Francisco, de Saint-Louis, le musée de Sao Paulo, le musée national d’art occidental et le Sompo Museum à Tokyo, le Stattsgalerie Stuttgart, le musée de Langmatt à Baden, le musée d’Orsay et le musée Rodin à Paris ainsi que plusieurs collections particulières ont accepté de prêter certains de leurs fleurons.

Paul Cézanne, Le Nègre Scipion, 1866-1868, Huile sur toile, 107 x 83 cm. São Paulo, Museu de Arte de São Paulo. Assis Chateaubriand. Don Henryk Spitzman-Jordan, Drault Ernanny de Mello e Silva, Pedro Luiz Correia e Castro et Rui de Almeida, 1950 – © João Musa

On retrouve Delacroix, Corot, Boudin, Jongkind, Manet, Renoir, Caillebotte, Cézanne, Morisot, Pissarro, Rodin, Signac et Toulouse-Lautrec, mais au-delà de ses grands noms, Monet nous fait aussi découvrir d’autres talents connus mais moins célèbres dont Paul Baudry, Carolus-Duran, Louis Chéret, Henri Fantin-Latour, Jean-Louis Forain, Constantin Guys, Jean-Jacques Henner, Charles Lhullier, Georges Manzana et Lucien Pissarro (l’un des deux fils de Camille Pissarro), et Gilbert de Séverac.

L’enquête retrace l’histoire de la collection et les détails de sa constitution. Durant sa jeunesse, Monet n’ai pas en mesure d’acheter la moindre œuvre d’art, et les peintures qu’il acquiert lui sont offerts : portraits de lui et de sa première épouse, Camille, peints par ses proches au temps du compagnonnage.

Camille Pissarro, Paysannes plantant des rames, 1891, Huile sur toile, 55 x 46cm, Sheffield, Museums Sheffield, prêt d’une collection privée © Sheffield, Museums Sheffield

Une imposante toile de Manet représentant le couple dans le bateau-atelier connu sous le titre Monet peignant dans son atelier (Stattsgalerie Stuttgart) est au cœur de cette section qui compte aussi de nombreuses toiles de Renoir dont Madame Monet et son fils au jardin (National Gallery, Washington).

Vient ensuite le temps des échanges et de la reconnaissance mutuelle. À Rodin, Monet offre une toile de Belle-Ile contre un bronze : Jeune mère à la grotte (Marmottan).

Le peintre possède également deux plâtres dont Bacchantes s’enlaçant dédicacée sur la base : « Au grand maître C. Monet, son ami Rodin » (collection particulière), l’une des découvertes de l’exposition, présentée pour la première fois au public.

Dans cette section, sont aussi montrées des œuvres de Caillebotte et de Berthe Morisot. Si certaines lui sont offertes de leur vivant par leur auteur, d’autres tels Chrysanthèmes, de Caillebotte (Marmottan) et Julie et Laërte de Berthe Morisot (Marmottan) sont reçues par le peintre en souvenir de ses amis défunts.

Monet porte alors le plus grand intérêt aux œuvres qui viennent enrichir sa collection. Il les sélectionne avec soin, comme Paysannes plantant des rames (Sheffield Museum) de Camille Pissarro que son auteur destinait initialement aux musées nationaux et que Monet choisit en remerciement de l’aide apportée à son ami dans le besoin pour l’achat de sa maison.

Dans les années 1890, quand la situation financière de Monet s’améliore, il acquiert davantage d’œuvres de ses prédécesseurs : aquarelles, pastels, dessins et peintures parmi lesquelles il faut citer Aricci, Palais Chigi, de Corot (musée Langmatt) et Rue en Avignon, de Jongking (Marmottan).

Monet se fournit même auprès des marchands de Renoir et de Cézanne, les deux artistes les mieux représentés dans sa collection. Il débourse d’ailleurs d’importantes sommes pour Baigneuse assise (Metroplitan museum, New York) et Mosquée. Fête arabe (musée d’Orsay) de Renoir. Parmi les nombreux Cézanne qu’il emporte, citons l’un de ses plus grands chefs-d’œuvre, Le Nègre Scipion (Museu de Arte, Sao Paulo) exceptionnellement prêté pour l’occasion.

Paul Cézanne, Neige fondante à Fontainebleau, 1879-1880, Huile sur toile, 73,5 x 100,7 cm, New York, The Museum of Modern Art. Don d’André Meyer, 373.1961 © 2017. Digital image, The Museum of Modern Art, New York/Scala, Florence

À partir de 1892, Monet acquiert également plusieurs portraits de la famille de sa seconde épouse, Alice Hoschedé. Les effigies de sa femme, de ses beaux-enfants et de leur père, Ernest Hoschedé, leurs sont offerts. Un portrait de son beau-fils Jacques Hoschedé enfant, peint par Manet en 1876 et intitulé Garçon dans les fleurs (Tokyo, musée national d’art occidental), sera au cœur d’une bataille judiciaire qui déchire la famille au lendemain de la mort d’Alice, révélant un aspect tout à fait méconnu de la vie de Monet.

Une large sélection d’estampes japonaises provient de la maison de Giverny. Considérée comme ayant peu de valeur à la mort du peintre, comme c’est aussi le cas des Nymphéas exposés dans leur continuité, ces œuvres resteront au domicile du peintre de nombreuses années tandis que les Corot, Cézanne, Manet et autres Renoir seront vendus au prix fort par le fils du peintre, Michel, dès 1927.

Pour la première fois depuis cette date, la collection dispersée de Claude Monet renait en son musée, le musée Marmottan Monet. Une exposition présentée comme un événement !

Commissaires : Marianne Mathieu, Adjointe au directeur, Chargée des collections du musée Marmottan Monet, et Dominique Lobstein, Historien de l’art.

Monet collectionneur, du 14 septembre 2017 au 14 janvier 2018, au musée Marmottan, 2, rue Louis-Boilly 75016 Paris. Métro La Muette, RER C Boulainvilliers. www.marmottan.fr. Ouvert du mardi au dimanche de 10 à 18h. Nocturne le jeudi jusqu’à 21h. Fermé le lundi, le 25 décembre, le 1er janvier et le 1er mai. 11 ou 7,50€. Gratuit aux enfants de moins de 7 ans.

Lire aussi nos archives :
Pourquoi si peu de Nymphéas à la rétrospective Monet du Grand Palais
Exposition-enquête sur Impression, soleil levant
Exposition Normandie, l’atelier en plein air des impressionnistes
Hodler / Monet / Munch : peindre l’impossible


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Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.

Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14

Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.

Dans la série Toutes les expositions 2017-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musées d’Orsay et de l’Orangerie, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, au Petit Palais, et au Château de Versailles.

Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016, 2015, 2014, 2013, 2012.

Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon : Saintes-Maries-de-la-Mer, L’Isle-sur-la-Sorgue - Bègles - Biarritz - Biot - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Cagnes-sur-Mer - Cannes - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco - Montauban - Montpellier - Mougins - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Ornans - Rennes : Landernau, Quimper - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire - Saint-Paul-de-Vence - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne

Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc, - Bâle - Berlin - Bruxelles - Genève - Liège - Londres - Madrid - Milan - Monaco - Venise

André Balbo

sources : Marmottan-Monet

Informations pratiques
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mercredi 3 juillet 2019,    Expositions