Nicolas Canteloup : Ne manquez pas son spectacle à Paris !

Le divin chauve est de retour et il n’est pas seul. Avec lui, une belle galerie des grands de ce monde, et des petits d’ailleurs pour lesquels il a une vraie affection, pour notre plus grand plaisir.

Connu du grand public depuis son arrivée au sein des Guignols de l’Info en 1995, Nicolas Canteloup est aujourd’hui l’un des imitateurs préférés des Français. Ses parodies de sportifs (Fabien Barthez, Richard Virenque, Aimé Jacquet) ou de personnalités politiques (Bayrou, Douste Blazy, Royal) lui ont ouvert les portes des radios où il sévit depuis plusieurs années. Et le public en redemande !

Popularisé par ses interventions sur le plateau de Michel Drucker, ainsi que par sa Revue de presque sur Europe 1, l’humoriste se produit également sur scène. Après Canteloup, y es-tu ? diffusé en prime time sur France 2, il s’est lancé dans une grande tournée à travers la France en 2008, avec son spectacle Deuxième Couche. Fort de ce succès, l’imitateur revient en 2011 avec un nouveau one-man show, Nicolas Canteloup n’arrête jamais, et de nouveaux sketchs ! Il les présentera notamment à Paris, sur la scène de l’Olympia, du 9 au 24 avril 2011. Prenez vos places en cliquant sur le bouton ci-dessous !

Nicolas Canteloup ne s’arrête jamais. Il le prouve une nouvelle fois avec un tout nouveau spectacle – en l’occurrence le 4e - qu’il enchaîne quelques mois seulement après son dernier triomphe sur scène. L’imitateur pastiche le monde politique, télévisé et culturel. Ce qu’il fait excellemment pour le plus grand plaisir des spectateurs, téléspectateurs ou auditeurs. Toutes ressemblances avec des personnalités existantes n’est pas du tout fortuite mais au contraire très travaillée. L’homme aux multiples voix des Guignols, le chroniqueur de Vivement Dimanche, le presque journaliste d’Europe 1, dans sa revue de presque est un artiste qui donne sa pleine mesure sur scène. Cavalier averti, n’en doutons pas qu’il a une nouvelle fois misée sur le bon cheval pour dérider les zygomatiques.