.evous
.evous > Paris > Vivre à Paris > Expositions à Paris - Archive

Paris 2016. TOUTES LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z


Le programme des expositions à Paris pour 2016 et 2017 n’est pas encore tout à fait complet.

Nouvellement en ligne :
Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris
PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z

Nous vous le présentons déjà, pour ce que nous en savons, du mieux possible, comme chaque année de A à Z (voir 2015, 2014, 2013, 2012, et 2011,).

Ces expositions sont classées par sujet, pour que chacun puisse y puiser ses miels personnels, et retrouver plus facilement ses préférences.


Accès direct : A - B - C - D - E - F - G - H - I - J - K - L - M - N - O - P - Q - R - S - T - U - V - W - X - Y - Z


Pour ceux d’entre vous qui savent s’organiser à l’avance, nous proposons une présentation en CALENDRIER 2016-2017 des grandes expositions à Paris, comme nous l’avions fait en 2015, 2014, 2013, 2012...

Ce programme mêle les événements commencés en 2015 et se poursuivant en 2016, et ceux, encore rares, déjà connus, tous neufs, de 2016.

Degas, Danseuses en bleu, pastel. Musée Pouchkine.

Il va évidemment s’enrichir considérablement au fil du temps, les responsables de musées hésitant parfois à dévoiler trop tôt des informations qu’ils souhaiteraient encore peaufiner, et des éléments varieront sans doute (modifications de titres ou de dates). Nos articles seront donc régulièrement complétés et remis à jour, et vos suggestions judicieuses seront toujours les bienvenues.

N’hésitez pas à participer à l’amélioration permanente de cette liste en nous indiquant les expositions que nous aurions pu oublier et qui vous paraîtraient présenter un intérêt particulier.

Nouveauté ! Vous pouvez aussi consulter maintenant une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, nos préférences, et les expositions qui fermeront bientôt leurs portes dans l’article : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Lire aussi le 1er DIMANCHE DU MOIS, pour ne rien rater de cette exceptionnelle journée mensuelle de gratuité, et d’accès libre aux collections permanentes.

***

Nous vous présentons également pour les villes françaises les plus actives en ce domaine leur programmation dès que nous en avons connaissance. Voir en fin d’article.

De même nous vous communiquons quelques expositions pour des villes d’Europe : Bruxelles, Genève, Bâle, Amsterdam, Londres, Madrid, Milan, et Venise.

***

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer.

Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, pour 2016 la sélection des meilleurs catalogues d’expositions de Paris, comme nous l’avons fait en (2015, 2014, 2013, 2012). Voir aussi : www.laffairedescatalogues.org.

***


1870-1871, l’Europe bascule. La naissance dramatique du couple franco-allemand, au musée de l’Armée. D’avril à juillet 2017.


A

Afrique (Chefs-d’œuvre d’). Dans les collections du musée Dapper, au musée Dapper . Du 30 septembre 2015 au 17 juin 2017.

Fang – Gabon. Figure de reliquaire. Musée Dapper, Paris © Archives musée Dapper – Photo Hugues Dubois.

Par leur ancienneté, leurs prestigieuses provenances (collections de Charles Ratton, Tristan Tzara, Paul Guillaume), la diversité des origines géographiques, les quelque 130 pièces majeures qui seront montrées n’ont souvent aucun équivalent dans le monde, telles certaines sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu), du Cameroun (Bangwa), du Bénin (Fon), ou du Mali (Dogon, Soninke).

Alberola (Jean-Michel), au Palais de Tokyo. Du 19 février au 16 mai 2016.

Almeida (Helena), Corpus, au musée du Jeu de Paume. Du 9 février au 22 mai 2016.

Peinture habitée, 1975 Collection Fundação de Serralves. Museu de Arte Contemporânea, Porto. Photo Filipe Braga © Fundação de Serralves Museu de Arte Contemporânea, Porto

Cette photographe, l’une des plus grandes artistes contemporaines portugaises, explore et remet en question les formes d’expression traditionnelles, la peinture en particulier, suivant un désir constant d’enfreindre l’espace délimité par le plan pictural. Une des figures majeures de la performance et de l’art conceptuel depuis les années 1970.

Américaine des années 1930 (La Peinture), au musée de l’Orangerie. Du 12 octobre 2016 au 30 janvier 2017.

Grant Wood, American Gothic, 1930 Photography © The Art Institut of Chicago

Amour (Esthétiques de l’), au musée du Quai Branly, Mezzanine Ouest. Du 3 novembre 2015 au 24 janvier 2016.

Anatomie d’une collection, au musée Galliera. Du 14 mai au 23 octobre 2016.

Avec un glissement progressif de l’Acte I à l’Acte II déclenché par l’irruption-surprise d’un créateur contemporain mystère au beau milieu de l’exposition. Un chamboule tout en quelque sorte !

Andre (Carl). Sculpture as place, 1958-2010 au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 17 octobre 2016 au 12 février 2017.

Animaux (Le Grand Orchestre des), à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain. Du 2 juillet 2016 au 8 janvier 2017.

Bernie Krause, bio-acousticien, scientifique et musicien américain, a collecté en 50 ans plus de 5 000 heures d’enregistrement sonore d’habitats naturels sauvages, terrestres et marins (15 000 espèces animales !). Une plongée exceptionnelle au cœur du monde secret des animaux.

Années 1980 (Les). L’insoutenable légèreté. Photographies, films, au Centre Pompidou, Galerie de photographies, Forum -1. Du 24 février au 23 mai 2016.

Martin Parr, New Brighton, Angleterre (de la série : The Last Resort), 1984 -1986

Apartés 2015, Isabelle Cornaro, Alain Della Negra, Kaori Kinoshita et Gyan Panchal, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 29 mai 2015 au 10 janvier 2016.

Apollinaire, le regard du poète, au musée de l’Orangerie. Du 5 avril au 18 juillet 2016.

Entre 1902 et 1918, lorsque Guillaume Apollinaire était un critique d’art actif et écouté.

Appel (Karel), au Centre Pompidou. Du 21 octobre 2015 au 11 janvier 2016.

Arabe (Première Biennale des photographes du monde), à l’Institut du Monde arabe associé à la Maison européenne de la photographie. Du 10 novembre 2015 au 17 janvier 2016.

Résolument ancrée dans le réel et tournée vers le XXIe siècle...

Araki, au musée Guimet. Du 13 avril au 5 septembre 2016.

Par le regard du grand photographe japonais Nobuyoshi Araki : les fleurs, la photographie comme récit autobiographique, sa relation avec son épouse Yoko, l’érotisme, le désir, mais aussi l’évocation de la mort.

Architecture balnéaire du XVIIIe au XXIe siècle. Tous à la plage, à la Cité de l’Architecture. Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017.

Art contemporain chinois / Un choix d’œuvres / Collection, à la Fondation Louis Vuitton. Galeries 4 à 10, niveaux 0, 1 et 2. Du 27 janvier au 5 septembre 2016.

Huang Yong Ping, né en 1954 à Xiamen. Vit et travaille à Paris. L’Arc de Saint-Gilles, 2015. Bois, fer, fibre de verre, poils de chien, feuille d’or 156 x 448 x 70 cm © ADAGP, Paris 2015. Courtesy de l’artiste et de la galerie kamel Mennour, Paris Photo : Fabrice Seixas

Complément à l’exposition temporaire "Bentu", un ensemble d’œuvres de 11 artistes chinois reconnus de la collection, au croisement de traditions interprétées dans la multiplicité des références utilisées aujourd’hui par les artistes, et d’une contemporanéité très futuriste.

Avec des œuvres de Ai Weiwei, Huang Yong Ping, Zhang Huan, Yan Pei-Ming, Xu Zhen, Yang Fudong, Cao Fei, Zhang Xiaogang, Tao Hui, Zhou Tao, Isaac Julien.

Art (L’) de la Paix. Trésors et secrets de la diplomatie, au musée du Petit Palais. Du 19 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

1 000 ans d’histoire de la paix : traités emblématiques, et un choix d’œuvres d’art exceptionnel, destinées à préparer les esprits et apaiser les rancœurs.

Art et liberté : rupture, guerre et surréalisme en Égypte (1938-1948), au Centre Pompidou. Galerie du musée, Niveau 4. Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Première exposition consacrée au groupe Art et Liberté (jama’at al-fann wa al-hurriyyah), qui a rassemblé autour de Georges Henein une constellation d’artistes, d’intellectuels et d’activistes résidant au Caire dans les années 1930 et 1940. Cette plate-forme hétérogène allait se révéler propice à de nombreuses réformes culturelles et politiques, et jouer un rôle actif au sein d’un réseau international dynamique d’intellectuels et d’artistes liés à la mouvance surréaliste.

À l’aube de la Seconde Guerre mondiale et dans une Égypte sous domination coloniale britannique, le groupe Art et Liberté s’inscrivait dans un projet culturel et politique international défiant fascisme, nationalisme et colonialisme.

Art moderne de la Ville de Paris (Musée d’) (Toutes les expositions 2016-2017 au)

Art Paris Art Fair, au Grand Palais. Du 31 mars au 3 avril 2016. Un aperçu de l’art de l’après-guerre à nos jours : expositions personnelles d’artistes avec Solo Show, création émergente avec le secteur Promesses pour les jeunes galeries, art numérique avec projections en extérieur.

Art pauvre (Un), au Centre Pompidou. Du 8 juin au 29 août 2016.

Les différentes pratiques artistiques à travers lesquelles s’est cristallisée la question du « pauvre » à partir des années 1960 : arts plastiques, avec l’Arte Povera, mais également musique, architecture, théâtre ou cinéma expérimental.

Arts décoratifs (Toutes les expositions 2016 au musée des)

Artiste et le pouvoir (L’), au musée du Louvre, la Petite Galerie, Richelieu. D’octobre 2016 à juin 2017.

Ascètes, sultans et maharadjahs, pages indiennes du musée Guimet, au musée Guimet. Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017.

Atelier en plein air (L’). Les impressionnistes en Normandie : Turner, Boudin, Monet, Renoir, Gauguin, Pissarro, Caillebotte, Signac..., au musée Jacquemart-André, du 18 mars au 25 juillet 2016.

Atelier, l’artiste photographié d’Ingres à Jeff Koons (Dans l’), au musée du Petit Palais. Du 5 avril au 17 juillet 2016.

Depuis sa création, la photographie n’a de cesse de pénétrer et d’explorer l’espace où s’élabore l’œuvre d’art.

AUA (Les Années), à la Cité de l’Architecture, Galerie d’architecture moderne et contemporaine. Du 28 octobre 2015 au 29 février 2016. L’Atelier d’urbanisme et d’architecture fut le pivot de la culture et de la profession en France durant un quart de siècle. Examen d’ensemble de la production de Jacques Allégret, Paul Chemetov, Henri Ciriani, Michel Corajoud, Jean Deroche, Jacques Kalisz, Georges Loiseau, Jean Perrottet et Jean Tribel.

Avedon (Vieux monde, New Look, la France d’), à la BnF, site Mitterrand. Du 18 octobre 2016 au 26 février 2017.

Richard Avedon (1923, New York - 2004, San Antonio, Texas) est un photographe de mode et un portraitiste américain dont les clichés ont conquis une célébrité et une reconnaissance internationales.

Du reportage photo (Vietnam) à la mode ou aux portraits noir et blanc de stars comme Marilyn Monroe, Brigitte Bardot ou Sophia Loren, il est reconnu comme un véritable artiste dont le succès est toujours d’actualité.

Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo, à l’Institut du Monde arabe. Du 14 novembre 2016 au 5 mars 2017.

De Sindbad le marin à Marco Polo, puis d’Ibn Battûta et Vasco de Gama jusqu’aux Compagnies des Indes orientales, d’extraordinaires récits de voyages ont conté la richesse des échanges maritimes entre les mers de l’Ancien Monde.

Cette exposition et son catalogue conduiront le visiteur et le lecteur au croisement de l’or d’Afrique et de l’argent d’Occident, des diamants de Golconde et des verreries de Venise, des porcelaines, des soieries et des épices venues de Chine et des Moluques.

>> Retour haut de la page >>

B

Balenciaga, l’œuvre au noir, au musée Bourdelle. Du 8 mars au 16 juillet 2017.

Balnéaires (Tous à la plage ! Naissance et évolution des stations), à la Cité de l’Architecture. Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017.

Balzac et les artistes : Gautier, Hugo, Lamartine, à la Maison de Balzac. De juin à octobre 2016.

Barbie, au musée des Arts décoratifs. Du 10 mars au 18 septembre 2016.

Barceló (Miquel). Sol y sombra, au musée Picasso. Du 22 mars au 31 juillet 2016.

Barceló (Miquel). Sol y sombra, à la BnF, site Mitterrand. Du 22 mars au 28 août 2016.

Cet artiste espagnol majorquin, associé au mouvement néo-expressionniste, s’est initialement consacré à la peinture et au dessin, puis dans les années 1990 à la sculpture et à la céramique, supports alternatifs de ses créations artistiques. On lui doit les décorations de la chapelle Sant Pere de la cathédrale de Palma de Majorque en 2007 et la coupole du Palais des Nations de l’ONU à Genève en 2008.

Pour cette exposition à la BnF, il créera tout spécialement des œuvres originales.

Baroque (Geste). Collections de Salzbourg, au musée du Louvre, Mollien. Du 20 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Baudelaire (L’œil de), au musée de la Vie romantique. Du 20 septembre 2016 au 29 janvier 2017.

Bauhaus (L’esprit du). L’objet en question, au musée des Arts décoratifs. Du 19 octobre 2016 au 26 janvier 2017.

Le Bauhaus, de 1919 à 1933, à Weimar, Dessau puis Berlin, fut une école où peintres, architectes, artisans, ingénieurs, acteurs, musiciens, photographes, designers travaillaient ensemble à une nouvelle conception de la vie quotidienne : rendre vie à l’habitat par la synthèse des arts plastiques, de l’artisanat et de l’industrie. Des professeurs aussi opposés que Johannes Itten et Laszlo Moholy Nagy y formèrent des élèves dont la photographe Florence Henry et l’architecte Marcel Breuer, pape du mobilier tubulaire.

L’exposition tente de capter cet esprit d’invention, de liberté, de création, de transmission que les grands artistes, architectes et designers qui l’ont fréquenté ont ensuite propagé tout au long du XXe siècle.

Elle revient sur les périodes et les formes d’art qui ont forgé l’esprit du Bauhaus parmi lesquelles le Moyen âge et les grands chantiers des cathédrales, les Arts asiatiques et les Arts de l’Islam, les Arts and Craft britanniques, qui abolissent toutes frontières entre art et artisanat...

La vie quotidienne de cette école, la transmission du savoir dans ses ateliers et l’organisation de la communauté artistique... alors que la dernière exposition d’envergure sur le Bauhaus date de 1969 !

Frédéric Bazille, La Robe rose, 1864. Huile sur toile, Paris, musée d’Orsay © Rmn-Grand Palais / msée d’Orsay / Hervé Lewandowski

Bazille (Frédéric), 1841-1870. La jeunesse de l’impressionnisme, au musée d’Orsay, espace Exposition Niveau 5. Du 15 novembre 2016 au 5 mars 2017.

Beat Generation, au Centre Pompidou. Du 22 juin au 3 octobre 2016.

Un vent de liberté et de désordre nous venait d’Amérique...

Beauté Congo (1926-2015). Congo Kitoko, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain. Du 11 juillet 2015 au 10 janvier 2016 (prolongation).

La production artistique congolaise, dans sa diversité et sa vivacité, de la naissance de la peinture moderne au Congo dans les années 1920 à aujourd’hui, mais avec ses musique, sculpture, photographie et bande dessinée.

Bébés animaux, à la Cité des sciences. Du 19 avril 2016 au 20 août 2017. Éléphanteau, poussin, ou delphineau, cette exposition pour les tout-petits fait découvrir le monde de 73 espèces, de leur naissance à leur autonomie. À faire debout ou à quatre pattes !

Beltrame (Louidgi), au Palais de Tokyo. Du 19 février au 16 mai 2016. SAM Art Projects.

Ben, au musée Maillol. Du 14 septembre 2016 au 15 janvier 2017.

Si Dieu est partout…, 1962 © Ben Vautier

Pour la réouverture du musée, resté fermé 18 mois, une exposition, venue en bonne partie du musée Tinguely de Bâle, du Suisse Ben Vautier, des bananes aux écritures, Fluxus, le rapport de l’artiste à l’art, à l’Histoire de l’art, à ses interrogations. Une partie, plus contemporaine, égrainera des moments inspirés de thèmes comme "petites idées", "nouvelles écritures", "photographie", "le temps", et même "la mort".

Bentu, des artistes chinois dans la turbulence des mutations, à la Fondation Louis Vuitton, Galeries 1, 2 et 3, rez-de-bassin. Du 27 janvier à fin avril 2016.

Liu Xiaodong, né en 1963 à Liaoning. Vit et travaille à Pékin. Jincheng Airport, 2010. Huile sur toile. 300x400cm. Courtesy de l’artiste

Bentu : la terre natale. Dans le champ de l’art contemporain chinois, ce terme ne renvoie pas à un nationalisme mais recouvre un concept dialectique qui concilie le bentu "local" au bentu "global" dans un processus d’universalisme et de redécouverte critique de l’identité propre. Cette expression est au centre des réflexions des artistes, des critiques et des chercheurs en Chine aujourd’hui.

Œuvres de 12 artistes de Chine continentale de différentes générations offrant un large éventail de techniques et outils, issus aussi bien d’une tradition et culture locales que des nouvelles technologies les plus pointues.

Les œuvres répercutent les nouvelles donnes de l’économie, de l’écologie dont la transformation des rapports ville/campagne et les questions d’identité. Ces artistes révèlent les complexités d’une société en mutation permanente.

Besnard (Albert, 1849-1934). Modernités Belle Époque, au musée du Petit Palais. Du 25 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Premier peintre qui eut l’honneur de funérailles nationales, Albert Besnard, symboliste tardif, chantre des courbes de la femme 1900, portraitiste et grand décorateur mural, un parcours qui ne demande qu’à être reconsidéré.

Bibliothèque nationale de France (Toutes les expositions 2016 de la)

Biskra, reine du désert, à l’Institut du Monde arabe. De septembre 2016 à janvier 2017.

Bol (Ferdinand). Une sélection de peintures de la collection Tom Kaplan autour de son tableau "Eliezer et Rebecca", au musée du Louvre, Salle des peintures flamandes. D’avril à juillet 2017.

Bond 007 (James), l’exposition. 50 ans de style Bond, à la Grande Halle de la Villette. Du 16 avril au 4 septembre 2016.

Bonnard et Vuillard, la donation Marcie-Rivière, au musée d’Orsay. D’octobre 2016 à janvier 2017.

Une donation exceptionnelle d’œuvres des peintres nabis.

Bopape (Dineo Seshee), au Palais de Tokyo. . Du 23 juin au 12 septembre 2016. SAM Art Projects.

Bouchardon (Edmé), de sanguine et de marbre, au musée du Louvre, Hall Napoléon, Bas. Du 15 septembre au 5 décembre 2016.

Bourdelle, sculpteur et photographe. De bruit et de fureur, au musée Bourdelle . Du 27 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Brassaï Graffiti, au Centre Pompidou. Galerie de photographies, Forum -1. Du 9 novembre 2016 au 30 janvier 2017.

Brassaï (1899–1984) est l’un des premiers, dans l’histoire de la photographie moderne, a concentré son regard sur des dessins, signes et gribouillages des murs de la ville. Il établit un protocole, et, au fil des années, constitue un imagier des traces laissées sur les murs. Une centaine de tirages d’époque et de documents.

Buffet (Bernard). Rétrospective, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 14 octobre 2016 au 28 février 2017.

Les oiseaux, le rapace, 1959 Huile sur toile, 240 x 335 cm S.D.B.DR. : Bernard Buffet 59 Donation de Maurice Garnier et Ida en 2012 © ADAGP, Paris © Eric Emo / Parisienne de Photographie.

Les oiseaux, le rapace, 1959 Huile sur toile, 240 x 335 cm S.D.B.DR. : Bernard Buffet 59 Donation de Maurice Garnier et Ida en 2012 © ADAGP, Paris © Eric Emo / Parisienne de Photographie.

Avec une centaine de peintures de Bernard Buffet (1928-1999), ce célèbre peintre français si controversé, cette exposition mettra en perspective ses grands thèmes : clowns, cycles religieux, mythologiques, littéraires ou allégoriques.

L’accent sera mis sur ses grandes séries peu connues (Horreur de la Guerre, Les Oiseaux, Les Folles) et sur l’histoire de la peinture (Le Sommeil d’après Courbet, La Leçon d’anatomie d’après Rembrandt), jusqu’à la très spectaculaire série se référant aux Memento mori médiévaux.

>> Retour haut de la page >>

C

Carambolages, au Grand Palais. Du 2 mars au 4 juillet 2016.

Plus de 150 œuvres (de Boucher, Giacometti, Rembrandt, Man Ray ou Annette Messager) regroupées sans autres propos que leurs affinités formelles ou mentales, invitant ainsi à une poésie visuelle, une pédagogie du sensible et aux surprises que génère l’art.

Caricature à l’affiche, 1850-1918 (De la), au musée des Arts décoratifs. Du 18 février au 4 septembre 2016.

Cattelan (Maurizio). Not afraid of Love, à la Monnaie de Paris. Du 22 octobre 2016 au 8 janvier 2017.

Un choix d’œuvres, de celles qui demeurent accrochées à la rétine... quand Cattelan réinvente le portrait. Irrévérencieux, génial, facétieux, drôle, grave, provocateur, cynique, potache, Maurizio Cattelan n’est jamais là où on l’attend.

Ceramix de Rodin à Schütte, à la Maison rouge. Du 9 mars au 12 juin 2016.

Izis, Marc Chagall travaillant aux panneaux du Metropolitan Opera de New York : Le Triomphe de la Musique (détail), atelier des Gobelins, Paris, 1966

Chagall (Marc). Le triomphe de la musique, à la Philharmonie de Paris. Du 13 octobre 2015 au 31 janvier 2016.

250 œuvres de celui qui, de ses projets monumentaux aux peintures sur toile, œuvres sur papier, sculptures et céramiques, collages, costumes de scènes ou projets de décors s’attachait à donner forme aux sons…

Chamanes et divinités de l’Équateur précolombien, au musée du Quai Branly, Mezzanine Est. Du 16 février au 15 mai 2016.

© Christoph Hirtz - Équateur

Le chamane, figure majeure des cultures ancestrales d’Équateur. Passeur de traditions, il présidait rites, cérémonies ou fêtes, assurant ainsi l’ordre spirituel et social d’une communauté.

Chandigarh : 50 ans après Le Corbusier, à la Cité de l’Architecture. Du 11 novembre 2015 au 29 février 2016. Ville indienne commanditée par Nehru au Corbusier, prévue en 1951 pour 150 000, puis 500 000 habitants, sa population s’élève à près d’un million et demi... Qu’en est-il de cette ville aujourd’hui ?

Chapuisat (Les Frères), au Parc de la Villette. . Du 13 avril au 18 septembre 2016.

Les Frères Chapuisat, entre sculpture monumentale et micro-architecture, cherchent dans le Parc à solliciter tous les sens, transformant le visiteur en explorateur, et provoquant des réactions entre curiosité et surprise, à la limite de l’inconfort, mais à la recherche de l’émerveillement lié à l’enfance.

Chasse (Un prince à la). Albert Ier de Monaco / Louis Tinayre, au musée de la Chasse. Du 30 mars au 24 juillet 2016.

Chef-d’œuvre (La fabrique du). Le premier monument Bourdelle, au musée Bourdelle. D’octobre 2016 à février 2017.

Albrecht Dürer, Portrait d’un jeune homme, vers 1500-1510, huile sur panneau de sapin, 42,8 x 34,5 cm Budapest, musée des Beaux-Arts, © Musée des Beaux-Arts, Budapest 2016

Chefs-d’œuvre des musées de Budapest, au musée du Luxembourg. Du 9 mars au 10 juillet 2016. 80 peintures, dessins et sculptures de Cranach, Dürer, Raphaël, Greco, Goya, Manet, Gauguin, Kokoschka, et 10 œuvres hongroises emblématiques...

Chefs-d’œuvre du Kunstmuseum Basel, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. En 2016 (dates à préciser).

Chefs-d’œuvre de la céramique coréenne. La terre, le feu, l’esprit, au Grand Palais, Salon d’honneur. Du 27 avril au 20 juin 2016.

Des temps anciens de la période des Trois royaumes (dont de remarquables vases anthropomorphes, souvent enterrés avec les défunts pour guider leur âme dans l’au-delà) à l’ère contemporaine, en passant par les dynasties Goryeo et Joseon.

CHER(E)S AMI(E)S. Nouvelle présentation des collections contemporaines, dons et donations, au Centre Pompidou. Du 23 mars au 15 juillet 2016.

Chevaliers et bombardes. D’Azincourt à Marignan, 1415-1515, au musée de l’Armée - Hôtel des Invalides. Du 7 octobre 2015 au 24 janvier 2016. À l’occasion de l’année François Ier.

100 ans d’histoire, explorés de la défaite d’Azincourt jusqu’au début de la Renaissance pour retracer les évolutions de l’art de la guerre, à travers le développement de l’artillerie qui progressivement embrasera les champs de bataille.

Chinois (Les Artistes) de la nouvelle génération, à la Fondation Louis-Vuitton . De mi-février à... plus tard.

Les œuvres de très jeunes artistes chinois occuperont tout le bâtiment, et toutes les galeries. Formidable.

Chirac (Jacques) et le dialogue des cultures, au musée du Quai Branly, Galerie Est. Du 21 juin au 9 octobre 2016.

Statuette féminine. Chupicuaro. Amérique © musée du Quai Branly, photo Hugues Dubois

200 œuvres tracent les positions culturelles de Jacques Chirac, à l’origine de ce musée. Le commissaire de l’exposition est... Jean-Jacques Aillagon.

Chtchoukine (Icônes de l’art moderne. La collection), à la Fondation Louis-Vuitton . Du 21 octobre 2016 au 20 février 2017.

Gauguin, Eh quoi, tu es jaloux ? (No te aha ’oe fe’i’i ?), 1892. Musée Pouchkine.

Une exposition d’envergure internationale avec les chefs-d’œuvre de ce grand collectionneur russe (1854, Moscou-1936, Paris) des impressionnistes et postimpressionnistes (Monet, Cézanne, van Gogh, Gauguin, Picasso Matisse, qui décora son hôtel particulier). Grâce aux prêts exceptionnels des musées de l’Ermitage et Pouchkine.

Clergue (Lucien), les premiers albums, au Grand Palais. Du 13 novembre 2015 au 15 février 2016.

Lucien Clergue, Picasso président de la corrida (détail), Fréjus, 1962, tirage argentique, 30,7 x 50,2 cm

Lucien Clergue (1934-2014), photographe et ami de Picasso, crée les Rencontres internationales de la photographie d’Arles en 1968, auxquelles viennent exposer et se rencontrer chaque année les plus grands photographes du monde.

Climat, l’expo à 360°. Actualités, enjeux, visions d’artistes, à la Cité des sciences. Du 22 septembre 2015 au 20 mars 2016.

Pour accompagner la Conférence mondiale sur le climat COP 21 qui se tient à Paris, cette exposition-parcours mêle approche scientifique et création artistique. Elle aborde le dérèglement climatique notamment à travers les œuvres du photographe Kadir van Lohuizen. Phénomènes récents, de la fonte des glaces à l’augmentation du niveau des mers...

Climats artificiels, à la Fondation EdF. Du 4 octobre 2015 au 28 février 2016.

© Tetsuo Kondo, Cloudscape, 2012

Près de 30 installations, photographies et vidéos d’artistes contemporains. Leurs éclairs sont en néons, leurs cyclones faits d’eau, et leurs nuages en écorce de cacahuète ou en céramique. Quand certains nous plongent phoniquement dans une vague, d’autres inventent des biosphères de poche pour pallier la pollution urbaine ou nous font caresser le doux rêve de marcher au travers d’un... nuage.

Climats artificiels : avec des œuvres monumentales, étonnantes, utopistes, inquiétantes, drôles ou émouvantes, notamment de Marina Abramović, Hicham Berrada, Spencer Finch, Laurent Grasso, Hans Haacke, Tetsuo Kondo, Ange Leccia, Yoko Ono et Pavel Peppertsein.

Cogitore (Clément), au Palais de Tokyo. . À partir de juillet 2016. SAM Art Projects.

Collection Tessin, un Suédois à Paris au XVIIIe siècle, au musée du Louvre, Rotonde Sully. Du 17 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Color Line (The). Les artistes africains-américains et la ségrégation aux États-Unis, au musée du Quai Branly, Galerie Jardin. Du 4 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

The Color Line désigne la ségrégation des Noirs après la fin de la guerre de Sécession en 1865. L’exposition aborde cette histoire avec l’angle de la création artistique sous toutes ses formes, par les artistes afro-américains, victimes de cette « ligne de couleur » discriminatoire, et presque toujours marginaux en leur temps. Un parcours chrono-thématique par 200 œuvres (peinture, sculpture, photographie, film, musique, graphisme et bande-dessinée).

Coluche, à l’Hôtel de Ville. Du 6 octobre 2016 au 7 janvier 2017.

Coréenne (La mode), au musée des Arts Décoratifs. Du 19 septembre 2015 au 14 février 2016.

Corps en mouvement. De l’opéra au musée, au musée du Louvre, Petite Galerie. Du 6 octobre 2016 au 3 juillet 2017.

Costumes traditionnels espagnols, à la maison de Victor Hugo. Du 21 juin au 24 septembre 2017.

Co-Workers, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 9 octobre 2015 au 31 janvier 2016.

GCC, Inaugural Summit, Morschach 2013 1 Digital C-print photograph, 118.9 x 84.1cm Courtesy of GCC & Kraupa-Tuskany Zeidler, Berlin

Autour d’une vingtaine d’artistes français et étrangers dont le langage, inspiré des nouvelles technologies, est radicalement nouveau, de nouveaux comportements sociaux ayant modifié le rapport aux arts visuels. Des environnements immersifs (images, textes, vidéos et montages sonores). S’appropriant des images issues d’autres univers (marketing, publicité, clips, software de jeux vidéo ou de l’animation 3D), ces artistes, adeptes des réseaux sociaux, soulignent l’ambivalence entre le réel et le virtuel.

Crazy (Goes), à la Cité des sciences. Du 3 novembre 2015 à août 2016.

Sujet difficile à exposer dans un musée de sciences ! Quelles pathologies regroupe-t-on sous l’appellation "maladies psychiques" ? Comment sont-elles diagnostiquées et soignées ? Quel regard portons-nous sur les personnes atteintes ?
Prévention et préjugés.

>> Retour haut de la page >>

D

Dahai (Carte blanche à Jiang), au musée Guimet. Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017.

Dalida, au musée Galliera. Du 29 avril au 13 août 2017.

Dame à la Licorne (La). Revisitée par 16 étudiants de l’École Estienne, au musée de Cluny. Du 14 octobre 2015 au 29 février 2016.

Darrot (Nicolas). Règne analogue, à la Maison rouge. Du 8 juillet au 18 septembre 2016.

Carte blanche à l’artiste français Nicolas Darrot, occasion de découvrir une vingtaine d’œuvres inédites dont les références sont mixées aux croisements de science, histoire, mythes et littérature : sculptures, installations, objets hybrides et automatisés.

Darwin, l’original, à la Cité des sciences. Du 15 décembre 2015 au 1er août 2016.

Qui était-il ? Un scientifique rigoureux et un humaniste, antiesclavagiste, pionnier dans son domaine... La pensée et les méthodes de ce grand naturaliste.

De Souza-Cardoso (Amadeo), au Grand Palais. Du 20 avril au 18 juillet 2016.

Première rétrospective depuis 1958 du peintre portugais Amadeo de Souza-Cardoso (1887-1918). Ce précurseur de l’art moderne a su placer son œuvre au point de rencontre des grands courants artistiques du XXe siècle. 150 créations d’Amadeo et de ses amis, Modigliani, Brancusi, Juan Gris et Delaunay.

Delacroix (Dans l’atelier : l’Antiquité secrète d’Eugène), au musée national Eugène-Delacroix. Du 9 décembre 2015 au 7 mars 2016.

En lien avec le département des Antiquités du Louvre, l’exposition explore la relation étroite que Delacroix entretint avec l’art antique, révélée comme une spécificité originale de son point de vue.

Dessins et peintures de l’artiste, au regard des moulages qu’il a lui-même retenus pour le décor de façade de son atelier, et les ouvrages et textes qui sont à l’origine de ce choix. Autographes et manuscrits permettent de montrer les parts théorique et sensible prises par l’art antique dans la conception de cet artiste romantique.

Dessin (Le) de plein air dans la première moitié du XIXe siècle, au musée du Louvre. Du 21 septembre 2017 au 20 mars 2018.

Dessiner dans les jardins d’Arcueil, au musée du Louvre, Mollien. Du 24 mars au 20 juin 2016.

Dessiner en plein air, au musée du Louvre. Hall Napoléon Haut. D’octobre 2017 à janvier 2018.

Dessins gênois, au musée du Louvre, Hall Napoléon Haut. De juin à août 2017.

Des(t/s)ins de guerre, au musée Zadkine. Du 2 octobre 2016 au 5 février 2017.

Desvallières (George), la peinture corps et âme, au musée du Petit Palais. Du 15 mars au 17 juillet 2016.

Cet artiste (1861-1950) au style puissant et raffiné fit une œuvre qui mêlait corps et esprit, charnel et spirituel.

The Route. 2006. Chieh-Jen Chen. 35mm film transféré sur DVD, couleur & noir et blanc, muet, 16’ 45’’ © Chieh-Jen Chen, courtesy galerie Lily Robert

The Route. 2006. Chieh-Jen Chen. 35mm film transféré sur DVD, couleur & noir et blanc, muet, 16’ 45’’ © Chieh-Jen Chen, courtesy galerie Lily Robert

Didi-Huberman (Georges). Soulèvements, au musée du Jeu de Paume. Du 18 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

Ce sont des gestes qui disent non face à un état de l’histoire considéré comme trop « pesant » et qu’il faut donc « soulever », si ce n’est envoyer balader... Ce sont aussi des gestes qui disent oui à quelque chose d’autre : à un monde désiré meilleur, un monde imaginé ou esquissé, un monde autrement vivable ou pensable.

Di Rosa (Hervé) et les arts modestes, à la Maison rouge. Du 22 octobre 2016 au 22 janvier 2017.

Présentation des collections d’Hervé Di Rosa, associées à son travail d’artiste dès le début des années 1980, un parcours subjectif à travers ses œuvres personnelles qui cohabitent avec ses faramineuses collections de jouets, figurines, personnages de BD, objets d’art populaire et modeste en provenance des régions du monde où il a séjourné (Mexique, Espagne, Floride, Cameroun, Vietnam, Portugal).

Didi-Huberman (Georges). Soulèvements, au musée du Jeu de Paume. Du 18 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

Dinosaures (Autour des). Un voyage du Jurassique au Crétacé, au Palais de la Découverte. Du 20 septembre 2015 au 2 novembre 2016.

Gigantesques reptiles aux dents acérées, les dinosaures font aujourd’hui encore l’objet de nombreux fantasmes. Des immenses Camarasaurus aux féroces Tarbosaurus ou aux méconnus Gallimimus, l’exposition immerge le visiteur dans deux environnements reconstitués du Jurassique et du Crétacé. 7 animatronics, 60 fossiles, une séquence vidéo stupéfiante, de véritables os de dinosaures, des moulages de plantes... mettent en lumière les dernières découvertes en la matière.

D’Orgeval (Martin). Revoir, à la Maison européenne de la Photographie. Du 7 septembre au 30 octobre 2016.

Dossier Scriptes. Une exposition, à la Cinémathèque française. Du 16 septembre 2015 au 23 juin 2016.

Archives exceptionnelles, photographies, affiches et objets d’une douzaine de films emblématiques, éclairés par des témoignages inédits de scriptes et de réalisateurs. L’évolution d’un métier essentiel et pourtant toujours méconnu.

Doucet (Jacques) - Yves Saint Laurent. Vivre pour l’art, à la Fondation Pierre Bergé -Yves Saint Laurent. Du 15 octobre 2015 au 14 février 2016.

Studio Saint-James, demeure de Jacques Doucet, à Neuilly/Seine, c. 1930. Image parue dans L’Illustration, n°4845.

À partir de chefs-d’œuvre collectionnés par Jacques Doucet (1853-1929) et Yves Saint Laurent (1936-2008), dont quelques pièces qui habitèrent chez l’un puis chez l’autre, l’exposition construit un espace hybride voué au culte du beau, en hommage à ces deux grands collectionneurs du XXe siècle.

>> Retour haut de la page >>

E

Éclectique. Une collection du XXIe siècle, au musée du Quai Branly, Mezzanine est. Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017.

Une réflexion sur l’histoire du collectionnisme, mais aussi sur la place des arts dits « primitifs » dans l’histoire des arts, à travers 61 chefs-d’œuvre (art africain et océanien, grandes œuvres classiques, modernes, contemporaines, historiques ou rares... de la collection de Marc Ladreit de Lacharrière.

Écran japonais (L’), à la Cinémathèque française. Du 14 septembre 2016 à juin 2017.

L’histoire des relations privilégiées de la Cinémathèque française avec les cinéastes, producteurs, distributeurs et techniciens japonais, des années 1950 à nos jours.

Effroi (Visages de l’). Violence et fantastique de David à Delacroix, au musée de la Vie romantique. Du 3 novembre 2015 au 28 février 2016.

Émaux de Limoges à décor profane (Les). Autour des collections du cardinal Guala Bicchieri, au musée de Cluny. Du 13 avril au 26 septembre 2016.

Autour du prêt exceptionnel par le Palazzo Madama de Turin du magnifique coffre orné de médaillons émaillés du cardinal Guala Bicchieri (vers 1160 - 1227), l’exposition explore les émaux de Limoges à décor profane (animaux réels et fantastiques, scènes courtoises et chevaleresques) reflétant la culture aristocratique des XIIe et XIIIe siècles.

Enfant (L’Art et l’), au musée Marmottan. Du 10 mars au 3 juillet 2016.

Chefs-d’œuvre de la peinture française : Cézanne, Chardin, Corot, Manet, Matisse, Monet, Renoir, Picasso…

Ernest et Célestine, aux Arts décoratifs. Du 8 décembre 2016 au 12 mars 2017.

Estampe française au temps de Louis XIV (1661-1715). Images du Grand Siècle, à la BnF, site Mitterrand. Du 3 novembre 2015 au 31 janvier 2016.

Étienne Picard, d’après Gaspard et Balthazar Marsy, Les chevaux d’Apollon, eau-forte et burin,1675, publié dans André Félibien, Description de la grotte de Versailles, Paris, Imprimerie royale, 1676, pl. XVII.BnF, Estampes et photographie

L’art de l’estampe est en France à son apogée sous Louis XIV, supplantant Rome, Anvers et Amsterdam, par ses vogues successives du portrait, des livres de fête, des recueils d’ornements et d’architecture, des estampes de grand format en plusieurs planches, et surtout par la perfection technique d’artistes graveurs comme Robert Nanteuil, les Lepautre, Edelinck ou Girard Audran.

Eva & Adele, you are my biggest inspiration, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 30 septembre 2016 au 26 février 2017.

Ce couple autoproclamé "Les Jumelles hermaphrodites dans l’art" ont fait donation en 2013 au MAMVP de deux installations vidéo, deux sculptures et une édition. Elles fondent leur production artistique sur des idées d’échanges permanents avec le public dans une véritable symbiose entre art et culture de masse, entre vie publique et sphère privée, cherchant à démontrer que le sexe n’est pas une question simple.

Evans (Simon), au Palais de Tokyo. Du 19 février au 16 mai 2016. Lauréat du Prix Canson 2014.

Exposition Mystère, au musée Galliera. Du 26 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

>> Retour haut de la page >>

F

Faces cachées. Photographie chilienne (1980-2015), à la Maison d’Amérique latine. Du 12 février au 30 avril 2016.

© Leonora Vicuña, Koyom – Chile, 2010. Courtesy Galerie NegPos

Faces cachées, réunit trois générations de photographes chiliens, représentés par Zaïda González, Alejandro Hoppe, Alvaro Hoppe, Luis Navarro, Claudio Pérez et Leonora Vicuña. Ancrés dans une terre à la géographie tourmentée, et où le trauma de l’histoire récente reste palpable, leurs travaux possèdent une valeur artistique expressive et originale.

Fantastique ! L’estampe visionnaire de Goya à Redon, au musée du Petit Palais. Du 1er octobre 2015 au 17 janvier 2016. Le fantastique est omniprésent dans la gravure et la lithographie du XIXe siècle, notamment dans l’œuvre des maîtres de l’estampe qu’étaient Delacroix, Grandville, Doré, Bresdin, Meryon, Odilon Redon ou Félicien Rops. Macabre, bestiaire fantastique, paysage habité, la représentation du rêve ou du cauchemar sont parmi les thèmes récurrents du fantastique en noir et blanc.

Fantin-Latour (Henri). Le cercle intime, au musée du Luxembourg. Du 14 septembre 2016 au 12 février 2017.

Fashion Forward. Trois siècles de mode (1715-2015), aux Arts décoratifs. Du 7 avril au 14 août 2016.

Jacques Doucet, Jaquette ayant appartenue à Cléo de Mérode, 1898-1900, velours de soie © Jean Tholance, Les arts Décoratifs, Paris, collection uFaC

Pour célébrer les 30 ans de la collection de mode et textiles du musée.

Fast (Omer), au musée du Jeu de Paume. Du 20 octobre 2015 au 24 janvier 2016.

Dans ses installations vidéo, composées de projections uniques ou multiples, Omer Fast explore de nouvelles formes de narration, liant mots et images. Ses œuvres proposent une multiplicité de points de vue qui lui permettent de présenter des versions d’une même réalité et de rompre avec la linéarité cinématographique. Par le montage, Fast manipule images, son, sous-titres et voix créant de multiples lectures et des strates temporelles qui, sur des écrans simultanés, disloquent l’histoire et placent le spectateur dans une expérimentation aux limites de la réalité.

Faurer (Louis), à la Fondation HCB. Du 9 septembre au 18 décembre 2016.

Favriau (Sara), au Palais de Tokyo. Du 19 février au 16 mai 2016. Lauréate 2014 du Prix Découverte des Amis du Palais de Tokyo.

Femmes en résistance, au Mémorial de la Shoah. Du 8 mars au 23 octobre 2016. Exposition, cycle de films et de rencontres.

Femmes photographes, 1839/1945 ? (Qui a peur des) , au musée de l’Orangerie. Du 14 octobre 2015 au 25 janvier 2016.

Tina Modotti (1898-1942) Woman With Flag1928 Tirage argentique de 1978 par Richard Benson. H. 24,9 ; L. 19,7 cm. New York, Museum of Modern Art (MoMA) Courtesy of Isabel Carrbajal Bolandi © 2014, Digital image, The Museum of Modern Art, New York / Scala, Florence

Considérable réévaluation de leurs contributions à l’histoire de la photographie, dans les pays d’Europe comme aux États-Unis.

Fêtes et divertissements à la Cour, au Château de Versailles. Du 29 novembre 2016 au 26 mars 2017.

3 règnes d’ingéniosité, de surprise et de magnificence : Louis XIV, Louis XV, Louis XVI.

Fiac. Du 20 au 23 octobre 2016.

Figure du fou (La), au musée du Louvre. Hall Napoléon Haut. D’octobre 2017 à janvier 2018.

Figures du quotidien. La scène de genre dans le dessin hollandais du Siècle d’or, au musée du Louvre, Hall Napoléon Haut. Du 20 février au 22 mai 2017.

Florence. Portraits à la Cour des Médicis, au musée Jacquemart-André. Du 11 septembre 2015 au 25 janvier 2016.

Agnolo Bronzino, Portrait d’Éléonore de Tolède, 1522, Photograph © National Gallery of Prague 2014

40 œuvres des plus grands portraitistes du XVIe siècle : chefs-d’œuvre de Rosso Fiorentino, de Pontormo, l’élève d’Andrea del Sarto et le maître du maniérisme, comme ceux raffinés et gracieux des portraits de Bronzino, de Ghirlandajo, d’Andrea del Sarto, ou encore de Salviati, d’une extrême sophistication.

Fondation Cartier pour l’art contemporain (Toutes les expositions 2016)

Fragonard amoureux, au musée du Luxembourg. Du 16 septembre 2015 au 24 janvier 2016.

Franc-maçonnerie (La), à la BnF, site Mitterrand. Galerie 2. Du 12 avril au 24 juillet 2016.

Vaste sujet discret sur lequel on est souvent intarissable...

Plat maçonnique en faïence France, XVIIIe siècle. Photographie Christophe Dioux. Dessin original Anonyme, Travail personnel

Franco (Fernell). Cali Clair-Obscur, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain. Du 6 février au 5 juin 2016.

Première rétrospective européenne de ce photographe colombien (1942-2006) aux clichés mélancoliques et crépusculaires nourries au néoréalisme italien et au film noir, qui dressa le portrait de la ville de Cali noctambule et populaire.

François 1er, au musée du Louvre. Hall Napoléon Bas. D’octobre 2017 à janvier 2018.

Fromanger (Gérard), au Centre Pompidou. Du 17 février au 16 mai 2016.

Gérard Fromanger. En Chine, à Hu-Xian, de la série « Le désir est partout », août 1974 Centre Pompidou, mnam-cci/ Dist. RMN-GP, P. Migeat © Gérard Fromanger Achat à l’artiste en 1975. Attribution au musée national d’art moderne/centre de création industrielle, le 2 juin1977 L’inscription en chinois sur tableau veut dire : « servir le peuple »

Frontières, au musée de l’Histoire de l’immigration . Du 10 novembre 2015 au 3 juillet 2016.

Leur rôle, leurs enjeux contemporains dans le monde, et les histoires singulières de ceux qui tentent de les traverser aujourd’hui.

>> Retour haut de la page >>

G

Gabritschevsky (Eugen), 1893-1979, à la Maison rouge. Du 8 juillet au 18 septembre 2016.

Première grande exposition à Paris du travail de l’artiste russe Eugen Gabritschevsky (1893-1979), découvert par Jean Dubuffet, avec 230 œuvres parmi les milliers de dessins produits et un ensemble d’archives.

Galliera (Musée) (Toutes les expositions 2016-2017 du)

Gaston : au-delà de Lagaffe, à la Bibliothèque publique d’information / Centre Pompidou, Espace presse, Niveau 2. Du 7 décembre 2016 au 10 avril 2017.

Gaston Lagaffe fêtera ses 60 ans le 8 février 2017, date de sa première parution dans le journal de Spirou. "Héros sans emploi" créé par Franquin pour animer le journal, il devient très vite l’un des personnages majeurs de l’épopée Spirou et, sur plus de 900 planches, un grand classique de la BD.

Génocide (Le Premier) du XXe siècle. Herero et Nama dans le Sud Ouest africain allemand, 1904-1908, au Mémorial de la Shoah . Du 25 novembre 2016 au 12 mars 2017.

Charles Gleyre (1806 - 1874) La Danse des bacchantes, 1849 Huile sur toile, 147 x 243 cm © Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne

Gleyre (Charles, 1806-1874). Le romantique repenti, au musée d’Orsay. Du 10 mai au 11 septembre 2016.

Charles Gleyre (1806 - 1874) La Danse des bacchantes, 1849 Huile sur toile, 147 x 243 cm © Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne

Charles Gleyre occupe à Paris une place majeure dans la peinture académique au milieu du XIXe siècle, et de grands noms sortir de son atelier, dont Jean-Léon Gérôme, Claude Monet et Frédéric Bazille.

Gonzalez-Foerster (Dominique), au Centre Pompidou. Du 23 septembre 2015 au 1er février 2016.

Sans Titre (mm), photographie préparatoire (Détail), 2015 © Giasco Bertoli et DGF

Une des plus grandes artistes françaises de la scène contemporaine internationale.

Grand Palais (Toutes les expositions 2016)

Greffulhe (La mode retrouvée, les robes-trésors de la comtesse), au musée Galliera. Du 7 novembre 2015 au 20 mars 2016.

Gronon (Philippe). Révéler, au musée Picasso, Niveau -1. Du 8 novembre 2016 au 8 janvier 2017.

Guerres secrètes, au musée de l’Armée. Du 12 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Une exposition sur les guerres secrètes à travers leurs enjeux, leurs mécanismes, leurs moyens ainsi que les hommes et les femmes qui en sont les acteurs. En confrontant réalité et fiction, elle découvre les grandes heures de l’espionnage et du contre-espionnage, les actions clandestines et subversives, les opérations d’intoxication et de propagande, en temps de guerre comme de paix.

Guimet (Musée national des arts asiatiques. Musée) (Toutes les expositions 2016 du)

>> Retour haut de la page >>

H

Habiter le Campement. Architectures de nomades, de voyageurs, d’exilés, d’infortunés, de conquérants et de contestataires, à la Cité de l’Architecture, Galerie Haute. Du 13 avril au 29 août 2016.

Avant de penser architecture, c’est la question de demeurer qui se pose. Comment habiter dans des zones insalubres, inhospitalières, comment habiter en toute liberté, avec les moyens du bord ?

Peut-on habiter autrement ? En ce temps de crise, il est plus que nécessaire de se poser la question.

Hadjithomas (Joana ) & Joreige (Khalil), au musée du Jeu de Paume. Du 7 juin au 25 septembre 2016.

Circle of Confusion, 1997 © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige

Nés en 1969 au Liban, ces artistes travaillent ensemble entre Beyrouth et Paris. À travers des œuvres où dialoguent fictions, documentaires, photographies, textes et installations, ces cinéastes et plasticiens proposent des lectures alternatives de l’histoire, de la guerre, de ses traces et de la violence politique, en tissant des liens profonds entre réalité et fiction.

Haegue Yang. Lingering Nous, au Centre Pompidou. Forum. Du 6 juillet au 5 septembre 2016.

Présentation d’une production monumentale d’une des artistes coréennes les plus influentes de sa génération. Traversant plusieurs médiums, du collage à la performance, elle interroge les qualités plastiques et sensorielles des objets du quotidien, qu’elle dissocie de leurs contextes d’origine pour les réarranger en des compositions abstraites.

Hains / Lavier (Merci Raymond, par Bertrand Lavier), à la Monnaie de Paris. Du 27 mai au 17 juillet 2016.

12 clins d’œil de Bertrand Lavier pour présenter différemment les œuvres de Raymond Hains.

Halsman (Philippe), au musée du Jeu de Paume. Du 20 octobre 2015 au 24 janvier 2016.

Dalí Atomicus, 1948. Philippe Halsman © 2014 Philippe Halsman Archive / Magnum Photos. Droits exclusifs pour les images de Salvador Dalí : Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres, 2014. Publié dans Life en 1948

Philippe Halsman s’installe à Paris où il ouvre un studio photographique en 1932, et durant une quarantaine d’années, élargira sans cesse son champ d’activité aux portraits, à la mode, aux reportages, publicités, projets personnels, commandes privées et institutionnelles.

En 1940, l’invasion allemande met un terme à sa carrière prospère et il trouvera refuge à New York.

Hergé, au Grand Palais. Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017.

Inventeur de la ligne claire et pape du 9e art européen, tous les talents du créateur de plus de 300 personnages...

Hey ! Modern Art and Pop Culture / Act III, à La Halle Saint-Pierre. Du 18 septembre 2015 au 13 mars 2016.

63 artistes internationaux pour poursuivre l’exploration des différents expressions artistiques de la contre-culture : lowbrow art, art outsider, bande dessinée et plus largement les médias porteurs d’une culture de rue.

Hodler / Monet / Munch : peindre l’impossible, au musée Marmottan Monet. Du 15 septembre 2016 au 22 janvier 2017.

Ces peintres essentiels de la modernité européenne, entre impressionnisme, post-impressionnisme et symbolisme, ont affronté des questions de peinture en apparence insurmontables, avec la même constance, et au risque d’être incompris.

Comment peindre de face l’éclat éblouissant du soleil, avec de simples couleurs sur une toile tendue ? Comment peindre la neige ? Comment suggérer les mouvements et les variations de la lumière sur l’eau ou sur le
tronc d’un arbre, malgré l’immobilité de la peinture ? Monet disait : "de l’eau avec de l’herbe qui ondule dans le fond… c’est admirable à voir, mais c’est à rendre fou de vouloir faire ça."

Houellebecq (Par Michel). Rester vivant, au Palais de Tokyo. . Du 23 juin au 12 septembre 2016.

Le visiteur se bâtira son propre roman en suivant un parcours : photographies, films, installations et invités de prestige tous azimuts (Iggy Pop, Robert Combas, etc...).

Huet (Jean-Baptiste). Le plaisir de la nature, au musée Cognacq-Jay. Du 6 février au 5 juin 2016.

Première rétrospective de ce peintre animalier du XVIIIe siècle.

Hugo (Éros), à la maison de Victor Hugo. Du 19 novembre 2015 au 28 février 2016.

Hugo (Les). Une famille d’artistes, à la maison de Victor Hugo. D’avril à septembre 2016.

Humeau (Marguerite), au Palais de Tokyo. Du 23 juin au 12 septembre 2016.

>> Retour haut de la page >>

I

Indien (Dix siècles d’aventures sur les mers. Entre Méditerranée et océan), à l’Institut du Monde arabe. - D’octobre 2016 à l’hiver 2017.

Les voyages et les routes parcourues par des marins, des voyageurs et des marchands, tous partant à la recherche de fortunes à bâtir, d’âmes à convertir, et de découvertes à faire... Une coproduction IMA / MuCEM.

Invention / Design. Regards croisés, au musée des Arts et Métiers. Du 2 juin 2015 au 6 mars 2016.

Exploration des liens entre Design contemporain et histoire des inventions à travers une sélection de 100 objets. De la marmite de Papin à l’autocuiseur connecté, de la simple hélice au ventilateur sans pales, des premières machines à écrire aux ordinateurs portables les plus sophistiqués... jusqu’à 4 siècles séparent ces objets.

>> Retour haut de la page >>

J

Jades, des empereurs à l’art déco, au musée Guimet. Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Jardins, au Grand Palais. Du 13 mars au 24 juillet 2017.

Le jardin est une manière de voir la nature, de la mettre en scène, de la penser. Il est une empreinte de l’homme, qui en fait, dès la Renaissance, une œuvre d’art totale capable d’éveiller les sens. Peintures, sculptures, photographies, dessins, installations, environnements sonores et olfactifs
retracent 6 siècles de création autour du jardin, avec les participations gracieuses de Dürer, David, Monet, Cézanne, Picasso, Matisse, Magritte...

Jardins arabo-musulmans (Les), à l’Institut du Monde arabe. D’avril à octobre 2016.

L’histoire des jardins et de la ville depuis l’Antiquité jusqu’aux innovations les plus contemporaines, de la Péninsule ibérique au sous-continent indien, et cela dans ces aspects culturels, scientifiques, esthétiques, techniques, sociétaux et environnementaux. Un jardin éphémère de 2 000m2 sera spécialement créé sur le parvis de l’IMA pour l’occasion, "fabuleux jardin éphémère de roses et d’orangers, de palmiers et de jasmins. Le visiteur s’y perdra d’une façon ludique et sensorielle qui le conduira à l’intérieur de l’Ima pour s’y laisser conter la belle histoire de tous les jardins, du monde arabo-musulman à l’Inde".

Jeu de Paume (Toutes les expositions 2016-2017 au musée du)

Jospin (Éva). Panorama, au musée du Louvre, Cour carrée. Du 12 avril au 28 août 2016.

Le pavillon qui héberge le panorama est conçu comme une architecture artistique. Le côté minéral de la ville, du Palais et le décor du Louvre se reflètent sur les parois en miroir du pavillon. À l’intérieur, le côté végétal du panorama, reflète l’univers des forêts et des grottes.

Jourdain (Du) au Congo. Art et christianisme en Afrique centrale, au musée du Quai Branly, Mezzanine Est. Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017.

Présentation d’un ensemble exceptionnel de 100œuvres kongo d’inspiration chrétienne (crucifix, sculptures, pendentifs gravures et dessins du XVe au XXe siècle, et issues des collections du Musée royale de l’Afrique centrale de Tervuren et de collections privées.

JR au Louvre, au musée du Louvre, Pyramide. Du 25 mai au 27 juin 2016.

JR propose de faire disparaître la pyramide, en appliquant le principe de l’anamorphose. Selon le point de vue où on se situe, la pyramide se fond alors dans la continuité de la façade du palais du musée du Louvre, à cela près que l’artiste reste fidèle au noir et blanc, qui dévoile le leurre.

Juifs en Europe après la Shoah (Les), au Mémorial de la Shoah. De janvier à avril 2016.

>> Retour haut de la page >>

K

Katz (Benjamin), au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 30 septembre au 31 décembre 2016.

Keith Haring, Galerie Paul Maenz, Cologne, 03.05.1984

70 photographies de Benjamin Katz. En photographiant les ateliers de Georg Baslitz, Jörg Immendorf, Markus Lüpertz, A. R. Penck ou Gerhard Richter, il nous donne accès aux coulisses de la création de toute la scène artistique rhénane, et de quelques autres (André Kertész, Josef Beuys, Andy Warhol...) en procédant avec discrétion, sans flash ni mise en scène particulière.

Keïta (Seydou), photographe, au Grand Palais. Du 31 mars au 24 juillet 2016.

Seydou Keïta Sans Titre, 1958 Tirage argentique noir et blanc 127 x 180 cm Keïta / SKPEAC, Courtesy Collection Jean Pigozzi, Genève

Le Malien Seydou Keïta (1921-2001) est l’un des grands photographes de la fin du XXe siècle, par sa maîtrise de la lumière, ses cadrages, et ses mises en scène inventives.

Kiefer (Anselm), au Centre Pompidou, Du 16 décembre 2015 au 18 avril 2016. Rétrospective, des premières œuvres aux installations monumentales, et des toiles et aquarelles de ses débuts jusqu’aux sculptures.

Kiefer (Anselm), à la BnF, site Mitterrand. Du 20 octobre 2015 au 7 février 2016.

Première grande exposition consacrée à la place du livre dans l’œuvre d’Anselm Kiefer (plus d’une centaine réalisés entre 1968 et 2015). Son atelier, et sa bibliothèque, dans la propre scénographie de l’artiste.

Kjartansson (Ragnar), seul celui qui connaît le désir, au Palais de Tokyo. Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. Entre performance et films de cet artiste de 32 ans.

World Light-The Life and Death of an Artist, 2015 Une commande/ Commissioned by Thyssen-Bornemisza Art Contemporary, Vienne/ Vienna Courtesy de l’artiste et/ of the artist and Luhring Augustine (New York) ; I8 Gallery (Reykjavik).

Exposition personnelle, la première en France, de l’artiste islandais Ragnar Kjartansson, qui vit et travaille à Reykjavik. De manière à la fois poétique et surprenante, l’événement s’attache à dépeindre les désirs quotidiens, en quête de transcendance, brouillant les frontières entre le banal et le sublime.

Klee (Paul), l’ironie à l’œuvre au Centre Pompidou. - Du 6 avril au 1er août 2016.

Paul Klee, Insula dulcamara, 1938 Huile et couleur à la colle sur papier sur toile de jute 88 x 176 cm Berne, Zentrum Paul Klee © domaine public

Kollar (François, 1904-1979), au musée du Jeu de Paume. Du 9 février au 22 mai 2016.

François Kollar (Senec, Slovaquie, 1904 - Créteil, 1979), employé des chemins de fer, puis tourneur sur métaux dans les usines Renault de Boulogne-Billancourt, devient photographe professionnel à 24 ans après avoir été chef de studio chez Draeger (Paris). Ses connaissances intimes du monde du travail, de la publicité à la mode en passant par l’industrie, l’artisanat et l’agriculture, lui permet d’aborder les outils, les matériaux et les gestes avec une approche sensible et singulière.

Kollektsia ! Art contemporain en URSS et en Russie (1950-2000), au Centre Pompidou, musée, Niveau 4. Du 14 septembre 2016 au 27 mars 2017.

Plus de 250 œuvres soviétiques et russes contemporaines de 1950 à 2000 réunies par le Centre grâce au soutien exceptionnel et à la générosité de la Vladimir Potanin Foundation.

Korea Now ! Design, craft, mode et graphisme en Corée, au musée des Arts décoratifs. Du 19 septembre 2015 au 3 janvier 2016.

Plus de 700 pièces de 150 artistes, artisans, designers, créateurs de mode et graphistes pour découvrir l’éclectisme des styles, des goûts et des créations de ce formidable patrimoine artistique encore peu connu en Europe. Une effervescence
créative, suivie de près par la scène internationale...

Kuniyoshi. Le démon de l’estampe, au Petit Palais. Du 1er octobre 2015 au 17 janvier 2016.

>> Retour haut de la page >>

L

Laboratoires de l’art, au musée des Arts et Métiers. Du 10 mai au 4 septembre 2016.

Sur le mode du dialogue et de la réciprocité, l’exposition fait entrer en résonance des pièces issues des collections du Musée des arts et métiers et un choix de créations artistiques contemporaines, faisant surgir la notion d’expérience commune aux recherches scientifiques et artistiques.

Lagerfeld (Karl). A visual Journey. Photographs, à la Pinacothèque. Du 16 octobre 2015 au 12 février 2016. Placée en redressement judiciaire, la Pinacothèque a du fermer ses portes et interrompre plus tôt cette exposition.

Architecture, paysages, Paris la nuit, portraits et autoportraits, photographie de mode et abstraction (un goût pour les arts graphiques caractérise un grand nombre de ses photos, quels qu’en soient les sujets). Deux grandes installations – Daphnis et Chloé et Le Voyage d’Ulysse – couronnent cette présentation complète de l’œuvre photographique de Lagerfeld.

Lam (Wifredo), au Centre Pompidou, Galerie 2, Niveau 6. Du 30 septembre 2015 au 15 février 2016.

Une rétrospective inédite pour replacer l’œuvre de cet artiste cubain dans une histoire internationale de l’art moderne.

Toutes les périodes, de ses premières années cubaines, et du séjour espagnol, aux gravures des années 1960-1970, pour mieux retracer le parcours original de Wilfredo Lam.

Prêt exceptionnel de La Jungle, œuvre phare, conservée au MoMa de New York.

Le Douanier Rousseau. L’innocence archaïque, au musée d’Orsay. Du 22 mars au 17 juillet 2016.

Henri Rousseau, La charmeuse de serpents © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski

Intronisé par des artistes d’avant-garde "père de la modernité", Le Douanier Rousseau a confronté sa peinture à l’académisme comme à la nouvelle peinture. L’innocence archaïque se veut une mise en lumière critique de son art autour d’une réflexion sur la notion d’archaïsme. Des œuvres de Seurat, Delaunay, Kandinsky, Picasso, mais aussi d’artistes méconnus permettront d’évoquer la richesse des liens qui se tissent autour de ce peintre.

Légèreté (L’insoutenable), au Centre Pompidou. Du 9 mars au 30 mai 2016.

Lemoine (Georges) : carnets d’un illustrateur, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs. Du 25 avril au 5 juin 2016. Figure essentielle de la littérature pour la jeunesse, auteur sensible et dessinateur virtuose, il a illustré plus de 100 livres parmi lesquels L’Enfant et la rivière, d’Henri Bosco, Lullaby, de J.M.G. Le Clezio, Comment Wang Fô fut sauvé, de Marguerite Yourcenar...

Lévêque (Claude), au musée du Louvre, fossés et donjon médiévaux. Du 21 octobre 2015 au 25 janvier 2016.

Claude Lévêque. Sous le plus grand chapiteau du monde (partie 2) © ADAGP Claude Lévêque. Courtesy the artist and Kamel Mennour, Paris.

Claude Lévêque, artiste majeur de la scène contemporaine internationale, pose une création spécifique dans les espaces du Louvre médiéval, pensés comme univers et base de récit. Son œuvre y active évocations et sensations. Du dessous de la pyramide à la partie médiévale du Louvre, une création d’émotions sensorielles "entre coercition et ravissement" par l’utilisation de la lumière, du son, d’objets et de matériaux.

Levine (Neil). Un Américain à Paris, au musée d’Orsay. Du 8 septembre à fin novembre 2016.

Historien de l’architecture, professeur à Harvard, grand spécialiste d’Henri Labrouste et de Frank Lloyd Wright, Neil Levine a fait don d’une collection exceptionnelle de plus de 300 dessins d’architecture au musée d’Orsay, qui les expose.

Louvre (Toutes les expositions 2016-2017 au musée du)

Ludwig van / Le mythe Beethoven, à la Philharmonie de Paris . Du 14 octobre 2016 au 22 janvier 2017.

Une grande exposition consacrée à la postérité de Beethoven, à la présence de sa figure et de sa musique dans les arts, l’histoire et la société de sa mort à aujourd’hui.

Monstre démiurge pour les uns, figure du héros pour les autres, chantre de la liberté républicaine, modèle de la puissance inspirée, incarnation de la Création enfiévrée ou parangon de la Douleur sublimée, Beethoven a façonné un imaginaire littéraire, visuel et musical d’une richesse prodigieuse.

De Klimt à Beuys, de Gide à Haneke, de Burne-Jones à Pierre Henry en passant par Hartung, Basquiat et Kubrick, l’aura beethovénienne hante les artistes et ne manque jamais son objet : celui d’électriser le regard, l’oreille et l’esprit.

Le nom de Beethoven désigne aujourd’hui bien plus qu’un objet d’étude historique ou musicologique ; il renvoie avant tout à un imaginaire collectif, à la fois populaire et savant, politique et artistique, dans lequel se mire constamment notre humanité.

Lurçat (Jean). Au seul bruit du soleil, à la Galerie des Gobelins. Du 4 mai au 18 septembre 2016.

Jean Lurçat (1892-1966), peintre, poète, résistant, fut le grand rénovateur de la tapisserie. Le Mobilier national lui consacre la première exposition d’envergure depuis 1958.

>> Retour haut de la page >>

M

René Magritte : Le double secret, 1927 © Centre Pompidou, mnam-cci / Dist. RMN-GP, Photo : G. Meguerditchian © Adagp, Paris 2015

Magritte, la trahison des images, au Centre Pompidou, Galerie 2, Niveau 6. Du 21 septembre 2016 au 23 janvier 2017.

René Magritte : Le double secret, 1927 © Centre Pompidou, mnam-cci / Dist. RMN-GP, Photo : G. Meguerditchian © Adagp, Paris 2015

Autour d’une centaine de tableaux, emblématiques ou peu connus, de dessins, et de documents d’archives, la proposition d’une lecture renouvelée de son œuvre. Dans la ligne des monographies consacrées par le Centre aux figures majeures de l’art du XXe siècle, après Munch, Matisse et Duchamp.

Marais en héritage (Le). 50 ans de la loi Malraux, au musée Carnavalet. Du 4 novembre 2015 au 28 février 2016.

Mariano Fortuny, au musée Galliera. Du 7 octobre 2017 au 7 janvier 2018.

Marquet (Albert), rétrospective, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 25 mars au 21 août 2016.

Mars (Explorez), au Palais de la Découverte. Du 9 février au 28 août 2016.

Après les dernières expéditions sur Mars, les scientifiques connaissent bien mieux cette voisine. Rouler sur cet astre, comparer le vent martien au vent terrestre... Découvrir le brouillard, le sable, l’air de Mars... Immersion garantie !

Mata Hoata. Art et société aux îles Marquises, au musée du Quai Branly, Galerie Jardin. Du 12 avril au 24 juillet 2016.

Et l’or de leur corps, Paul Gauguin (1848-1903) © RMN Grand Palais, musée d’Orsay, photo Hervé Lewandowski.

300 pièces et œuvres pour rendre hommage aux artistes que les Marquises fascinèrent, et à la force de la culture de ces îles qui traversa les siècles et dompta l’histoire.

Matranga (Mélanie), au Palais de Tokyo. Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016.

Vue de l’exposition de Mélanie Matranga, 反复 [FANFU], Palais de Tokyo (21.10 2015 – 10.01 2016). Photo : Aurélien Mole. Courtesy de l’artiste & Karma International (Zurich)

Importante exposition personnelle de l’œuvre de cette artiste française, née en 1985, vivant et travaillant à Paris.

Plusieurs environnements, plusieurs moments sont créés grâce à un ensemble conséquent d’images, de sculptures et d’éléments d’architecture.

Matton (Charles), cinéaste et écrivain, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs. Du 9 février au 26 mars 2016.

Peintre, dessinateur, sculpteur, photographe, Charles Matton fut aussi un écrivain et un cinéaste. Ses archives cinématographiques données à la BnF par Sylvie, son épouse et proche collaboratrice, dévoilent, dans l’intimité du cinéaste, le processus de sa création. Une pensée inédite sur l’esthétique et l’éthique, l’art, les artistes, l’argent, le sexe...

Médicis (Splendeur du portrait à la cour des) : Bronzino, Salviati, Pontormo, au musée Jacquemart-André. Du 11 septembre 2015 au 25 janvier 2016.

Méditerranée et océan Indien (Dix siècles d’aventures sur les mers, entre), à l’Institut du Monde arabe. De l’automne à l’hiver 2016.

Méliès (De) à la 3D : la Machine Cinéma, à la Cinémathèque française. Du 5 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Une exposition inédite sur l’histoire de la technique et sur les métamorphoses successives de l’image animée, de la fin du XIXe siècle jusqu’à l’ère numérique.

Roman Polanski, parrain de l’exposition De Méliès à la 3D : la Machine Cinéma sur le tournage de Tess (1979)

Projecteurs, caméras, matériels de studio et de laboratoire, archives, films rares... seront dévoilés dans un parcours à la fois esthétique, technologique et historique, ponctué de projections, de sons et de machines en fonctionnement ou en simulation.

Merci Raymond, par Bertrand Lavier, à la Monnaie de Paris. Du 27 mai au 17 juillet 2016.

12 clins d’œil de Bertrand Lavier pour présenter différemment les œuvres de Raymond Hains (... et les siennes).

Mérovingiens (Les Temps). Trois siècles d’art et de culture en Gaule franque, au musée de Cluny. Du 26 octobre 2016 au 13 février 2017.

Un large panorama de l’activité intellectuelle et artistique d’une séquence complexe de trois siècles, qui court de la bataille des Champs catalauniques (451) aux derniers « rois fainéants » (751).

Mexique 1900-1950 : Diego Rivera, Frida Kahlo, José Clemente Orozco et les avants-gardes, aux Galeries nationales du Grand Palais . Du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017.

Un vaste panorama de la modernité mexicaine, depuis les prémices de la Révolution jusqu’au milieu du XXe siècle, complété par des interventions d’artistes contemporains.

Miroir du désir. Images de femmes dans l’estampe japonaise, au musée Guimet. Du 6 juillet au 10 octobre 2016.

Kitagawa Utamaro (1753-1806). Les Pêcheuses d’abalones. Époque d’Edo, 1797-1798. Triptyque, impression polychrome, 38,2 x 25,5cm ; 37,1 x 24,1cm ; 37,2 x 24,3cm. Paris, musée national des arts asiatiques – Guimet, ancienne collection Louis Gonse, 1953 © RMN-Grand Palais (musée Guimet, Paris) / Thierry Ollivier

Kitagawa Utamaro (1753-1806). Les Pêcheuses d’abalones. Époque d’Edo, 1797-1798. Triptyque, impression polychrome, 38,2 x 25,5cm ; 37,1 x 24,1cm ; 37,2 x 24,3cm. Paris, musée national des arts asiatiques – Guimet, ancienne collection Louis Gonse, 1953 © RMN-Grand Palais (musée Guimet, Paris) / Thierry Ollivier

Modernes (Nouvelle présentation des collections), 1905-1965, au Centre Pompidou. Du 27 mai 2015 au 27 mai 2016.

Modersohn-Becker (Paula), au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 8 avril au 21 août 2016.

Moïse. Figures d’un prophète, au Mahj. Du 14 octobre 2015 au 21 février 2016.

© Mirco Magliocca pour la Réunion des musées nationaux - Grand Palais

Monumenta (7e édition) avec Huang Yong Ping. Empires, sous la nef du Grand Palais. Du 8 mai au 18 juin 2016.

Monuments français (Le musée des), au musée du Louvre, Rotonde Sully. Du 7 avril au 4 juillet 2016.

Moreau (Gustave), Georges Rouault, souvenirs d’atelier, au musée Gustave Moreau. Du 27 janvier au 25 avril 2016.

Georges Rouault, Le modèle, souvenir d’atelier (détail), huile, encre, gouache sur toile, Collection particulière © Jean-Louis Losi © ADAGP Paris 2015

48 œuvres pour mettre en lumière ce qui unit les deux peintres et confronter leur vision du paysage, de la femme, du sacré, comme leur fascination pour la matière et la couleur.

Moriyama (Daido). Daido Tokyo, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain. Du 6 février au 5 juin 2016.

Sur un aspect peu connu de son travail, cette exposition, composée exclusivement de photographies couleurs, a pour sujet les quartiers underground de la capitale nippone si familiers au photographe. On y retrouvera son goût des cadrages chancelants et des textures.

Moulène (Jean-Luc), au Centre Pompidou, Galerie 4, Niveau 1. Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017.

Jean-Luc Moulène : Trichrome 2, Marseille, 2015 Courtesy de l’artiste et Galerie Chantal Crousel, Paris © Jean-Luc Moulène / © ADAGP, Paris 2015 Photo : Florian Kleinefenn

Mutations urbaines, à la Cité des sciences. Du 14 juin 2016 au 5 mars 2017.

Aujourd’hui, bien plus que la moitié de la population mondiale vit dans les villes, et cette proportion ne cesse d’augmenter.

Comment gérer le vieillissement des populations, la généralisation de l’utilisation des données numériques, les changements climatiques ? Les villes aujourd’hui doivent se transformer pour répondre à ces problématiques...

Mythes fondateurs (Les), au musée du Louvre, La Petite Galerie du Louvre, Richelieu. Du 15 octobre 2015 au 4 juillet 2016.

Véritable "école du regard", la Petite Galerie, inaugurée à cette occasion, proposera chaque année aux jeunes et à leurs accompagnateurs un thème à explorer grâce à des œuvres majeures, de la préhistoire à la création contemporaine. Déployée également en ligne et hors les murs, elle donnera les clés d’observation et d’explication des œuvres, pour faire d’une visite un moment de plaisir et de délectation. Première saison, les mythes fondateurs (cartels ludiques, parcours, médiateurs dans les salles).

Mythologies online : la rematérialisation de l’art, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 18 septembre 2015 au 31 janvier 2016.

>> Retour haut de la page >>

N

Napoléon à Sainte-Hélène. La conquête de la mémoire, au musée de l’Armée - Hôtel des Invalides. Du 6 avril au 24 juillet 2016.

Nouvel (Jean), mes meubles d’architecte, au musée des Arts décoratifs. Du 27 octobre 2016 au 12 février 2017.

Hommage rendu au travail de designer d’objets et de mobilier de l’architecte Jean Nouvel. Peu d’architectes contemporains ont eu en parallèle une telle œuvre de designer.

Pour Jean Nouvel, « un meuble, une table, une chaise, un bureau, c’est une architecture en soi ».

Plus de 100 créations éditées de 1987 à aujourd’hui rassemblées pour la première fois et présentées dans les galeries permanentes du Moyen-Âge, des XVIIe et XVIIIe siècles du musée, mais également dans l’espace conçu par Jean Nouvel en 1998 et dédié à la Publicité.

>> Retour haut de la page >>

O

Orient / Asie - Aller / retour, au musée Guimet. Du 13 avril au 27 juin 2016.

Orsay (Toutes les expositions 2016-2017 au musée d’)

Osiris, mystères engloutis d’Égypte, à l’Institut du Monde arabe. Du 8 septembre 2015 au 6 mars 2016.

250 objets obtenus au fil de 7 années de fouilles sous-marines de l’équipe de Franck Goddio révélant les vestiges de la cérémonie des mystères d’Osiris célébrés à Thônis, Héracléion ainsi qu’à Canope, et une quarantaine d’œuvres des musées du Caire et d’Alexandrie, certaines sortant d’Égypte pour la première fois.

>> Retour haut de la page >>

P

Palais de Tokyo (Toutes les expositions 2016-2017 au)

Papiers peints (Faire le mur ! 4 siècles de), au musée des Arts décoratifs. Du 21 janvier au 12 juin 2016.

Une sélection à partir de la collection exceptionnelle du département de papiers peints (400 000 documents). En allant du trompe-l’œil à la décoration pure, ce support recouvre pour illustrer, embellir ou styliser. En révélant les possibilités formelles et techniques de cette pratique, ces œuvres retracent une histoire du décor d’intérieur du XVIIe siècle à nos jours.

Papouasie - Nouvelle-Guinée (Sepik, Arts de), au musée du Quai Branly. Du 27 octobre 2015 au 7 février 2016.

Première exposition en France consacrée aux arts des populations du plus grand fleuve du Nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Sepik, l’Art au long du fleuve rassemble une collection inédite de 230 œuvres.

Paris 1740. Le comte Carl Gustaf Tessin, connaisseur et savant, au musée du Louvre, Hall Napoléon Haut. Du 21 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Parmigianino, au musée du Louvre, Mollien. Du 17 décembre 2015 au 15 février 2016.

Maître italien du maniérisme, Francesco Mazzola (1503-1540), dit il Parmigianino, a été, de 1520 à 1540, le tenant du style de la grâce et de la vénusté, toujours en quête de la perfection, fiévreusement et jusqu’à l’inquiétude, un génie de la transcendance.

Parmigianino, Deux canéphores se donnant la main, de part et d’autre de caissons © Musée du Louvre

Avec un fonds de plus de 180 dessins, le musée du Louvre détient la plus grande collection d’études de sa main, dont une sélection de 65 chefs-d’œuvre sera présentée, suivant l’artiste de Parme à Rome (1524-1527), de Rome à Bologne (1527-1530) et de Bologne à Parme de nouveau.

Pascal (Figures de), à la BnF, site Mitterrand. Du 8 novembre 2016 au 29 janvier 2017.

La BnF sort de ses réserves les trésors et livres rares qu’elle détient sur cet auteur toujours si présent dans notre culture.

Patrimoine (Le) s’en va en guerre, à la Cité de l’Architecture, salle Viollet-Le-Duc. Du 28 octobre 2015 au 29 février 2016. Paris fut le théâtre de spectaculaires expositions à visée de propagande anti-germanique fondées sur l’exaltation du patrimoine architectural et artistique meurtri.

Paulin (Pierre), au Centre Pompidou, Galerie Sud, Niveau 1. Du 11 mai au 22 août 2016.

Une rétrospective et une ample monographie du designer et décorateur français.

Petit Palais (Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris) (Toutes les expositions 2016-2017 du)

Persona, étrangement humain, au musée du Quai Branly, Mezzanine Ouest. Du 26 janvier au 13 novembre 2016.

Le statut de nombreux objets est plus proche de celui d’une personne ou d’une créature. Une confusion peut alors naître entre l’humain ou le non-humain dans les cultures les plus variées. La robotique, via l’œuvre pionnière de Masahiro Mori, permettra de saisir le rôle de l’anthropomorphisme dans les artefacts les plus divers...

Peyre (Gilbert), l’électromécanomaniaque, à la Halle Saint-Pierre . Du 16 septembre 2016 au 26 février 2017.

Machines extravagantes, inventives, poétiques, opérant simultanément sur les terrains de l’installation, du spectacle vivant et de l’art contemporain.

Photographie (La boîte de Pandore. Une histoire de la), par Jan Dibbets, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 25 mars au 17 juillet 2016.

Piano (Renzo), Building Workshop, piece by piece, à la Cité de l’Architecture, Galerie d’architecture moderne et contemporaine. Du 11 novembre 2015 au 29 février 2016. Une trentaine de grandes tables monographiques, de maquettes, dessins, photographies et vidéos expliquent le travail de l’architecte dans son atelier, l’ampleur des réalisations et le processus de conception pour différents projets (aéroports, musées, bibliothèques ou villas).

Picasso-Giacometti, au musée Picasso. Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017.

L’exposition soulignera les relations formelles, amicales et iconographiques qui se tissèrent entre ces deux artistes majeurs du XXe siècle. Une forme de dialogue est envisagé à partir des collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti. Elle confrontera les approches respectives de Picasso et de Giacometti dans plusieurs des domaines de leur création : peinture, sculpture, art graphique, appuyées de plus des fonds d’archives privées des deux artistes.

Picasso mania, au Grand Palais. Du 7 octobre 2015 au 29 février 2016.

Roy Lichtenstein, Femme d’Alger, 1963. The Eli and Edythe L. Broad Collection, Los Angeles, © Estate of Roy Lichtenstein/DACS 2012. © ADAGP, Paris 2015.

Picasso. Sculptures, au musée Picasso. Du 8 mars au 28 août 2016.

Avec cette exposition, le musée veut faire connaître la dimension multiple de la sculpture de Picasso à travers la question des séries et variations, fontes, tirages et agrandissements, réalisés à partir des originaux sculptés.

Pingusson (Georges-Henri), le modernisme transcendé, à la Cité de l’Architecture. D’octobre 2016 à février 2017.

Plumes, vision de l’Amérique, au musée du Quai Branly. Galerie Jardin. Du 22 novembre 2016 au 29 janvier 2017.

De la symbolique de la plume dans l’Amérique précolombienne, et de la réutilisation aux premiers temps de l’évangélisation du Mexique par les religieux de l’art des plumassiers pour promouvoir la nouvelle religion. D’autres œuvres seront montrées d’art baroque andin ou même de création contemporaine.

Poème s’expose (Un), la pente de la rêverie, à la Maison de Victor Hugo. De novembre 2016 à avril 2017.

Poirier (Anne & Patrick), à la Maison européenne de la photographie. En 2016 (dates à préciser).

Pompidou (Toutes les expositions 2016-2017 au Centre)

Portrait du Roi (Le), au musée du Louvre. Été - automne 2016.

Pouvoir (L’artiste et le), au musée du Louvre, Richelieu. D’octobre 2016 à juin 2017.

Prévieux (Julien), Prix Marcel Duchamp 2014, au Centre Pompidou. Du 23 septembre 2015 au 1er février 2016.

Prostitution en France de 1850 à 1910. (Splendeurs et misères. La), au musée d’Orsay. Du 22 septembre 2015 au 17 janvier 2016.

De Toulouse-Lautrec à Degas, et de Manet à Valloton, les évocations et les images de toutes sortes de la prostitution ont fasciné l’imaginaire des grands artistes de cette époque.

>> Retour haut de la page >>

Q

Quai Branly (Toutes les expositions 2016 au musée du)

Quistrebert (Florian & Michael), au Palais de Tokyo. Du 11 février au 23 mai 2016.

>> Retour haut de la page >>

R

Rembrandt intime, au musée Jacquemart-André. Du 16 septembre 2016 au 23 janvier 2017.

Rheims (Bettina), à la Maison européenne de la Photographie. Du 28 janvier au 27 mars 2016.

© Bettina Rheims

Des premières photographies aux travaux personnels les plus récents, l’exposition mêle les séries légendaires, les images emblématiques de Bettina Rheims, comme certains travaux plus confidentiels ou d’autres encore jamais montrés en France. Ce parcours met en lumière les obsessions de Bettina Rheims autour de son sujet de prédilection : la femme, dans tous ses états, la féminité, questionnée, exposée, magnifiée.

Ritts (Herb) en pleine lumière, à la Maison européenne de la Photographie. Du 7 septembre au 30 octobre 2016.

© Herb Ritts Foundation

Robert (Hubert), 1733-1808, le peintre visionnaire au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas, Richelieu. Du 10 mars au 30 mai 2016.

Son remarquable itinéraire artistique le conduisit de Rome à la cour de France, pour laquelle il conçut des décors spectaculaires, comme peintre et paysagiste, qui lui assurèrent une célébrité européenne et des commandes jusqu’en Russie. Mémorialiste de Paris et de la Révolution, il fut le conservateur engagé du tout récent musée du Louvre.

Rodin (L’Enfer selon), au musée Rodin. Du 18 octobre 2016 au 22 janvier 2017.

Plus de 150 œuvres, dont 50 dessins rarement présentés au public, et de nombreuses sculptures restaurées pour l’exposition... pour revivre la création de La Porte de l’Enfer, un chef-d’œuvre dont l’influence allait être considérable dans l’évolution de la sculpture et des arts.

Roi est mort (Le), au Château de Versailles. Du 27 octobre 2015 au 21 février 2016.

Buste de Louis XIV, provenant de l’escalier des Ambassadeurs. Jean Varin, 1665-1666, marbre, château de Versailles.

Les détails de la mort de Louis XIV, de l’autopsie à ses funérailles... et la survie contemporaine de ce rituel. La mort du roi, roi-homme et roi-institution tient de la représentation, du spectacle baroque et joue un rôle fondamental pour la société de cour. L’exposition en retrace les détails, et les replace dans le contexte cérémoniel des funérailles des souverains européens de la Renaissance au siècle des Lumières.

Rondinone (Ugo). I love John Giorno, au Palais de Tokyo. Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016. À l’occasion des 80 ans de John.

Rottenberg (Mika), au Palais de Tokyo. Du 23 juin au 12 septembre 2016.

Royale extravagance. Joyaux indiens de la collection Al-Thani, au Grand Palais. Du 27 mars au 5 juin 2017.

230 pièces de la collection Al-Thani, racontent la joaillerie indienne, des Grands Moghols à nos jours. Des pièces inestimables : diamants, gemmes de renom, joyaux spectaculaires, objets précieux.

Ryan (David) & Jérôme Joy, au Palais de Tokyo. Du 23 juin au 12 septembre 2016.

>> Retour haut de la page >>

S

Scène de crime, au Palais de Tokyo. Du 24 mars au 16 mai 2016. Exposition conçue grâce au partenariat avec la Fondation Bettencourt Schueller.

Schönberg (Arnold). Peindre l’âme, au musée d’Art et d’histoire du judaïsme. Du 28 septembre 2016 au 29 janvier 2017.

Scorsese (Martin), à la Cinémathèque française. Du 14 octobre 2015 au 14 février 2016.

Grande première mondiale : Martin Scorsese, l’un des plus grands réalisateurs américains vivants, celui de Taxi Driver, Raging Bull, Les Affranchis, Aviator, Les Infiltrés, et le Loup de Wall Street accepte pour la première fois de s’exposer et créera l’événement la rentrée prochaine.

Sculpture et photographie (Entre), au musée Rodin. Du 12 avril au 17 juillet 2016.

Sehgal (Tino), au Palais de Tokyo. Du 12 octobre au 18 décembre 2016.

Séoul-Paris-Séoul, les artistes coréens en France, au musée Cernuschi. Du 16 octobre 2015 au 7 février 2016.

Serrano (Andres), à la Maison européenne de la photographie. En 2016 (dates à préciser).

Services Buffon au musée Nissim de Camondo (Les), au musée des Arts décoratifs. Du 13 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

L’exceptionnelle collection de services de Sèvres à décor ornithologique, connus sous le nom de « services Buffon », encyclopédie en images peintes sur porcelaine. Elle est exposée pour la première fois en regard de planches des archives Buffon et de volumes d’édition de luxe de l’Histoire naturelle des oiseaux (Paris, Bibliothèque centrale du Museum national d’Histoire naturelle) ainsi que de gravures de François-Nicolas Martinet.

Mortier à décor de "Toucan de Cayenne, dit toco", Manufacture de Sèvres. Provient du service livré le 15 mars 1787 au comte de Montmorin, ministre des Affaires étrangères, pour être offert à Eleanor Eden, épouse de William Eden, ministre plénipotentiaire de Grande-Bretagne. Inv. CAM 292.0544 © Les Arts Décoratifs / photo : Jean Tholance

Mortier à décor de "Toucan de Cayenne, dit toco", Manufacture de Sèvres. Provient du service livré le 15 mars 1787 au comte de Montmorin, ministre des Affaires étrangères, pour être offert à Eleanor Eden, épouse de William Eden, ministre plénipotentiaire de Grande-Bretagne. Inv. CAM 292.0544 © Les Arts Décoratifs / photo : Jean Tholance

Quelque 350 pièces, acquises par le comte Moïse de Camondo, allant du service de table, aux compotiers, en passant par les seaux à glace, mortier, jatte à punch ou tasses à glace... l’occasion de dresser la table de la salle à manger du musée pour 10 couverts avec le service Lefebvre orné d’oiseaux polychromes et camées en grisaille.

Sfar (Joann) - Salvador Dalí, une seconde avant l’éveil, à l’Espace Dalí. Du 9 septembre 2016 au 31 mars 2017.

En 1939, Dalí publie une « Déclaration d’indépendance de l’imagination
des droits de l’homme à sa propre folie », en réponse aux censeurs. Il emploie dès lors cette liberté d’expression en favorisant les associations d’idées et d’images spontanées qui donnent à ses œuvres une incomparable puissance imaginative.

Joann Sfar, talentueux conteur, auteur de la bande dessinée Le Chat du Rabbin et du film Gainsbourg. Vie Héroïque, imagine le scénario d’une rencontre artistique avec celui que Brassaï appelait "l’explorateur aussi
hardi que lucide de l’irrationnel".

Shoah (Après la). Rescapés, réfugiés, survivants. 1944-1947, au Mémorial de la Shoah. Du 27 janvier au 20 novembre 2016. Exposition, cycle de films et de rencontres.

Des survivants polonais descendent d’un train. Nachod, Tchécoslovaquie, 1945. Yad Vashem, photo : Arthur Zegart.

Mise en avant de trois pays : Pologne, Allemagne occupée et France. Réfugiés, survivants des camps, enfants cachés, résistants, tous aspirent à retrouver leurs proches, retourner chez eux ou trouver un refuge, imaginer à nouveau un avenir. Qui pour les aider ? Quelle justice demander ? Comment conserver les traces d’un monde disparu et amasser les preuves du crime ?

Décimées, les communautés juives parviennent à reconstituer une vie religieuse, culturelle, politique, grâce au soutien des organisations et associations, en particulier américaines.

Silvestre (Les vues topographiques de Israël), au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas. Du 20 février au 22 mai 2017.

Singes (Sur la piste des grands), à la Grande Galerie de l’évolution (Jardin des plantes). Du 11 février 2015 au 21 mars 2016.

Pour mieux connaître nos parents les plus proches...

Sites éternels. De Bâmiyân à Palmyre, Voyage au cœur des sites du patrimoine universel, au Grand Palais, Galerie Sud-Est. Du 14 décembre 2016 au 9 janvier 2017.

Arche de Palmyre, reconstruction 3D, image 3D, © Iconem/DGAM

Arche de Palmyre, reconstruction 3D, image 3D, © Iconem/DGAM

Présentation par la Rmn-Grand Palais et le Louvre, sous le haut patronage de l’Unesco, d’une exposition gratuite pour (re)découvrir les splendeurs de grands sites archéologiques aujourd’hui inaccessibles : Bâmyiân, Khorsabad, Palmyre, la Mosquée des Omeyyades de Damas et le Krak des Chevaliers, sites du patrimoine universel sous la menace de conflits.

Spectaculaire Second Empire, au musée d’Orsay, Espace Exposition, Niveau 0. Du 27 septembre 2016 au 16 janvier 2017.

Spengler (Christine). L’Opéra du monde, à la Maison européenne de la photographie. Du 6 avril au 5 juin 2016.

Stettner (Louis), au Centre Pompidou. Du 15 juin au 12 septembre 2016.

Sudek (Josef), 1896 - 1976, Le monde à ma fenêtre, au musée du Jeu de Paume. Du 7 juin au 25 septembre 2016.

Enchevêtrement sur ma table, 1967. Don anonyme, 2010 © Succession Josef Sudek Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa

L’événement « le monde à ma fenêtre » est la toute première de cette ampleur à resituer le travail et la vie de Josef Sudek (Kolin, 1896 – Prague, 1976) dans le contexte praguois de la première moitié du XXe siècle, imprégné de l’intense vie artistique de la capitale tchèque. La fascination durable qu’exercent sur Sudek la lumière et son absence est à l’origine de quelques-unes des photographies les plus envoûtantes du XXe siècle.

>> Retour haut de la page >>

-----

T

Tallon (Roger), le design en mouvement, au musée des Arts décoratifs. Du 8 septembre 2016 au 8 janvier 2017.

Tabouret Cryptogamme, 1969, Archives Roger Tallon © Les Arts Décoratifs, Paris / A.D.A.G.P. 2016

Tanabe (Carte blanche à Shouchiku), au musée Guimet. Du 13 avril au 19 septembre 2016.

Tenue correcte exigée, quand le vêtement fait scandale, au musée des Arts décoratifs. Du 1er décembre 2016 au 23 avril 2017.

Certains vêtements ont marqué une rupture, provoqué à leur apparition de virulentes critiques, voire des interdictions : trop courts ou trop longs, trop ajustés ou trop amples, trop impudiques ou trop couvrants, trop féminins pour un homme, trop masculins pour une femme...

Ting (Walasse), le voleur de fleurs (1929-2011), au musée Cernuschi. D’octobre 2016 à janvier 2017.

Tissus inspirés, Pierre Frey, au musée des Arts décoratifs. Du 21 janvier au 12 juin 2016.

Hommage rendu à la Maison Pierre Frey, l’une des références majeures dans le domaine de la décoration d’intérieur. Fondée en 1935, elle crée, édite, fabrique étoffes et papiers peints dans la plus pure tradition française. Historiquement maison de tissu d’ameublement, elle est également connue pour sa décoration et son mobilier d’intérieur.

Cy Twombly : Blooming, 2001 - 2008 Courtesy Archives Fondazione Nicola Del Roscio Photo : Studio Silvano, Gaeta © Cy Twombly Foundation

Cy Twombly : Blooming, 2001 - 2008 Courtesy Archives Fondazione Nicola Del Roscio Photo : Studio Silvano, Gaeta © Cy Twombly Foundation

Twombly (Cy), au Centre Pompidou, Galerie 1, Niveau 6. Du 30 novembre 2016 au 24 avril 2017.

>> Retour haut de la page >>

U

Universalistes (Les). Architecture portugaise contemporaine : 1965-2015, à la Cité de l’Architecture, Galerie Basse. Du 13 avril au 29 août 2016.

>> Retour haut de la page >>

V

Valadon (Suzanne), Maurice Utrillo, André Utter, à l’atelier 12, rue Cortot, 1912-1926, au musée de Montmartre. Du 16 octobre 2015 au 13 mars 2016.

Suzanne Valadon, Portrait de famille, 1912, Centre Pompidou – Musée national d’art moderne © Centre Pompidou Mnam-Cci, dist. Rmn-GP/Philippe Migeat

Rivalités et complicités créatrices du "trio infernal", à travers une sélection de près de 150 de leurs œuvres, durant cette période où Suzanne retourne vivre et peindre avec son fils et son compagnon.

Valentin, au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas. Du 20 février au 22 mai 2017.

Van Sant (Gus), à la Cinémathèque française. Du 13 avril au 31 juillet 2016.

Nicole Kidman, dans Prête à tout (1995)

Première exposition sur ce réalisateur américain qui alterne projets indépendants et films plus populaires (Will Hunting, Harvey Milk). Sa trilogie de la jeunesse et de la mort, initiée au début des années 2000 (Gerry, Elephant, Last Days) est l’œuvre d’un expérimentateur de formes, travaillant l’épure, le croisement des images et les réappropriations dans des mises en scène poétiques voire métaphysiques.

Varda / Cuba, au Centre Pompidou. Du 11 novembre 2015 au 1er février 2016. Deux mois après la crise des missiles, la rencontre "du socialisme et du cha-cha-cha". Photos faites pour le film "Salut les Cubains".

Velvet Underground (The), à la Philharmonie de Paris . Du 30 mars au 21 août 2016.

Versailles (Toutes les expositions 2016-2017 au Château de)

Vigée-Lebrun (Élisabeth), au Grand Palais. Du 21 septembre 2015 au 11 janvier 2016.

Villa Flora. Les Temps enchantés, au musée Marmottan Monet. Du 10 septembre 2015 au 7 février 2016.

Henri-Charles Manguin, La Sieste, ou le Rocking Chair, Jeanne, 1905 (Collection privée, Villa Flora, Winterthour © 2011 Pro Litteris Zurich

Découvrir pour la première fois en France des chefs-d’œuvre d’une des plus prestigieuses collections particulières, ceux que choisirent les époux Hahnloser-Bühler pour orner leur Villa Flora (Winterthour, Suisse). Près de 80 merveilles de Bonnard, Cézanne, Manet, Manguin, Matisse, Marquet, Renoir, Vallotton, Vuillard et Van Gogh...

Vivre ! La collection agnès b., au Musée national de l’histoire de l’immigration. Du 18 octobre 2016 au 8 janvier 2017.

Quand des œuvres de Claude Lévêque, Henri Cartier-Bresson ou John Giorno en côtoient de Mona Hatoum, Kader Attia et Chéri Samba, offrant un regard sensible sur les histoires de celles et ceux venus d’ailleurs.

>> Retour haut de la page >>

W

Wagner (La collection Thea Westreich Wagner et Ethan Wagner), au Centre Pompidou. Du 10 juin 2016 au 6 février 2017. Musée, Niveau 4.

Thea et Ethan ont promis en don à la Centre Pompidou Fondation 350 œuvres, représentatives de leur vision du mécénat et de leur manière de collectionner, en lien constant avec les artistes. 150 de ces œuvres d’une cinquantaine d’artistes sont présentées. Parmi eux, de grandes figures reconnues de la scène contemporaine (Eija-Liisa Ahtila, Martin Barré, Jeff Koons, Philippe Parreno, Christopher Wool, Heimo Zobernig) ainsi que d’autres dont la pratique s’est plus récemment affirmée (Claire Fontaine, Sam Lewitt, Paulina Olowska, Laura Owens, Josephine Pryde, Danh Vo…).

Certaines œuvres viennent compléter des ensembles existants d’artistes, tels que Ryan Gander et Keith Tyson, d’autres font leur entrée dans les collections du Centre, à l’image de Michael Krebber, Lucy McKenzie et Simon Starling.

Walasse Ting (1929-2010). Le voleur de fleurs, au musée Cernuschi. Du 7 octobre 2016 au 26 février 2017.

Walther (La collection Artur), à la Maison rouge. Du 17 octobre 2015 au 17 janvier 2016.

Warhol, Unlimited (Andy), au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 2 octobre 2015 au 7 février 2016.

Une série abstraite réalisée en 1978, sérigraphiée en 17 couleurs, associée à quelque 70 autres œuvres dont "Fleurs", "Mao", et les "Chaises électriques".

Wilde (Oscar), l’impertinent absolu, au musée du Petit Palais. Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017.

Une mise en scène d’Oscar Wilde (1854-1900) dans sa vie et dans son œuvre, grand écrivain d’expression anglaise, parfait francophone, qui écrivit dans notre langue sa pièce de théâtre Salomé dont il destinait le rôle titre à Sarah Bernhardt.

Wolman (Joseph), au Centre Pompidou. Du 11 juillet au 5 octobre 2016.

Wolman fut un précurseur de l’art conceptuel et minimal, et l’acteur majeur d’une mouvance qui cherchait à réactiver le rôle d’une "avant-garde". Son œuvre singulière, radicale dès 1950 quand il rejoint Isidore Isou et le mouvement lettriste, aux côtés de Jean-Louis Brau, Gabriel Pomerand, François Dufrêne, Maurice Lemaître et Guy Debord, mêle poésie, écrits, collages, tableaux, cinéma et vidéos.

Woodman (Francesca), à la Fondation Henri Cartier-Bresson. Du 11 mai au 31 juillet 2016.

Francesca Woodman, Self-deceit #1, Rome, Italie, 1978 © George and Betty Woodman

Francesca Woodman (1958-1981) a quasi exclusivement utilisé son corps dans ses images. Malgré sa disparition à 22 ans, elle laisse une impressionnante production visuelle.

>> Retour haut de la page >>

Z

Zamora (Héctor), au Palais de Tokyo. Du 21 octobre 2015 au 10 janvier 2016.

Zao Wou-Ki. Une donation exceptionnelle, musée Cernuschi. Du 24 juin au 23 octobre 2016.

Quelques pièces précieuses d’une donation toute récente de la veuve du célèbre peintre chinois et français Zao Wou-Ki... dessins, céramiques, encres de Chine, et des bronzes et des céladons de la collection du maître.

>> Retour haut de la page >>

***

Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.

Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14

Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.

Dans la série Toutes les expositions 2017-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musées d’Orsay et de l’Orangerie, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, au Petit Palais, et au Château de Versailles.

Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016, 2015, 2014, 2013, 2012.

Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers, - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon : Saintes-Maries-de-la-Mer, L’Isle-sur-la-Sorgue - Bègles - Biarritz - Biot, - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Cagnes-sur-Mer, - Cannes, - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco, - Montauban - Montpellier - Mougins, - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Ornans - Rennes : Landernau, Quimper - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire- Saint-Paul-de-Vence, - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne

Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc Berlin Bâle Bruxelles Genève Londres Madrid Milan, et Venise.

André Balbo

sources : visites, musées, presse...

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

Pour aller plus loin
mercredi 3 juillet 2019,    Expositions