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Les grandes expositions de 2010 à Paris


Toutes les expositions à ne pas manquer en 2010 !

Au Petit Palais

Exposition "Eloge du négatif" au Petit Palais
Du 18 février au 2 mai 2010
Œuvres rares, à la valeur inestimable, les calotypes - les « belles images » en grec - présentés dans Eloge du négatif n’ont été que très rarement montrés. Ces œuvres des « peintres du soleil », photographes amateurs exerçant leur art vers le milieu du XIXe siècle, montrent l’un des aspects les plus séduisants du calotype : la capture des paysages, monuments et habitants de l’Italie.
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Yves Saint Laurent
Du 11 mars au 29 août 2010
Première rétrospective présentant l’intégralité de l’oeuvre d’Yves Saint Laurent.
A travers plus de 300 modèles, de nombreux dessins, documents et films, le musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris rend un vibrant hommage au plus grand couturier de la seconde moitié du XXe siècle.
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À la Pinacothèque

Edvard Munch ou l’anti cri
Du 19 février au 18 juillet 2010
Edvard Munch, artiste mythique et mystérieux de la fin du XIXe et début du XXe, n’a pas été exposé en France depuis vingt ans.
Connu principalement pour son œuvre "le cri", la pinacothèque souhaite, avec cette exposition, présenter le travail le plus complet de l’artiste.
L’exposition « Edvard Munch ou l’anti cri » regroupe une centaine d’œuvres issues de collections privées et présentées de manière chronologique.
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À la BnF Richelieu

"Rose, c’est Paris"
Du 8 avril jusqu’au 11 juillet 2010
Une jeune femme, B., cherche Rose, sa soeur jumelle, qu’elle prétend disparue. Tel est le point de départ d’une quête initiatique dans un Paris intime, décrit dans l’objectif de Bettina Rheims au fil d’une fiction conçue avec la complicité de Serge Bramly.
Une centaine d’images et un film retracent le parcours de l’héroïne au coeur de la ville, pour une rêverie moderne inspirée du Paris de l’entre-deux-guerres.
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À la Cité de la Musique

Chopin, L’atelier du compositeur
Du 9 mars 2010 au 6 juin 2010
Réalisée en coproduction avec la Bibliothèque Nationale de France, l’exposition célèbre le bicentenaire de la naissance du pianiste et compositeur, en offrant un regard nouveau sur sa création.
L’exposition veut ici recréer l’atmosphère de "l’atelier de Chopin" grâce aux manuscrits et éditions conservés à la Bibliothèque Nationale de France.
La scénographie porte un soin tout particulier à l’exploration sonore et audiovisuelle de l’exposition.
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Au Louvre

Sainte Russie, L’art russe, des origines à Pierre le Grand
Du 5 mars au 24 mai 2010
Dans le cadre de l’année France-Russie, cette exposition exceptionnelle consacrée à l’art russe ancien offre aux regards l’histoire de la Russie chrétienne, du IXe au XVIIIe siècle.

Méroé, un empire sur le Nil
Du 26 mars au 6 septembre 2010
À l’occasion de cette première exposition consacrée à Méroé, capitale d’un empire puissant installé sur les rives du Nil, deux cents oeuvres illustrent la majesté de cette civilisation antique où se mêlent des influences africaines, égyptiennes et gréco-romaines
Située au Soudan, à deux cents kilomètres au nord de l’actuelle Khartoum, la ville de Méroé, capitale du royaume, est connue pour ses pyramides destinées aux rois et aux reines qui ont dominé la région entre 270 avant J.-C. et 350 après J.-C.

Antoine Watteau et l’art de l’estampe
Du 7 juillet au 11 octobre 2010
Extraites du Cabinet Edmond-de-Rothschild au Louvre, une centaine d’œuvres, majoritairement des eaux-fortes, rendent hommage à Watteau graveur. Quelques pièces rares en provenance d’institutions extérieures, dont des eaux-fortes et des dessins de la main même de Watteau, complètent la sélection.

Retrouvez toutes les expositions de 2010 au Louvre

Au Musée d’Orsay

Crime et châtiment, de Goya à Picasso
Du 15 mars au 27 juin 2010
L’exposition Crime et châtiment, de Goya à Picasso envisage une période d’environ deux siècles : de 1791, lorsque Le Peletier de Saint-Fargeau réclame la suppression de la peine de mort, jusqu’au 30 septembre 1981, date du vote de son abolition en France. Durant toutes ces années, la littérature a créé d’innombrables personnages de criminels. Le titre de l’exposition est lui-même emprunté à Dostoïevski.
Dans le même temps, le thème criminel investit les arts visuels. Chez les plus grands peintres, Goya, Géricault, Picasso ou Magritte, les représentations du crime ou de la peine capitale sont à l’origine d’oeuvres saisissantes.

Meijer de Haan, le maître caché
Du 15 mars au 13 juin 2010
Le peintre Meijer de Haan (1852-1895) est aujourd’hui surtout connu par les portraits souvent mystérieux qu’il inspira à son "ami" Paul Gauguin. Son oeuvre, amorcé dans sa Hollande natale, puis essentiellement mené en France, reste largement ignoré. Il fut pourtant une figure importante du cercle de Gauguin au tournant des années 1880-1890.

Au Musée du Quai Branly

La Fabrique des images
Du 16 février 2010 au 11 juillet 2011
Après Qu’est-ce qu’un corps ? et Planète Métisse, la troisième grande exposition d’anthropologie du musée du quai Branly propose au public de découvrir une "fabrique des images" qui touche les cinq continents.
Pour ce faire, en 160 oeuvres ou objets, elle donne à voir ce qui ne se voit pas d’emblée dans une image, à travers un décryptage des grandes productions artistiques et matérielles de l’Humanité.
La compréhension des images se fonde en effet sur quatre grands modèles iconologiques créés par l’Homme, que ce soit en Afrique, dans l’Europe des XVe-XVIe siècles, dans les Amériques des Indiens d’Amazonie ou des Inuit d’Alaska, jusque dans l’Australie des Aborigènes. Ces modèles iconologiques qui traduisent quatre grandes visions du monde sont désignés par les termes de totémisme, naturalisme, animisme et analogisme.

À l’Hôtel de Ville

Izis, Paris des Rêves
Du 20 janvier au 29 mai 2010
Izraëlis Bidermanas, plus connu sous le nom d’Izis, a voué la majorité de ses clichés à la ville de Paris, patrie des artistes et terre d’adoption du Lituanien.
L’œuvre d’Izis est d’une grande richesse et d’une grande originalité alors que l’histoire de la photographie le cantonne injustement à l’imagerie d’un Paris populaire. Willy Ronis se scandalisait de « cette mise au purgatoire » des photographie d’Izis dont il vantait la démarche esthétique. « La photo d’Izis a sa propre musique, simple, harmonieuse et délicate, qui cache sous ses airs populaires l’intranquillité de quelques notes de requiem. »
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Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

Pour aller plus loin
mardi 5 janvier 2010,    Adele