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Paris 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z


Le programme des expositions à Paris pour 2017 n’est pas encore tout à fait complet. Nous vous le présentons pourtant déjà, pour ce que nous en savons, du mieux possible, comme chaque année, de A à Z (voir 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, et 2011.)

Ces expositions sont classées par sujet, pour que chacun puisse y puiser ses miels personnels, et retrouver plus facilement ses préférences. Sachez que ce lexique des expositions de l’année fait référence. Celui de 2016 a été consulté par 81 299 visiteurs.


Accès direct : A - B - C - D - E - F - G - H - I - J - K - L - M - N - O - P - Q - R - S - T - U - V - W - X - Y - Z


Pour ceux d’entre vous qui savent s’organiser à l’avance, nous proposons une présentation en CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris, comme nous l’avions fait en 2016, 2015, 2014, 2013, et 2012...

Ce programme mêle les événements commencés en 2016 et se poursuivant en 2017, et ceux, tous neufs, de 2017.

Peinture d’Albert Besnard, figurant la première représentation du drame Hernani, de Victor Hugo, le 25 février 1830 à la Comédie-Française. Huile sur toile, 1903 (Maison de Victor Hugo, Paris). Ph. Jeanbor © Archives Larbor

Il va évidemment s’enrichir encore au fil du temps, les responsables de musées hésitant parfois à dévoiler trop tôt des informations qu’ils souhaiteraient encore peaufiner, et des éléments varieront sans doute parfois (modifications de titres ou de dates). Nos articles seront donc régulièrement complétés et remis à jour, et vos suggestions judicieuses seront toujours les bienvenues.

N’hésitez pas à participer à l’amélioration permanente de cette liste en nous indiquant les expositions que nous aurions pu oublier et qui vous paraîtraient présenter un intérêt particulier.

Nouveauté ! Vous pouvez aussi consulter maintenant plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, nos préférences, et les expositions qui fermeront bientôt leurs portes dans l’article : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Lire aussi le 1er DIMANCHE DU MOIS, pour ne rien rater de cette exceptionnelle journée mensuelle de gratuité, et d’accès libre aux collections permanentes.

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Nous vous présentons également pour les villes françaises les plus actives en ce domaine leur programmation dès que nous en avons connaissance. Voir en fin d’article.

De même nous vous communiquons quelques expositions pour des villes d’Europe : Bruxelles, Genève, Bâle, Amsterdam, Londres, Madrid, Milan, et Venise.

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Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer.

Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, pour l’année 2017, la sélection des meilleurs catalogues d’expositions de Paris (comme nous l’avons fait en 2016, 2015, 2014, 2013, et 2012).
Voir aussi : www.laffairedescatalogues.org.

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100 Chefs-d’œuvre de l’art moderne et contemporain arabe, La Collection Barjeel, à l’Institut du monde arabe . Du 28 février au 2 juillet 2017.

Une plongée dans la collection de Sultan Al Qassemi, grand collectionneur d’art qui a créé la Fondation Barjeel à Sharjah aux EAU pour ouvrir sa collection au public. C’est la première fois qu’elle est exposée en France.

113 ors d’Asie, au musée Guimet. . Du 21 juin au 4 septembre 2017.

1870-1871, l’Europe bascule. La naissance dramatique du couple franco-allemand, au musée de l’Armée. D’avril à juillet 2017.

21 rue La Boétie. Picasso, Matisse, Braque, Léger... au musée Maillol. Du 2 mars au 23 juillet 2017.

Chefs-d’œuvre passés chez Paul Rosenberg, grand marchand d’art et galeriste.


A

Afif (Saâdane). The Fountain Archives, au Centre Pompidou. Musée, Niveau 5. Du 1er février au 30 avril 2017.

Depuis 2008, l’artiste collectionne les publications dans lesquelles est reproduit le fameux ready-made et a ainsi donné naissance à une œuvre insolite qui n’a depuis cessé de s’enrichir.

Afrique (Chefs-d’œuvre d’). Dans les collections du musée Dapper, au musée Dapper . Du 30 septembre 2015 au 17 juin 2017.

Fang – Gabon. Figure de reliquaire. Musée Dapper, Paris © Archives musée Dapper – Photo Hugues Dubois.

Par leur ancienneté, leurs prestigieuses provenances (collections de Charles Ratton, Tristan Tzara, Paul Guillaume), la diversité des origines géographiques, les quelque 130 pièces majeures qui seront montrées n’ont souvent aucun équivalent dans le monde, telles certaines sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu), du Cameroun (Bangwa), du Bénin (Fon), ou du Mali (Dogon, Soninke).

Afrique des routes (L’), au musée du Quai Branly, Mezzanine Ouest. Du 31 janvier au 12 novembre 2017.

Masque anthropo-zoomorphe © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain

Masque anthropo-zoomorphe © musée du quai Branly - Jacques Chirac, photo Claude Germain

Berceau de l’humanité, pourvoyeur pour les autres continents de force de travail, d’or et de matières premières depuis des millénaires, l’Afrique a une histoire inscrite dans la dynamique internationale. Panorama d’un continent au carrefour des mondes, et bien à contre-courant des idées reçues.

Afriques capitales, à La Villette. Du 23 mars au 21 mai 2017.

Américaine des années 1930 (La Peinture), au musée de l’Orangerie. Du 12 octobre 2016 au 30 janvier 2017.

Grant Wood, American Gothic, 1930 Photography © Art Institut of Chicago

Anatomie d’une collection, au musée Galliera. Du 14 mai au 23 octobre 2016, puis du 3 novembre 2016 au 12 février 2017.

Suite & prolongation de l’exposition "Anatomie d’une collection" qui devient "Anatomie d’une collection – 2e partie" avec le renouvellement d’une quarantaine de pièces exposées.

Andre (Carl). Sculpture as place, 1958-2010 au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 18 octobre 2016 au 12 février 2017.

Animaux (Le Grand Orchestre des), à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain. Du 2 juillet 2016 au 8 janvier 2017.

Bernie Krause, bio-acousticien, scientifique et musicien américain, a collecté en 50 ans plus de 5 000 heures d’enregistrement sonore d’habitats naturels sauvages, terrestres et marins (15 000 espèces animales !). Une plongée exceptionnelle au cœur du monde secret des animaux.

À pied d’œuvres(s), à la Monnaie de Paris . Du 31 mars au 9 juillet 2017.

Appel (Karel). L’art est une fête ! au musée d’Art moderne de la Ville de Paris . Du 24 février au 20 août 2017.

Petite rétrospective sur l’un des fondateurs hollandais du mouvement CoBrA.

Architecte (L’) : portraits... et clichés, à la Cité de l’Architecture. Du 21 avril au 4 septembre 2017.

Architecture balnéaire du XVIIIe au XXIe siècle. Tous à la plage, à la Cité de l’Architecture. Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017.

Art / Afrique, le nouvel atelier, à la Fondation Louis-Vuitton . Du 26 avril au 28 août 2017.

"Les Initiés" (1989-2009), réunit un choix d’œuvres de la collection d’art contemporain africain de Jean Pigozzi, élaborée sous les conseils d’André Magnin. /// "Être là", une exposition collective d’artistes consacrée à l’Afrique du Sud, une des scènes les plus dynamiques du continent africain aujourd’hui. /// La présentation d’œuvres de la Collection liées à l’Afrique, mais incluant aussi des artistes travaillant ailleurs que chez eux ainsi que des artistes afro-américains.

Art (L’) de la Paix. Trésors et secrets de la diplomatie, au musée du Petit Palais. Du 19 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

1 000 ans d’histoire de la paix : traités emblématiques, et un choix d’œuvres d’art exceptionnel, destinées à préparer les esprits et apaiser les rancœurs.

Art du pastel de Degas à Redon (L’), au musée du Petit Palais. Du 15 septembre 2017 au 8 avril 2018.

Les fleurons de la collection du Petit Palais avec des œuvres de Berthe Morisot, Auguste Renoir, Paul Gauguin, Mary Cassatt et Edgar Degas, des artistes symbolistes comme Lucien Lévy-Dhurmer, Charles Léandre, Alphonse Osbert, Émile-René Ménard et un remarquable ensemble d’œuvres d’Odilon Redon, ou l’art plus mondain d’un James Tissot, de Jacques-Émile Blanche, de Victor Prouvé ou de Pierre Carrier-Belleuse.

Art et liberté : rupture, guerre et surréalisme en Égypte (1938-1948), au Centre Pompidou. Galerie du musée, Niveau 4. Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Première exposition consacrée au groupe Art et Liberté (jama’at al-fann wa al-hurriyyah), qui a rassemblé autour de Georges Henein une constellation d’artistes, d’intellectuels et d’activistes résidant au Caire dans les années 1930 et 1940. Cette plate-forme hétérogène allait se révéler propice à de nombreuses réformes culturelles et politiques, et jouer un rôle actif au sein d’un réseau international dynamique d’intellectuels et d’artistes liés à la mouvance surréaliste.

À l’aube de la Seconde Guerre mondiale et dans une Égypte sous domination coloniale britannique, le groupe Art et Liberté s’inscrivait dans un projet culturel et politique international défiant fascisme, nationalisme et colonialisme.

Art moderne de la Ville de Paris (Toutes les expositions 2017 au Musée d’)

Arts décoratifs (Toutes les expositions 2017 au musée des)

Artiste et le pouvoir (L’), au musée du Louvre, la Petite Galerie, Richelieu. D’octobre 2016 à juin 2017.

Ascètes, sultans et maharadjahs, pages indiennes du musée Guimet, au musée Guimet. Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017.

Atelier des Lumières (Ouverture de l’). À partir de mars 2018. Un nouveau lieu parisien d’expositions d’art immersives.

Auto photo, à la Fondation Cartier pour l’Art contemporain. Du 19 avril au 24 septembre 2017.

L’automobile façonne le paysage et permet l’exploration de nouveaux horizons. Elle a aussi bouleversé notre conception spatio-temporelle, offrant un nouveau paradigme à la photographie. Cette exposition rassemblera un montage des extraits mythiques de l’histoire du cinéma ainsi que quelque 400 œuvres de photographes historiques et contemporains sur le sujet : Jacques-Henri Lartigue, Ed Ruscha, Lee Friedlander, Jacqueline Hassink...

Avedon (Vieux monde, New Look, la France d’), à la BnF, site Mitterrand. Du 18 octobre 2016 au 26 février 2017.

Richard Avedon (1923, New York - 2004, San Antonio, Texas) est un photographe de mode et un portraitiste américain dont les clichés ont conquis une célébrité et une reconnaissance internationales.

Du reportage photo (Vietnam) à la mode ou aux portraits noir et blanc de stars comme Marilyn Monroe, Brigitte Bardot ou Sophia Loren, il est reconnu comme un véritable artiste dont le succès est toujours d’actualité.

Aventuriers des mers. De Sindbad à Marco Polo, à l’Institut du Monde arabe. Du 14 novembre 2016 au 5 mars 2017.

De Sindbad le marin à Marco Polo, puis d’Ibn Battûta et Vasco de Gama jusqu’aux Compagnies des Indes orientales, d’extraordinaires récits de voyages ont conté la richesse des échanges maritimes entre les mers de l’Ancien Monde. Cette exposition et son catalogue conduiront le visiteur et le lecteur au croisement de l’or d’Afrique et de l’argent d’Occident, des diamants de Golconde et des verreries de Venise, des porcelaines, des soieries et des épices venues de Chine et des Moluques.

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B

Balenciaga, l’œuvre au noir, au musée Bourdelle. Du 8 mars au 16 juillet 2017.

Balnéaires (Tous à la plage ! Naissance et évolution des stations), à la Cité de l’Architecture. Du 19 octobre 2016 au 13 février 2017.

Barbara, au Philharmonie. Du 13 octobre 2017 au 28 janvier 2018.

Baroque (Le Geste). Dessins, esquisses et bozzetti sculptés des collections des musées de Salzbourg, au musée du Louvre, Mollien. Du 18 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Paul Troger, Salomons Urteil. Le Jugement de Salomon. Salzburgmuseum. GmbH, Salzburg. © D.R.

Baroque des Lumières (Le). Chefs-d’œuvre du XVIIIe siècle des églises de Paris, au musée du Petit Palais. Du 21 mars au 16 juillet 2017.

Importance et diversité de la peinture religieuse parisienne de la Régence à la Révolution : des héritiers du Grand Siècle, comme Largillierre et Restout, aux tenants du goût rocaille, de Lemoine à Carl Van Loo, au meilleur du néo-classicisme, de Vien à David.

Pour voir réunis, dans une mise en scène exceptionnelle, ces grands tableaux d’autel de Paris qui viennent d’être restaurés.

Baudelaire (L’œil de), au musée de la Vie romantique. Du 20 septembre 2016 au 29 janvier 2017.

Bauhaus (L’esprit du). L’objet en question, au musée des Arts décoratifs. Du 19 octobre 2016 au 26 janvier 2017.

Le Bauhaus, de 1919 à 1933, à Weimar, Dessau puis Berlin, fut une école où peintres, architectes, artisans, ingénieurs, acteurs, musiciens, photographes, designers travaillaient ensemble à une nouvelle conception de la vie quotidienne : rendre vie à l’habitat par la synthèse des arts plastiques, de l’artisanat et de l’industrie. Des professeurs aussi opposés que Johannes Itten et Laszlo Moholy Nagy y formèrent des élèves dont la photographe Florence Henry et l’architecte Marcel Breuer, pape du mobilier tubulaire.

Frédéric Bazille, La Robe rose, 1864. Huile sur toile, Paris, musée d’Orsay © Rmn-Grand Palais / msée d’Orsay / Hervé Lewandowski

Bazille (Frédéric), 1841-1870. La jeunesse de l’impressionnisme, au musée d’Orsay, espace Exposition Niveau 5. Du 15 novembre 2016 au 5 mars 2017.

Bébés animaux, à la Cité des sciences. Du 19 avril 2016 au 20 août 2017. Éléphanteau, poussin, ou delphineau, cette exposition pour les tout-petits fait découvrir le monde de 73 espèces, de leur naissance à leur autonomie. À faire debout ou à quatre pattes !

Ben, au musée Maillol. Du 14 septembre 2016 au 15 janvier 2017.

A bas la culture, 1993. 120 x 250 cm (4 panneaux). Ben Vautier, Nice

Pour la réouverture du musée, resté fermé 18 mois, une exposition, venue en bonne partie du musée Tinguely de Bâle, du Suisse Ben Vautier, des bananes aux écritures, Fluxus, le rapport de l’artiste à l’art, à l’Histoire de l’art, à ses interrogations. Une partie, plus contemporaine, égrainera des moments inspirés de thèmes comme "petites idées", "nouvelles écritures", "photographie", "le temps", et même "la mort".

Ben Jelloun (Tahar), à l’ Institut du monde arabe. Du 10 octobre 2017 au 7 janvier 2018.

Besnard (Albert, 1849-1934). Modernités Belle Époque, au musée du Petit Palais. Du 25 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Premier peintre qui eut l’honneur de funérailles nationales, Albert Besnard, symboliste tardif, chantre des courbes de la femme 1900, portraitiste et grand décorateur mural, un parcours qui ne demande qu’à être reconsidéré.

Bibliothèque, la nuit (La). Bibliothèques mythiques en réalité virtuelle, à la BnF, site Mitterrand. Galerie 2. Du 16 mai au 13 août 2017.

© Stéphane Bourgeois

La bibliothèque, la nuit, devient une machine à rêves. Grâce à la réalité virtuelle, cette exposition propose un voyage onirique dans le temps et dans le monde, qui mène de Sarajevo à Mexico et d’Alexandrie jusqu’au fond des océans.

Invité à vivre une expérience d’immersion muséale et scénographique, le visiteur, au moyen de lunettes vidéo 3D, parcourt une forêt de dix bibliothèques réelles ou imaginaires.

Bibliothèque nationale de France (Toutes les expositions 2017 de la)

Biennale de Paris (La), au Grand Palais. Du 11 au 17 septembre 2017.

"Le plus beau musée éphémère du monde" : avec des pièces inédites des Collections Barbier-Mueller ; "Paysage anthropomorphe" de Pablo Picasso, présenté par la galerie Hélène Bailly ; une "déesse mère" vieille de 6000 ans, protectrice évocatrice de fertilité, présentée par la galerie Kevorkian, probablement originaire d’Anatolie ; quatre tapisseries de la galerie Chevalier, réédition précieuse tissée à la Manufacture Royale des Gobelins entre 1665 et 1673 pour Jean-Baptiste Colbert (1619-1683), le ministre de Louis XIV...

Biskra, reine du désert, à l’Institut du Monde arabe. Du 23 septembre 2016 au 22 janvier 2017.

Bourdelle et les dieux : le futur de l’Antique, au musée Bourdelle . D’octobre 2017 à février 2018.

Bourdelle, sculpteur et photographe. De bruit et de fureur, au musée Bourdelle . Du 27 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Brassaï Graffiti, au Centre Pompidou. Galerie de photographies, Forum -1. Du 9 novembre 2016 au 30 janvier 2017.

Brassaï (1899–1984) est l’un des premiers, dans l’histoire de la photographie moderne, a concentré son regard sur des dessins, signes et gribouillages des murs de la ville. Il établit un protocole, et, au fil des années, constitue un imagier des traces laissées sur les murs. Une centaine de tirages d’époque et de documents.

Buffet (Bernard). Rétrospective, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 14 octobre 2016 au 5 mars 2017 (prolongation).

Les oiseaux, le rapace, 1959 Huile sur toile, 240 x 335 cm S.D.B.DR. : Bernard Buffet 59 Donation de Maurice Garnier et Ida en 2012 © ADAGP, Paris © Eric Emo / Parisienne de Photographie.

Les oiseaux, le rapace, 1959 Huile sur toile, 240 x 335 cm S.D.B.DR. : Bernard Buffet 59 Donation de Maurice Garnier et Ida en 2012 © ADAGP, Paris © Eric Emo / Parisienne de Photographie.

Avec une centaine de peintures de Bernard Buffet (1928-1999), ce célèbre peintre français si controversé, cette exposition mettra en perspective ses grands thèmes : clowns, cycles religieux, mythologiques, littéraires ou allégoriques.

L’accent sera mis sur ses grandes séries peu connues (Horreur de la Guerre, Les Oiseaux, Les Folles) et sur l’histoire de la peinture (Le Sommeil d’après Courbet, La Leçon d’anatomie d’après Rembrandt), jusqu’à la très spectaculaire série se référant aux Memento mori médiévaux.

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C

Caro / Jeunet, à la Halle Saint-Pierre. Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018.

Image tirée du film Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain

Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro pour une première grande exposition événement : le cinéma, à travers extraits de films, objets, costumes et documents vient dialoguer avec les dessins et peintures de Marc Caro et des œuvres d’art singulier réalisées ou collectionnées par Jean-Pierre Jeunet.

Cattelan (Maurizio). Not afraid of Love, à la Monnaie de Paris. Du 22 octobre 2016 au 8 janvier 2017.

Un choix d’œuvres, de celles qui demeurent accrochées à la rétine... quand Cattelan réinvente le portrait. Irrévérencieux, génial, facétieux, drôle, grave, provocateur, cynique, potache, Maurizio Cattelan n’est jamais là où on l’attend.

Le Poing

César, la rétrospective, au Centre Pompidou. Galerie 1, Niveau6. Du 13 décembre 2017 au 23 mars 2018.

Le Poing

Cette rétrospective de cette figure majeure du Nouveau Réalisme réunit une centaine de ses œuvres venues du monde entier. Certains cycles méconnus, comme ceux des premières Venus, des sculptures de Plexiglas "enrubannées", des Championnes, à partir de carcasses automobiles, réalisées en 1986, de la Suite milanaise de 1998 constituent des ensembles qui ne furent encore jamais réunis.

Paul Cézanne, Portrait de l’artiste au fond rose, c.1875, Huile sur toile, 66 x 55 cm, Paris, musée d’Orsay, donation anonyme sous réserve d’usufruit aux musées nationaux, 2000. © RMN/ Art Ressource, NY

Cézanne (Portraits de), au musée d’Orsay. Du 13 juin au 23 septembre 2017.

Paul Cézanne, Portrait de l’artiste au fond rose, c.1875, Huile sur toile, 66 x 55 cm, Paris, musée d’Orsay, donation anonyme sous réserve d’usufruit aux musées nationaux, 2000. © RMN/ Art Ressource, NY

Une sélection de grands portraits de Cézanne, portraits très particuliers, qui se répondent et révèlent sans doute une facette primordiale de cet artiste, personnelle et humaine, relativement peu mise en avant jusqu’à présent : paires complémentaires, série d’un même sujet, développement chronologique, évolutions de style et de méthode, balancements de la ressemblance à l’identité.

Chéreau et l’opéra (Patrice), à la bibliothèque-musée de l’Opéra Garnier . Du 18 novembre 2017 au 3 mars 2018.

Chrétien d’Orient, 2000 ans d’histoire, à l’ Institut du monde arabe. Du 26 septembre 2017 au 14 janvier 2018.

Christian Dior, couturier du rêve, au musée des Arts décoratifs. Du 5 juillet 2017 au 7 janvier 2018.

La rétrospective-événement sur un grand couturier qui fut galeriste. 300 modèles présentés, dans un dialogue avec de grands moments de l’histoire de l’art.

Chtchoukine (Icônes de l’art moderne. La collection), à la Fondation Louis-Vuitton . Du 21 octobre 2016 au 5 mars 2017 (prolongation).

Gauguin, Eh quoi, tu es jaloux ? (No te aha ’oe fe’i’i ?), 1892. Musée Pouchkine.

Une exposition d’envergure internationale avec les chefs-d’œuvre de ce grand collectionneur russe (1854, Moscou-1936, Paris) des impressionnistes et postimpressionnistes (Monet, Cézanne, van Gogh, Gauguin, Picasso Matisse, qui décora son hôtel particulier). Grâce aux prêts exceptionnels des musées de l’Ermitage et Pouchkine.

Ciao Italia !, au musée de l’histoire de l’immigration. Du 28 mars au 10 septembre 2017.

La plus importante immigration que connut la France, de 1850 à 1960 : les Italiens !

Collection Al-Thani (Des Grands Moghols aux Maradjahs. Joyaux de la), au Grand Palais. Salon d’Honneur. Du 29 mars au 5 juin 2017.

230 pièces de la collection Al-Thani, racontent la joaillerie indienne, des Grands Moghols à nos jours. Des pièces historiques inestimables : diamants, gemmes de renom, joyaux spectaculaires, objets précieux.

Collection Marin Karmitz, étranger résident (La), à la Maison rouge. Du 20 octobre 2017 au 21 janvier 2018.

Une autre collection privée.

Collection Leiden (Chefs-d’œuvre de la). Le siècle de Rembrandt, au musée du Louvre, Aile Sully. Du 22 février au 22 mai 2017.

Collectionneur américain, Thomas S. Kaplan a réuni, avec cette Leiden Collection, l’un des ensembles les plus complets de tableaux du Siècle d’or hollandais en mains privées : Jan Steen, Rembrandt et Jan Lievens, leur maître Lastman, Frans van Mieris, Gérard Dou, Gérard ter Borch…

Collection Tessin, un Suédois à Paris au XVIIIe siècle, au musée du Louvre, Rotonde Sully. Du 17 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Collections contemporaines de 1960 à nos jours. Nouvelle présentation, au Centre Pompidou. Niveau 5. À partir de juin 2017.

Un panorama des pratiques qui affirment à partir des années 1960 une dimension corporelle (l’esprit Fluxus, l’actionnisme viennois ou l’art corporel,), langagière (art conceptuel américain et conceptualisme international) ou objectale (minimalisme, arte povera).

Les années 1970 et 1980 sont dépeintes à travers des installations, à l’instar de Dream Passage with Four Corridors (1984) de Bruce Nauman ou Das Figur-Grund Problem in der Architektur des Barock (1985) de Reinhard Mucha. Pour les années 1990 et 2000, le parcours présente les nouvelles pratiques, comme celles de l’"esthétique relationnelle".

De grandes œuvres-repères du musée : le Magasin (1958-1973) de Ben, la Salle Blanche (1975) de Marcel Broodthaers, Réserve (1990) de Christian Boltanski ou Precious Liquids de Louise Bourgeois (1992).

Collections modernes 1905-1965. Nouvelles présentations, au Centre Pompidou. Niveau 5. À partir du 3 mai 2017.

Color Line (The). Les artistes afro-américains et la ségrégation aux États-Unis, au musée du Quai Branly, Galerie Jardin. Du 4 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

The Color Line désigne la ségrégation des Noirs après la fin de la guerre de Sécession en 1865. L’exposition aborde cette histoire avec l’angle de la création artistique sous toutes ses formes, par les artistes afro-américains, victimes de cette « ligne de couleur » discriminatoire, et presque toujours marginaux en leur temps. Un parcours chrono-thématique par 200 œuvres (peinture, sculpture, photographie, film, musique, graphisme et bande-dessinée).

Coluche, à l’Hôtel de Ville. Du 6 octobre 2016 au 14 janvier 2017.

Corot et la figure, au musée du Luxembourg. Du 8 février au 8 juillet 2018.

Célébré pour ses paysages, il fut aussi un immense et moderne peintre de figures, particulièrement estimé de Degas.

Corps en mouvement. De l’opéra au musée, au musée du Louvre, Petite Galerie. Du 6 octobre 2016 au 3 juillet 2017.

Costumes espagnols, entre ombre et lumière, à la maison de Victor Hugo. Du 21 juin au 24 septembre 2017.

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D

DADA et l’art africain, au musée de l’Orangerie. Du 17 octobre 2017 au 19 février 2018.

Dahai (Carte blanche à Jiang), au musée Guimet. Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017.

Daho l’aime pop, au Philharmonie. Du 5 décembre 2017 au 29 avril 2018.

Dalida, la garde-robe de la ville à la scène, au musée Galliera. Du 29 avril au 13 août 2017.

Dalida. Paris, Bobino, octobre 1958 © Boris Lipnitzki / Roger-Viollet

Dalida est une icône de la mode. Look pulpeux, fifties, swinging London, acidulé, théâtral... elle ne laissait rien au hasard, et les couturiers l’aimaient. Habillée par les plus grands à la ville comme à la scène, en haute couture ou en prêt-à-porter, la miss Égypte à la plastique explosive devient Dalida et fait un tabac à Bobino avec Bambino. Taille marquée, hanche et poitrine moulées, épaule dégagée, chute de reins, tout est vertigineux chez elle.

Robes New Look Carven des années 50, fourreau rouge incendiaire façon Hollywood par Jean Dessès, sobre et chic en Azzaro, robe chasuble du Balmain sixties, costumes paillettes et disco par Michel Fresnay dans les années 1970, classique et indémodable en Saint Laurent, elle a tout osé, tout porté.

Dans la peau d’un soldat. De la Rome antique à nos jours, au musée de l’Armée. Du 11 octobre 2016 au 28 janvier 2018.

Degas Danse Dessin. Un hommage à Degas avec Paul Valéry, au musée d’Orsay. Du 28 novembre 2017 au 25 février 2018.

Edgar Degas (1834-1917) Danseuses montant un escalier. Entre 1886 et 1890. Huile sur toile. H. 39 ; L. 89,5 cm. Paris, musée d’Orsay. Legs du comte Isaac de Camondo, 1911 © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Stéphane Maréchalle

L’amitié de plus de 20 ans de Degas et de Valéry donna lieu au texte Degas Danse Dessin, publié aux éditions Vollard en 1937, fil conducteur de cette exposition. À la fois intime et universel, il offre une évocation poétique et fragmentaire de la personnalité du peintre et de son art, et comme une méditation sur la création.

Delprat (Hélène) : "I Did It my Way", à la Maison rouge. Du 23 juin au 17 septembre 2017.

Inspirée par la littérature, le cinéma, les databases d’Internet, la radio, la presse, Hélène développe au travers d’une pratique quotidienne une sorte de Livre d’Heures grinçant où se mêlent fiction et documentaire. Ses interviews vraies ou fausses, ses dessins radiophoniques, ses peintures, ses vidéos et ses collections d’articles complètent cette inventaire d’un monde fait de hasard et de programmation.

Depardon (Raymond). Traversée, à la Fondation Henri Cartier-Bresson. Du 13 septembre au 17 décembre 2017.

André Derain. L’Estaque route tournante, 1906. Huile sur toile, 129,5 × 195 cm, Museum of Fine Arts, Houston.

André Derain. L’Estaque route tournante, 1906. Huile sur toile, 129,5 × 195 cm, Museum of Fine Arts, Houston.

Derain (André), 1904-1914, la décennie radicale, au Centre Pompidou. Galerie 2, Niveau 6. Du 4 octobre 2017 au 29 janvier 2018.

Souvent moteur, théoricien et intellectuel dans l’éclosion du fauvisme, du cubisme et d’un retour précoce au réalisme, l’œuvre d’avant-guerre d’André Derain fascine par sa très grande inventivité, sa richesse, sa radicalité et son audace.

Balthus, Les Beaux jours (1944-1946). Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Smithsonian Institution, Washington, DC, Gift of the Joseph H. Hirshhorn Foundation, 1966 Photography by Lee Stalsworth

Derain, Balthus, Giacometti : une amitié artistique, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 2 juin au 29 octobre 2017.

Balthus, Les Beaux jours (1944-1946). Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Smithsonian Institution, Washington, DC, Gift of the Joseph H. Hirshhorn Foundation, 1966 Photography by Lee Stalsworth

200 œuvres pour convaincre que, bien au-delà d’une admiration réciproque et d’une véritable affection dont ils témoigneront tout au long de leur propre vie, c’est une profonde communauté esthétique qui réunissait ces trois-là.

Dessin au tableau au siècle de Rembrandt (Du), à la Fondation Custodia. Du 4 février au 7 mai 2017.

Dessiner en plein air. Variations du dessin sur nature dans la première moitié du XIXe siècle, au musée du Louvre. Rotonde Sully. Du 18 octobre 2017 au 29 janvier 2018.

Quand le dessin sur nature se définit progressivement comme une œuvre en soi, une œuvre achevée ayant sa propre justification, sa propre finalité.

Dessiner le quotidien. La Hollande au Siècle d’or, au musée du Louvre, Rotonde Sully Sud. Du 15 mars au 12 juin 2017.

Une grande exposition de dessins retraçant le développement de la scène de genre aux Pays-Bas au XVIIe siècle et le foisonnement de motifs quotidiens chez les peintres d’histoire, paysagistes ou de genre.

Des(t/s)ins de guerre, au musée Zadkine. Du 2 octobre 2016 au 5 février 2017.

The Route. 2006. Chieh-Jen Chen. 35mm film transféré sur DVD, couleur & noir et blanc, muet, 16’ 45’’ © Chieh-Jen Chen, courtesy galerie Lily Robert

The Route. 2006. Chieh-Jen Chen. 35mm film transféré sur DVD, couleur & noir et blanc, muet, 16’ 45’’ © Chieh-Jen Chen, courtesy galerie Lily Robert

Didi-Huberman (Georges). Soulèvements, au musée du Jeu de Paume. Du 18 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

Ce sont des gestes qui disent non face à un état de l’histoire considéré comme trop « pesant » et qu’il faut donc « soulever », si ce n’est envoyer balader... Ce sont aussi des gestes qui disent oui à quelque chose d’autre : à un monde désiré meilleur, un monde imaginé ou esquissé, un monde autrement vivable ou pensable.

Di Rosa (Hervé) et les arts modestes, à la Maison rouge. Du 22 octobre 2016 au 22 janvier 2017.

Présentation des collections d’Hervé Di Rosa, associées à son travail d’artiste dès le début des années 1980, un parcours subjectif à travers ses œuvres personnelles qui cohabitent avec ses faramineuses collections de jouets, figurines, personnages de BD, objets d’art populaire et modeste en provenance des régions du monde où il a séjourné (Mexique, Espagne, Floride, Cameroun, Vietnam, Portugal).

Donation Marcie-Rivière : Bonnard et Vuillard, au musée d’Orsay. Jusqu’au 2 avril 2017.

Une donation exceptionnelle d’œuvres des peintres nabis.

Dragonland, à Paris Expo / Porte de Versailles / Pavillon 2.1 . Du 25 mai au 30 septembre 2017.

Duroy (Stéphane). Again and again, au Bal. Du 6 janvier au 9 avril 2017.

Une Amérique loin d’être aussi fiérote...

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E

Éclectique. Une collection du XXIe siècle, au musée du Quai Branly, Mezzanine est. Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017.

Une réflexion sur l’histoire du collectionnisme, mais aussi sur la place des arts dits « primitifs » dans l’histoire des arts, à travers 61 chefs-d’œuvre (art africain et océanien, grandes œuvres classiques, modernes, contemporaines, historiques ou rares... de la collection de Marc Ladreit de Lacharrière.

Écran japonais (L’), à la Cinémathèque française. Du 14 septembre 2016 à juin 2017.

L’histoire des relations privilégiées de la Cinémathèque française avec les cinéastes, producteurs, distributeurs et techniciens japonais, des années 1950 à nos jours.

Effets spéciaux. Crevez l’écran !, à la Cité des Sciences et de l’industrie. Du 17 octobre 2017 au 19 août 2018.

Supers héros, monstres et science-fiction... des effets à vous laisser sans voix

Enquêtes vagabondes, Félix Regamey et Émile Guimet en Asie, au musée Guimet. Du 18 octobre 2017 au 26 février 2018.

En toute chose, au Palais de Tokyo. Du 3 février au 8 mai 2017.

Ces expositions explorent les relations que nous entretenons ou que nous subissons dans notre rapport au réel. Elles s’interroger sur nos pouvoirs parfois absurdes sur les objets qui nous entourent comme sur celui, magique, enchanté ou inquiétant, qu’ils exercent sur nous.

+ Sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce. Exposition collective. Commissaire Yoann Gourmel.

+ Taro Izumi. Résident 2017 Sam Art Projects. Commissaire Jean de Loisy.

+ Abraham Poincheval. L’artiste réalisera deux nouvelles performances intitulées Pierre et Œuf à des dates communiquées bientôt. Commissaire Adélaïde Blanc.

+ Mel O’Callaghan. Dangerous on-the-Way. Lauréate du prix Sam pour l’art contemporain 2015. Commissaire Daria de Beauvais.

+ Dorian Gaudin. Commissaire Julien Fronsacq.

+ Emmanuel Saulnier. Black Dancing. Commissaire Katell Jaffrès.

+ Anne Le Troter. Lauréate du grand prix du 61e Salon de Montrouge. Commissaire Claire Moulène.

+ Emmanuelle Lainé. Œuvre in situ / Anémochorie. Le Païpe, by The Swarovski Foundation. Commissaire Claire Moulène.

Entre Ciel et terre. Le globe et l’architecte, à la Cité de l’architecture. De novembre 2017 à mars 2018.

Esprit français (L’), contre-cultures en France 1969-1989, à la Maison rouge. Du 24 février au 21 mai 2017.

Pays qui ne s’aime pas, mais ne peut se penser qu’au centre d’un modèle culturel, où l’auto-référentialité et l’auto-célébration iraient de pair, une cartographie subjective et critique de la culture d’une époque en France, celle d’une génération post-1968, prônant toutes les libérations tout en maintenant un quasi statu quo politique.

Une situation paradoxale marquera les mouvements d’émancipation et de contestation, et créera de nouvelles formes d’avant-garde où les cultures populaires (cinéma, rock, BD, télé, graphisme…) influent sur les savoirs et les champs esthétiques plus traditionnels (théâtre, philosophie, arts plastiques).

Être moderne : le MoMA à Paris, à la Fondation Louis Vuitton. Du 11 octobre 2017 au 5 mars 2018.

Une sélection de 200 œuvres (Beckmann, Calder, Cézanne, Duchamp, Evans, Johns, Klimt, Kusama, Magritte, Picasso, mies van der Rohe, Stella, Signac...), choisies dans 6 départements du musée et reflétant l’historique de ses collections : peintures, sculptures, dessins, estampes, photographies, films, œuvres numériques, performances, objets d’architecture et de design.

Eva & Adele, you are my biggest inspiration, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 30 septembre 2016 au 26 février 2017.

Ce couple autoproclamé "Les Jumelles hermaphrodites dans l’art" ont fait donation en 2013 au MAMVP de deux installations vidéo, deux sculptures et une édition. Elles fondent leur production artistique sur des idées d’échanges permanents avec le public dans une véritable symbiose entre art et culture de masse, entre vie publique et sphère privée, cherchant à démontrer que le sexe n’est pas une question simple.

Evans (Walker), un style vernaculaire, au Centre Pompidou. Galerie 2, Niveau 6. Du 26 avril au 14 août 2017.

La rétrospective retrace, de ses premières photographies de la fin des années 1920 jusqu’aux polaroids des années 1970, la totalité de sa carrière à travers plus de 300 tirages vintages provenant des plus grandes collections internationales.

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F

Fantin-Latour (Henri). Le cercle intime, au musée du Luxembourg. Du 14 septembre 2016 au 12 février 2017.

Autoportrait (1859), musée de Grenoble.

Ses natures mortes, fleurs ou fruits, restent fort appréciées, et ses scènes d’intérieur sont réalisées dans une gamme le plus souvent monochrome de gris et de brun.

Fêtes et divertissements à la Cour, au Château de Versailles. Du 29 novembre 2016 au 26 mars 2017.

3 règnes d’ingéniosité, de surprise et de magnificence : Louis XIV, Louis XV, Louis XVI.

Figure du fou (La), au musée du Louvre. Hall Napoléon Haut. D’octobre 2017 à janvier 2018.

Figures du quotidien. La scène de genre dans le dessin hollandais du Siècle d’or, au musée du Louvre, Hall Napoléon Haut. Du 20 février au 22 mai 2017.

Fischer (Hervé), au Centre Pompidou. Galerie du musée, Niveau 4. Du 14 juin au 11 septembre 2017.

Folie en tête (La). L’invention de l’art des fous, à la Maison de Victor Hugo. De novembre 2017 à février 2018.

Fondation Cartier pour l’art contemporain (Les expositions à la)

Forest (Fred), au Centre Pompidou. Forum, Niveau -1. Du 12 juillet au 28 août 2017.

France-Allemagne(s), 1870-1871 : la guerre, la Commune, les mémoires, au musée de l’Armée. Du 12 avril au 30 juillet 2017.

Occultée par les deux conflits mondiaux, la guerre entre la France et l’Allemagne de 1870 à 1871 est aujourd’hui un sujet souvent méconnu, alors qu’elle représente un moment fondateur dans la relation entre ces deux pays, autour de laquelle se noue déjà l’avenir de l’Europe.

Portrait de François Ier par Jean Clouet / Photo RMN-Grand Palais – Musée du Louvre - Hervé Lewandowski

François 1er et l’art des Pays-Bas, au musée du Louvre. Hall Napoléon Bas. Du 18 octobre 2017 au 15 janvier 2018.

François Ier fut à son époque un mécène pour l’art italien mais il facilita aussi l’implantation en France d’artistes originaires des Pays-Bas, dont Jean Clouet et Corneille de La Haye dit Corneille de Lyon spécialisés dans le portrait...

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G

Gabon, au au musée du Quai Branly. Du 3 octobre 2017 au 28 janvier 2018.

Galliera (Musée) (Les expositions du)

Game. Une histoire du jeu vidéo, à la Fondation EdF. Du 1er mars au 27 août 2017.

45 ans de conquête pour une industrie qui ne manque pas d’appétit.

Gao Bo. Les offrandes, à la Maison européenne de la photographie. Niveau 2 et 1. Du 8 février au 9 avril 2017.

Nourri des préceptes de Marcel Duchamp comme de la pensée de Lao Tseu, Gao Bo entame un processus de questionnement et de réinvention autour de
sa pratique de la photographie. Utilisant le matériel produit au cours de ses premiers voyages au Tibet, il reprend ses tirages et les recouvre d’encre, de peinture et de son propre sang.

© BoStudio, Photo by Ma Xiaochun

Au fil des années, ses interventions sur les photographies se font de plus en plus extrêmes et flirtent avec la performance, allant jusqu’à recouvrir de peinture noire des tirages monumentaux, ou à brûler entièrement une série de portraits de condamnés à mort pour en récolter les cendres. Gao Bo n’a de cesse de repousser les limites du medium photographique, questionnant la disparition, la trace et le renouveau possible à travers un processus créatif aux frontières de la destruction.

Gaston : au-delà de Lagaffe, à la Bibliothèque publique d’information / Centre Pompidou, Espace presse, Niveau 2. Du 7 décembre 2016 au 10 avril 2017.

Gaston Lagaffe fêtera ses 60 ans le 8 février 2017, date de sa première parution dans le journal de Spirou. "Héros sans emploi" créé par Franquin pour animer le journal, il devient très vite l’un des personnages majeurs de l’épopée Spirou et, sur plus de 900 planches, un grand classique de la BD.

Gauguin, l’alchimiste, au Grand Palais. Du 11 octobre 2017 au 22 janvier 2018.

Paul Gauguin (1848-1903), peintre postimpressionniste, est considéré comme le chef de file de l’École de Pont-Aven, l’inspirateur des nabis, et l’un des artistes français majeurs du XIXe siècle.

Paul Gauguin, L’esprit des morts veille (Manaò tupapau), 1892. Huile sur toile, 73 x 92 cm. Buffalo, Albright-Knox Art Gallery

Cette exposition retrace son étonnante carrière et ses explorations des arts les plus divers : peinture, dessin, gravure, sculpture, céramique, etc.

Les chefs-d’œuvre réunis mettent en avant le travail de Gauguin sur la matière et son processus de création, une œuvre peuplée de répétition de motifs et de thèmes récurrents.

Génocide (Le Premier) du XXe siècle. Herero et Nama dans le Sud Ouest africain allemand, 1904-1908, au Mémorial de la Shoah . Du 25 novembre 2016 au 12 mars 2017.

Germain (Louise-Denise), 1870-1936. Reliures, à la Bibliothèque de l’Arsenal. Du 6 avril au 7 mai 2017.

Golem ! Avatars d’une légende d’argile, 132793 au musée d’art et d’histoire du judaïsme . Du 8 mars au 16 juillet 2017.

Goscinny (René), au-delà du rire (1926-1977), au musée d’art et d’histoire du judaïsme . Du 27 septembre 2017 au 4 mars 2018.

À l’occasion de la commémoration des 40 ans de sa disparition, une importante exposition avec plus de 200 pièces dont 50% n’ont jamais été montrées.

Goscinny et le cinéma : Astérix, Lucky Luke & Cie, à la Cinémathèque. Du 4 octobre 2017 au 7 mars 2018.

Pour le versant cinéma et ses nombreuses influences sur ce génial créateur...

Grand Palais (Toutes les expositions 2017)

Grand Trouble, à La Halle Saint Pierre. Du 9 mai au 30 juillet 2017.

Une quarantaine d’artistes : dessins, peintures, sculptures, photographies, installations, vidéos se confrontent et s’assemblent pour parler de la vie, du monde, de notre quotidien.

Gronon (Philippe). Révéler, au musée Picasso, Niveau -1. Du 8 novembre 2016 au 8 janvier 2017.

Guerres secrètes, au musée de l’Armée. Du 12 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Une exposition sur les guerres secrètes à travers leurs enjeux, leurs mécanismes, leurs moyens ainsi que les hommes et les femmes qui en sont les acteurs. En confrontant réalité et fiction, elle découvre les grandes heures de l’espionnage et du contre-espionnage, les actions clandestines et subversives, les opérations d’intoxication et de propagande, en temps de guerre comme de paix.

Guimet (Musée national des arts asiatiques. Musée) (Toutes les expositions 2017 du)

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H

Hergé, au Grand Palais. Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017.

Inventeur de la ligne claire et pape du 9e art européen, tous les talents du créateur de plus de 300 personnages...

Peter Getting Out of Nick’s Pool, 1966

Hockney (David), au Centre Pompidou. Du 21 juin au 23 octobre 2017.

Peter Getting Out of Nick’s Pool, 1966

Généreuse rétrospective des 60 premières années de la carrière de ce célèbre artiste anglo-californien touche-à-tout et hédoniste.

Hodler / Monet / Munch : peindre l’impossible, au musée Marmottan Monet. Du 15 septembre 2016 au 22 janvier 2017.

Ces peintres essentiels de la modernité européenne, entre impressionnisme, post-impressionnisme et symbolisme, ont affronté des questions de peinture en apparence insurmontables, avec la même constance, et au risque d’être incompris.

Hôtel d’Heidelbach (Réouverture de l’), une des dépendances du musée Guimet, au 19 de l’avenue d’Iéna. Collection de mobilier chinois, et exposition temporaire de la collection Ise de porcelaine chinoise. À terme le rez de chaussée de l’Hôtel accueillera la collection de textiles du musée. Le jardin japonais ouvrira au printemps 2018. À partir du 21 juin 2017.

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I

Île de la Cité (Mission). Le Cœur du Cœur. L’Île de la Cité à l’horizon 2040, à la Conciergerie. Du 15 février au 17 avril 2017.

Dans la salle des Gens d’Armes. Accès gratuit du 15 au 19 février, et le 5 mars.

Images birmanes. Trésors photographiques du Mnaag, au musée Guimet. Dans la bibliothèque historique du 2e étage. Du 18 octobre 2017 au 22 janvier 2018.

Images à la sauvette. Photographies par Henri Cartier-Bresson, à la Fondation Henri Cartier-Bresson. Du 11 janvier au 23 avril 2017.

Imagine van Gogh, à la Grande Halle de La Villette . Du 23 juin au 10 septembre 2017.

Pour expérimenter les émotions que procureraient quelque 200 œuvres du peintre... en dimensions XXL.

Paul Cézanne (1839-1906), Baigneuses, vers 1895, huile sur toile, 47 x 77 cm © Ordrupgaard, Copenhague / Photo Anders Sune Berg

Impressionnistes de la Collection Ordrupgaard, Cézanne, Sisley, Monet, Gauguin, Renoir, au musée Jacquemart-André. Du 15 septembre 2017 au 22 janvier 2018.

Pour la première fois à Paris, une des plus importantes collections d’art français des XIXe et XXe siècles.

Indien (Dix siècles d’aventures sur les mers. Entre Méditerranée et Océan), à l’Institut du Monde arabe. D’octobre 2016 à l’hiver 2017.

Les voyages et les routes parcourues par des marins, des voyageurs et des marchands, tous partant à la recherche de fortunes à bâtir, d’âmes à convertir, et de découvertes à faire...

Une coproduction IMA / MuCEM.

Iverné (Claude). Bilad es Sudan à la Fondation Henri Cartier Bresson. Du 11 mai au 30 juillet 2017.

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J

Jades, des empereurs à l’art déco, au musée Guimet. Du 19 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Jamaica, Jamaica !, au Philharmonie. Du 4 avril au 20 août 2017.

La Jamaïque nous aura tant donné, du reggae au remix, du club au sound system, et c’est loin d’être fini ! Une visite bien rythmée...

Japonaise (Une saison), à la Maison européenne de la photographie. Du 28 juin au 27 août 2017.

Jardins, au Grand Palais. Du 15 mars au 24 juillet 2017.

Claude Monet, Le Déjeuner (détail) vers 1873 Musée d’Orsay, Paris © Photo Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt

Le jardin est une manière de voir la nature, de la mettre en scène, de la penser. Il est une empreinte de l’homme, qui en fait, dès la Renaissance, une œuvre d’art totale capable d’éveiller les sens. Peintures, sculptures, photographies, dessins, installations, environnements sonores et olfactifs retracent 6 siècles de création autour du jardin, avec les participations gracieuses de Dürer, David, Monet, Cézanne, Picasso, Matisse, Magritte...

Jeu de Paume (Toutes les expositions 2017 au musée du)

Jourdain (Du) au Congo. Art et christianisme en Afrique centrale, au musée du Quai Branly, Mezzanine Est. Du 22 novembre 2016 au 2 avril 2017.

Présentation d’un ensemble exceptionnel de 100œuvres kongo d’inspiration chrétienne (crucifix, sculptures, pendentifs gravures et dessins du XVe au XXe siècle, et issues des collections du Musée royale de l’Afrique centrale de Tervuren et de collections privées.

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K

Kazma (Ali). Souterrain, au musée du Jeu de Paume. Du 17 octobre 2017 au 21 janvier 2018.

Partout dans le monde, cet artiste turc filme et photographie les situations, les lieux, et les structures qui montrent la capacité de l’homme à transformer le monde. Avec des questions fondamentales sur l’activité humaine dans les domaines économique, industriel, scientifique, médical, social et artistique.

Kiefer-Rodin, au musée Rodin. Du 14 mars au 22 octobre 2017.

Carte blanche à Kiefer qui investira la salle d’exposition et la cour du musée, provoquant la rencontre de ces deux démiurges, pétris de liberté et affranchis des contingences artistiques. Attirés par l’accident, disponibles au hasard, ils exploitent tous les domaines, manipulent les matières, et s’autorisent nouveaux agencements et mutations audacieuses.

Mêlant le ciment rodinien aux reliques de sa propre vie et à d’autres matériaux inattendus, Anselm Kiefer réalise des vitrines inédites, et sous le verre, l’artiste guette l’étincelle de ses métamorphoses.

Si Kiefer et Rodin se jouent des supports, ils usent des techniques à la fois pour digérer l’héritage du passé et célébrer leur culte commun du travail au travers de leur quête commune, celle d’une vérité jamais embellie.

Kimono, au bonheur des dames, au musée Guimet. Du 22 février au 22 mai 2017.

L’évolution de la mode au Japon de l’époque Edo (1603-1868) à nos jours, à travers la prestigieuse collection de kimono anciens de la maison Matsuzakaya (l’un des plus anciens grands magasins du Japon fondé en 1611) et la réinterprétation de ce vêtement traditionnel par les créateurs contemporains, japonais et européens.

Supports privilégiés de l’expression artistique japonaise, les décors des kimono rivalisent d’audace et témoignent de l’incroyable inventivité des artisans et de l’évolution des techniques de tissage, broderie, teinture ou peinture.

Kollektsia ! Art contemporain en URSS et en Russie (1950-2000), au Centre Pompidou, musée, Niveau 4. Du 14 septembre 2016 au 2 avril 2017 (prolongation).

Plus de 250 œuvres soviétiques et russes contemporaines de 1950 à 2000 réunies par le Centre grâce au soutien exceptionnel et à la générosité de la Vladimir Potanin Foundation.

Koudelka (Josef), la fabrique d’exil, au Centre Pompidou, Galerie de photographies, Forum - 1. Du 22 février au 22 mai 2017.

Josef Koudelka, Invasion, Prague, 1968. Collection Centre Pompidou, Paris © Josef Koudelka / Magnum Photos © Centre Pompidou / Dist. RMN-GP

Josef Koudelka, Invasion, Prague, 1968. Collection Centre Pompidou, Paris © Josef Koudelka / Magnum Photos © Centre Pompidou / Dist. RMN-GP

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L

Eli Lotar, Las Hurdes, 1933, épreuve gélatino-argentique d’époque, 22,8 x 17,9 cm, don de Anne-Marie et Jean-Pierre Marchand 1993, n° inv. : AM 1995-98 (1), collection Centre Pompidou, Paris, MNAM-CCI © Eli Lotar

Lotar (Eli), 1905-1969, au musée du Jeu de Paume. Du 14 février au 28 mai 2017.

Eli Lotar, Las Hurdes, 1933, épreuve gélatino-argentique d’époque, 22,8 x 17,9 cm, don de Anne-Marie et Jean-Pierre Marchand 1993, n° inv. : AM 1995-98 (1), collection Centre Pompidou, Paris, MNAM-CCI © Eli Lotar

Cette première rétrospective sur l’œuvre de ce grand photographe et cinéaste, exposition coproduite par le Centre Pompidou (pour son 40e anniversaire) et le Jeu de Paume, rassemble une centaine de tirages d’époque, et rend compte de la créativité foisonnante des années 1930.

Louvre (Toutes les expositions 2017 au musée du)

Lovegrove (Ross), au Centre Pompidou. Galerie 3. Du 10 mai au 28 août 2017.

Créateur de la coque de l’iMac et des baladeurs du Walkman de Sony : le designer gallois Lovegrove, fondateur, en 1986 à Londres, du studio Lovegrove et Brown, puis du Studio X.

Ludwig van / Le mythe Beethoven, à la Philharmonie de Paris . Du 14 octobre 2016 au 22 janvier 2017.

Une grande exposition consacrée à la postérité de Beethoven, à la présence de sa figure et de sa musique dans les arts, l’histoire et la société de sa mort à aujourd’hui. Monstre démiurge pour les uns, figure du héros pour les autres, chantre de la liberté républicaine, modèle de la puissance inspirée, incarnation de la Création enfiévrée ou parangon de la Douleur sublimée, Beethoven a façonné un imaginaire littéraire, visuel et musical d’une richesse prodigieuse.

De Klimt à Beuys, de Gide à Haneke, de Burne-Jones à Pierre Henry en passant par Hartung, Basquiat et Kubrick, l’aura beethovénienne hante les artistes et ne manque jamais son objet : celui d’électriser le regard, l’oreille et l’esprit.

Le nom de Beethoven désigne aujourd’hui bien plus qu’un objet d’étude historique ou musicologique ; il renvoie avant tout à un imaginaire collectif, à la fois populaire et savant, politique et artistique, dans lequel se mire constamment notre humanité.

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M

René Magritte : Le double secret, 1927 © Centre Pompidou, mnam-cci / Dist. RMN-GP, Photo : G. Meguerditchian © Adagp, Paris 2015

Magritte (René), la trahison des images, au Centre Pompidou. Du 21 septembre 2016 au 23 janvier 2017.

René Magritte : Le double secret, 1927 © Centre Pompidou, mnam-cci / Dist. RMN-GP, Photo : G. Meguerditchian © Adagp, Paris 2015

Autour d’une centaine de tableaux, emblématiques ou peu connus, de dessins, et de documents d’archives, la proposition d’une lecture renouvelée de son œuvre. Dans la ligne des monographies consacrées par le Centre aux figures majeures de l’art du XXe siècle, après Munch, Matisse et Duchamp.

Malani (Nalini), au Centre Pompidou, Galerie du Musée et Galerie d’art graphique, Niveau 4. Du 18 octobre 2017 au 8 janvier 2018.

© Hei tiki (pendant in human form). Gift of Leo Buller, 1911. Museum of New Zealand Te Papa Tongarewa

Maoris (La pierre magique des), au musée du Quai Branly, Mezzanine Est. Du 23 mai au 8 octobre 2017.

© Hei tiki (pendant in human form). Gift of Leo Buller, 1911. Museum of New Zealand Te Papa Tongarewa

Conçue par le musée néo-zélandais Te Papa Tongarewa Museum, l’exposition met en lumière ses très riches collections de jade, et les liens existant entre cette pierre aux vertus magiques et le peuple maori.

Mariano Fortuny, au musée Galliera. Du 7 octobre 2017 au 7 janvier 2018.

Une rétrospective, à travers une centaine de pièces issues du fonds Galliera et du Museo del Traje à Madrid. Diversité d’inspirations (Grèce antique, Moyen-Âge, Renaissance) et talents d’inventeur (la robe "Delphos", en soie unie si finement plissée, se range en boule et retrouve toute sa fluidité une fois dépliée).

Fortuny magnifie chaque coupe de tissu en une pièce unique aux subtils jeux de lumière. Parmi les robes (que portèrent la comtesse Greffulhe et sa fille Elaine, Eleonora Duse, Isadora Duncan), ses savantes impressions à base de poudres métalliques sur velours de soie rendent hommage aux influences byzantines, japonaises, persanes et sont autant d’interprétations de sa collection particulière de textiles et de brocards anciens célébrée par Marcel Proust.

Marker (Kris), à la Cinémathèque. Du 2 mai au 29 juillet 2018.

Romancier, critique, photographe et cinéaste militant, tout dévoué à la cause des peuples.

Salvador Dali, Ruby Lips Brooch, 1949. Broche or, rubis, perles © ADAGP, Paris, 2016

Medusa. Bijoux et tabous, au musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Du 19 mai au 5 novembre 2017.

Salvador Dali, Ruby Lips Brooch, 1949. Broche or, rubis, perles © ADAGP, Paris, 2016

Quand les plasticiens s’emparent de l’orfèvrerie : Meret Oppenheim, Man Ray, Calder, Dali, Picasso, et même Fabrice Gygi et Thomas Hirschhorn.

Méliès (De) à la 3D : la Machine Cinéma, à la Cinémathèque française. Du 5 octobre 2016 au 29 janvier 2017.

Une exposition inédite sur l’histoire de la technique et sur les métamorphoses successives de l’image animée, de la fin du XIXe siècle jusqu’à l’ère numérique.

Roman Polanski, parrain de l’exposition De Méliès à la 3D : la Machine Cinéma sur le tournage de Tess (1979)

Projecteurs, caméras, matériels de studio et de laboratoire, archives, films rares... seront dévoilés dans un parcours à la fois esthétique, technologique et historique, ponctué de projections, de sons et de machines en fonctionnement ou en simulation.

Mérovingiens (Les Temps). Trois siècles d’art et de culture en Gaule franque, au musée de Cluny. Du 26 octobre 2016 au 13 février 2017.

Un large panorama de l’activité intellectuelle et artistique d’une séquence complexe de trois siècles, qui court de la bataille des Champs catalauniques (451) aux derniers « rois fainéants » (751).

Messiaen. Un génie au travail, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs. Du 17 janvier au 5 mars 2017.

Mexique 1900-1950 : Diego Rivera, Frida Kahlo, José Clemente Orozco et les avants-gardes, aux Galeries nationales du Grand Palais . Du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017.

Ángel Zárraga, La femme et le pantin, Óleo/tela, 175.3 x 141 cm, 1909

Un vaste panorama de la modernité mexicaine, depuis les prémices de la Révolution jusqu’au milieu du XXe siècle, complété par des interventions d’artistes contemporains.

Mômes & Cie, à la Cinémathèque française. Du 29 mars au 30 juillet 2017.

Alice au pays des merveilles de Tim Burton (2010)

Une exposition en forme de double voyage à la découverte des liens entre le monde de l’enfance et celui du cinéma : un voyage dans les émotions des personnages d’enfants des films et un voyage dans les émotions des spectateurs.

Les visiteurs traversent l’histoire et la géographie mondiale du cinéma : ils peuvent reconnaître certains films et en découvrir d’autres.

Monet collectionneur, au musée Marmottan. Du 14 septembre 2017 au 14 janvier 2018.

Une passion secrète couvrant des œuvres de Delacroix, Corot, Boudin, Jongkind, Manet, Renoir, Caillebotte, Cézanne, Morisot, Pissarro, Rodin et Signac.

Morellet (François), le retour à la Monnaie de Paris. Du 24 février au 21 mai 2017.

François Morellet déploie son œuvre et vient jouer de la verticalité et de l’inclinaison pour faire basculer ces salons du XVIIIe. Un dialogue entre la vision du grand artiste français avec la collection du Centre Pompidou, l’architecture de la Monnaie de Paris et la Seine, et un hommage qui mettra en scène ses œuvres et projets les plus précurseurs par des installations architecturales sans limite, qui gagneront les ponts et le quai face à la Monnaie.

Moulène (Jean-Luc), au Centre Pompidou, Galerie Sud, Niveau 1. Du 19 octobre 2016 au 20 février 2017.

Mozart. Une passion française, à la bibliothèque-musée de l’Opéra Garnier . Du 20 juin au 24 septembre 2017.

La Flûte enchantée, Opéra Bastille, 2014 © christophe Pelé - Opéra national de Paris

Les grandes étapes de la réception de Mozart et de sa reconnaissance par le public français : fascination, d’abord, pour la précocité de l’enfant prodige ; adaptation, ensuite, de ses œuvres au goût français ; célébration, enfin, d’un génie musical à nul autre pareil. L’accent est mis sur ses principaux opéras à travers une sélection de maquettes de costumes, d’esquisses de décors et de photos de scènes issues des productions les plus emblématiques, du XIXe siècle à nos jours.

Mutations urbaines, à la Cité des sciences. Du 14 juin 2016 au 5 mars 2017.

Aujourd’hui, bien plus que la moitié de la population mondiale vit dans les villes, et cette proportion ne cesse d’augmenter. Comment gérer le vieillissement des populations, la généralisation de l’utilisation des données numériques, les changements climatiques ? Les villes aujourd’hui doivent se transformer pour répondre à ces problématiques...

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N

Nous et les autres, des préjugés au racisme, au musée de l’Homme. Du 31 mars 2017 au 8 janvier 2018.

Nouvel (Jean), mes meubles d’architecte, au musée des Arts décoratifs. Du 27 octobre 2016 au 12 février 2017.

Hommage rendu au travail de designer d’objets et de mobilier de l’architecte Jean Nouvel. Peu d’architectes contemporains ont eu en parallèle une telle œuvre de designer.

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O

Olga Picasso, au musée Picasso. Du 21 mars au 3 septembre 2017.

Entre 1915 et 1937, tandis qu’il partage sa vie avec Olga Khokhlova, danseuse des Ballets russes, Picasso réalise des œuvres majeures, issues notamment de sa période classique.

Avec près de 200 œuvres et 80 images d’archives, cette exposition laisse découvrir cet extraordinaire destin d’Olga et la métamorphose que le peintre fera subir à son modèle au fil de l’évolution de leurs relations conjugales.

Or virtuose à la Cour de France. Pierre Gouthière 1732-1813), au musée des Arts décoratifs. Du 16 mars au 25 juin 2017.

Deux pots-pourris, Pierre Gouthière, vers 1770-1775. Porcelaine de Chine, XVIIIe siècle ; bronze doré © Musée du Louvre

Deux pots-pourris, Pierre Gouthière, vers 1770-1775. Porcelaine de Chine, XVIIIe siècle ; bronze doré © Musée du Louvre

Des œuvres de l’un des plus célèbres artisans du XVIIIe siècle, doreur et ciseleur des rois Louis XV et Louis XVI. 104 objets d’art et 85 dessins et estampes, qui replacent l’œuvre de Gouthière au cœur de la création ornementale de cette époque. En collaboration avec la Frick Collection de New York.

ORLAN en capitales, à la Maison européenne de la photographie. Niveau 3. Du 19 avril au 18 juin 2017.

Une grande exposition de l’artiste photographe et plasticienne.

Orsay (Toutes les expositions 2017 au musée d’)

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P

Palais de Tokyo (Toutes les expositions 2017 au)

Paris 1740. Le comte Carl Gustaf Tessin, connaisseur et savant, au musée du Louvre, Hall Napoléon Haut. Du 21 octobre 2016 au 16 janvier 2017.

Pascal (Figures de), à la BnF, site Mitterrand. Du 8 novembre 2016 au 29 janvier 2017.

Paysage mystique (Le). De Monet à Kandinsky, au musée d’Orsay. Du 14 mars au 25 juin 2017.

Avec des œuvres de Gauguin, Maurice Denis, Monet, Hodler, Klimt, Munch et van Gogh, en osmose avec l’Univers...

Vincent Van Gogh, "La nuit étoilée sur le Rhône à Arles", 1888, huile sur toile, 73 x 92 cm Collection du musée d’Orsay, Paris (France/Bridgeman Images).

Vincent Van Gogh, "La nuit étoilée sur le Rhône à Arles", 1888, huile sur toile, 73 x 92 cm Collection du musée d’Orsay, Paris (France/Bridgeman Images).

Paysages français, une aventure photographique (1984-2017), à la BnF, site Mitterrand. Du 20 octobre 2017 au 4 février 2018.

L’estampe Kajikazawa dans la province de Kai d’Hokusai, 1831-1833 © Musée Guimet/Richard Lambert

Paysages japonais, de Hokusai à Hasui, au musée Guimet - Musée national des arts asiatiques. Dans la bibliothèque historique du 2e étage. Du 21 juin au 2 octobre 2017.

Peintures du Siècle d’or hollandais. La collection Tom Kaplan, au musée du Louvre, Aile Sully. Du 22 février au 22 mai 2017.

Collectionneur américain, Thomas S. Kaplan a réuni, avec cette Leiden Collection, l’un des ensembles les plus complets de tableaux du Siècle d’or hollandais en mains privées : Jan Steen, Rembrandt et Jan Lievens, leur maître Lastman, Frans van Mieris, Gérard Dou, Gérard ter Borch…

Penn (Irving), au Grand Palais. Du 21 septembre 2017 au 29 janvier 2018.

Le photographe américain Irving Penn (1917-2009) s’est rendu essentiellement célèbre pour ses photos de mode, de beauté, mais également pour ses natures mortes et ses portraits.

Élégante simplicité et rigueur remarquable de son travail, du studio jusqu’au tirage auquel il accordait un soin méticuleux. Fidèle à la photographie de studio, il parvenait à créer, pour chaque portrait à réaliser, une véritable intimité avec son modèle.

En partenariat avec le Metropolitan Museum de New York, le Grand Palais célèbre ses portraits de personnalités majeures : Pablo Picasso, Yves Saint Laurent, Audrey Hepburn, Alfred Hitchcock...

Pérou avant les Incas (Le), au musée du Quai Branly. Du 14 novembre 2017 au 14 février 2018.

L’une des découvertes archéologiques de ces dernières années est la révélation de l’existence d’une civilisation antérieure aux Incas. Cette exposition retrace pas à pas la vie de cette civilisation. Les archéologues ont ainsi exhumés des temples et palais, places chargées de la symbolique du pouvoir ; mais également des tombes qui reflétaient les différents niveaux des strates de la société de l’époque.

La femme occupait également une place primordiale dans l’exercice du pouvoir de ces sociétés pré-Incas.

Petit Palais (Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris) (Toutes les expositions 2017 du)

Peyre (Gilbert), l’électromécanomaniaque, à la Halle Saint-Pierre . Du 16 septembre 2016 au 23 avril 2017 (prolongation).

Machines extravagantes, inventives, poétiques, opérant simultanément sur les terrains de l’installation, du spectacle vivant et de l’art contemporain.

Picasso 1932. Année érotique, au musée Picasso. Du 10 octobre 2017 au 11 février 2018.

Présentation de chefs-d’œuvre essentiels dans la carrière de Picasso comme Le Rêve et de nombreux documents d’archives.

L’exposition invite le visiteur à suivre au quotidien, par un parcours rigoureusement chronologique, la production d’une année particulièrement riche. Comme si, selon l’artiste, « l’œuvre que l’on fait est une façon de tenir son journal ».

Picasso 1947. Un don majeur au Musée national d’Art Moderne, au musée Picasso. Du 24 octobre 2017 au 27 janvier 2018.

L’Aubade. Pablo Picasso, 4 Mai 1942. Paris, Centre Pompidou – Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais © Succession Picasso

Présentation des 10 œuvres iconiques offertes par Pablo Picasso au Musée national d’art moderne pour son inauguration en 1947. Des chefs-d’œuvre dont Atelier de la modiste (1926), La Muse (1935) ou L’Aubade (1942). Les œuvres sont accompagnées des archives et documents qui racontent leur création, leur acquisition et leur première exposition.

Picasso, Pablo (Malaga, 1881 – Mougins, 1973). Nu sur fond rouge, 1905-1906. Huile sur toile, 81 × 54 cm. Paris, musée de l’Orangerie, collection Jean Walter et Paul Guillaume © Succession Picasso 2017

Picasso. Bleu et rose, au musée d’Orsay. Du 18 septembre 2018 au 6 janvier 2019.

Les musées d’Orsay et Picasso-Paris, associés pour une exposition-événement consacrée aux périodes bleue et rose de Pablo Picasso, qui ont vu éclore tant de chefs-d’œuvre, et furent particulièrement déterminantes dans la carrière de l’artiste.

Picasso-Giacometti, au musée Picasso. Du 4 octobre 2016 au 5 février 2017.

Alberto Giacometti Boule suspendue, 1930-1931, Bois, fer et corde, 60,4x36,5x34cm Centre Pompidou, musée national d’art moderne, Dist. RMN-GP, photo Philippe Migeat, Centre Pompidou © Succession Giacometti (Fondation Alberto et Annette Giacometti, Paris) / ADAGP, Paris 2013

L’exposition soulignera les relations formelles, amicales et iconographiques qui se tissèrent entre ces deux artistes majeurs du XXe siècle. Une forme de dialogue est envisagé à partir des collections du Musée Picasso et de la Fondation Giacometti. Elle confrontera les approches respectives de Picasso et de Giacometti dans plusieurs des domaines de leur création : peinture, sculpture, art graphique, appuyées de plus des fonds d’archives privées des deux artistes.

Picasso primitif, au musée du Quai Branly. Galerie Jardin. Du 28 mars au 23 juillet 2017.

Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881 - 1973). Nu debout de profil. 1908. Paris, musée Picasso. Photo © RMN-Grand Palais (musée Picasso de Paris) / Thierry Le Mage © Succession Picasso - Gestion droits d’auteur

Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881 - 1973). Nu debout de profil. 1908. Paris, musée Picasso. Photo © RMN-Grand Palais (musée Picasso de Paris) / Thierry Le Mage © Succession Picasso - Gestion droits d’auteur

Deux approches complémentaires révèlent la relation entre Picasso et les arts d’Afrique, d’Océanie, des Amériques mais aussi d’Asie. La première, chronologique, montre les jalons avérés entretenus par Picasso avec les arts non occidentaux, pendant la période décisive de la gestation des Demoiselles d’Avignon (1906-1907), mais aussi, comme le montre sa collection conservée sa vie durant, tout au long de sa création.

L’autre, plus conceptuelle, fait dialoguer la richesse de ses œuvres avec celle de créations d’artistes non occidentaux.

Le primitif ne s’entend plus alors comme un stade de non développement mais comme l’accès aux couches les plus profondes, les plus fondatrices de l’humain.

Pierre magique des Maoris (La), au musée du Quai Branly, Mezzanine Est. Du 23 mai au 8 octobre 2017.

Les riches collections de jade du musée néo-zélandais Te Papa Tongarewa, et les liens existant entre le peuple maori et cette pierre aux vertus magiques. Un parcours d’histoires et de légendes.

Pingusson (Georges-Henri), le modernisme transcendé, à la Cité de l’Architecture. Du 1er octobre 2017 au 30 mars 2018.

Pippin (Steven), au Centre Pompidou, Galerie de photographies, Niveau -1. Du 14 juin au 11 septembre 2017.

Pissarro (Camille). Le premier des impressionnistes, au musée Marmottan. Du 23 février au 16 juillet 2017 (prolongation).

Pissarro. La nature retrouvée, au musée du Luxembourg. Du 16 mars au 9 juillet 2017.

Pissarro s’installe en famille en 1884, à Éragny, et vivra 20 ans au rythme de sa peinture, de sa ferme et de la poésie des champs, recevant ses amis Monet, Cézanne, Van Gogh ou Gauguin. Il adhère aussi aux idéaux anarchistes de la fin du XIXe siècle. Première grande exposition parisienne consacrée à Pissarro depuis 1981.

Plossu (La collection de Bernard), à la Maison européenne de la photographie. Du 9 février au 9 avril 2017.

160 clichés sélectionnés à partir d’une collection de 1 300 photos qui ont fait l’objet d’une donation à la MEP.

Plumes, vision de l’Amérique, au musée du Quai Branly. Galerie Jardin. Du 22 novembre 2016 au 29 janvier 2017.

De la symbolique de la plume dans l’Amérique précolombienne, et de la réutilisation aux premiers temps de l’évangélisation du Mexique par les religieux de l’art des plumassiers pour promouvoir la nouvelle religion. D’autres œuvres seront montrées d’art baroque andin ou même de création contemporaine.

Poème s’expose (Un), la pente de la rêverie, à la Maison de Victor Hugo. De novembre 2016 à avril 2017.

Poincheval (Abraham), au Palais de Tokyo. Du 3 février au 8 mai 2017. L’homme qui s’était vu en ours puis en stylite se montrera alors sous quelle forme ?

Poirier (Anne et Patrick), à la Maison européenne de la photographie. Du 6 septembre au 29 octobre 2017.

Pompidou (Toutes les expositions 2017 au Centre)

Pop Art, Icons that matter dans les collections du Whitney Museum of American Art au musée Maillol. Du 22 septembre 2017 au 21 janvier 2018.

Une sélection d’une soixantaine d’œuvres essentielles du Pop Art : Robert Rauschenberg, Jasper Johns, Claes Oldenburg, Tom Wesselmann, James Rosenquist, Alex Katz, Andy Warhol, bien sûr, sans qui... et des peintures de Jim Dine et de Roy Lichtenstein.

Porcelaine, chefs-d’œuvre de la collection Ise, au musée Guimet / Hôtel d’Heidelbach. Du 21 juin au 4 septembre 2017.

Posing Beauty in African American Culture, au Mona Bismarck American Center. Du 9 mars au 25 juin 2017.

La richesse de l’imagerie africaine-américaine ainsi que la diversité des représentations de la beauté noire à travers le temps et les évolutions culturelles et sociales de 1890 à nos jours.

Pouvoir (L’artiste et le), au musée du Louvre, Richelieu. D’octobre 2016 à juin 2017.

Pouvoir des fleurs (Le). Pierre-Joseph Redouté (1759-1840) & Résonances contemporaines avec les métiers d’art, au musée de la Vie romantique. Du 26 avril au 1er octobre 2017.

Procès Klaus Barbie (Le). Lyon, 1987, au Mémorial de la Shoah. Du 30 mars au 15 octobre 2017.

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Q

Quai Branly (Toutes les expositions 2017 au musée du)

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R

Redouté (Pierre-Joseph) et le goût des fleurs, au musée de la Vie romantique. Du 1er avril au 31 octobre 2017.

Renger-Patzsch (Albert). Les choses, au musée du Jeu de Paume. Du 17 octobre 2017 au 21 janvier 2018.

Ce photographe allemand (1897-1966) serait l’une des plus influentes figures de l’histoire de la photographie du XXe siècle. Son œuvre nous invite à réfléchir sur le nature de la photographie et sur son potentiel artistique et spéculatif dans les problématiques actuelles de l’art.

Révélations, au Grand Palais. Du 3 au 8 mai 2017.

3e édition de cette manifestation organisée par Ateliers d’art de France, qui se place en Biennale des métiers d’art en alternance avec l’exposition Monumental devenue également biennale. 400 créateurs. Invité d’honneur, le Chili.

Rembrandt intime, au musée Jacquemart-André. Du 16 septembre 2016 au 23 janvier 2017.

Autoportrait par Rembrandt (1661)

Rodin : l’exposition du centenaire, au Grand Palais. Du 20 mars au 31 juillet 2017.

Rodin (1840-1917) est l’un des pères de la sculpture moderne. Avant Braque, Picasso, Matisse, il intègre l’accident dans son travail, invente l’œuvre non finie, la figure partielle, l’assemblage et le collage. L’exposition du centenaire fête cet artiste protéiforme, convoque ses collectionneurs, et Carpeaux, Bourdelle, Claudel, Brancusi, Picasso, Richier, pour rendre mieux compte de son génie.

Rodin (L’Enfer selon), au musée Rodin. Du 18 octobre 2016 au 22 janvier 2017.

Plus de 150 œuvres, dont 50 dessins rarement présentés au public, et de nombreuses sculptures restaurées pour l’exposition... pour revivre la création de La Porte de l’Enfer, un chef-d’œuvre dont l’influence allait être considérable dans l’évolution de la sculpture et des arts.

Rouch (Jean), à la BnF, site Mitterrand. Du 26 septembre au 26 novembre 2017.

Figure singulière du paysage intellectuel français de l’après-guerre, il aurait eu 100 ans en 2017. Sa vie et l’ensemble de son œuvre cinématographique et ethnographique.

Rubens, portraits princiers, au musée du Luxembourg. Du 4 octobre 2017 au 15 janvier 2018.

Portait de Marie de Médicis, 1622, Rubens, Musée du Prado.

Pierre Paul Rubens (1577-1640) est un peintre baroque flamand, qui, à la tête d’un important atelier, produisit une œuvre considérable : grands projets religieux, peintures mythologiques, historiques. Il fit des portraits de princes, ceux-ci appréciant sa compagnie, pour son érudition et le charme de sa conversation. Eut-il un rôle de diplomate ? D’espion ?

Autour des portraits de Charles Quint, Louis XIII ou Marie de Médicis réalisés par Rubens et par quelques-uns de ses célèbres contemporains (Pourbus, Champaigne, Velázquez, Van Dyck...), l’exposition laisse entrevoir certaines des intrigues diplomatiques du XVIIe siècle.

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S

Saison Histoires naturelles, au Palais de Tokyo. - Du 14 juin au 10 septembre 2017. Avec :

+ Dioramas, une histoire déconstruite du regard, source d’inspiration inattendue des artistes contemporains.

+ Le Rêve des formes : art, sciences, etc. Une exploration du dialogue ininterrompu, mais truffée d’accidents, entre art et sciences.

+ Et aussi Hayoun Kwon, Gareth Nyandoro, Taloi Havini, Wilfrid Almendra.

Saint Laurent (musée). Ouverture. Octobre 2017.

Saint Laurent (L’Asie rêvée de), au musée Saint Laurent Paris. D’octobre 2018 à janvier 2019.

Saint Laurent (Parcours rétrospectif de l’œuvre de), au musée Saint Laurent Paris. D’octobre 2017 à septembre 2018.

Schönberg (Arnold). Peindre l’âme, au musée d’Art et d’histoire du judaïsme. Du 28 septembre 2016 au 29 janvier 2017.

Sciences pour tous. 1850-1900, à la BnF, site Mitterrand. Allée Julien Cain. Du 25 avril au 27 août 2017.

Astronomie, médecine, sciences naturelles, chimie, aéronautique... Au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, toutes les disciplines scientifiques sont mises en valeur et popularisées. Si elle trouve ses racines dans le courant des Lumières, la vulgarisation scientifique prend toute son ampleur environ un siècle plus tard, alors que se développe la croyance dans le progrès et l’instruction.

Sérénissime ! Venise en Fête, de Tiepolo à Guardi, au musée Cognacq-Jay. Du 25 février au 25 juin 2017.

Alors que la Venise du XVIIIe siècle voit sa puissance politique, économique et territoriale se réduire considérablement en regard de son poids sous la Renaissance, elle connaît un formidable âge d’or culturel.

Falca Pietro (1702-1785), Pietro Longhi (dit), Le Charlatan, Toulouse, Fondation Bemberg © RMN-Grand Palais / Mathieu Rabeau

Comme pour conjurer son déclin qui aboutira à sa reddition face à Napoléon en 1797, la Cité des Doges multiplie fêtes, célébrations et spectacles qui attirent curieux et amateurs de l’Europe entière.

Ces festivités sont de véritables mises en scène et prennent une dimension politique et religieuse, Venise consacrant son attachement au culte catholique comme au pouvoir aristocratique par de grandes réjouissances dans les lieux emblématiques de la ville, de la place Saint-Marc au Grand Canal.

Plus encore que la régate ou le mariage de Venise avec la mer, c’est le carnaval qui fait de Venise un lieu de plaisirs. Cette exposition redonne vie à ces grandes fêtes à travers une soixantaine d’œuvres de Tiepolo, Guardi, Canaletto ou Longhi.

Serrano (Andres), au musée du Jeu de Paume. Du 9 novembre 2016 au 29 janvier 2017.

Un panorama très humain de ses portraits, contemporains mais évoquant aussi la peinture des maîtres du passé, Titien, Delacroix, Tintoret, Vélasquez ou Courbet.

Services Buffon au musée Nissim de Camondo (Les), au musée des Arts décoratifs. Du 13 octobre 2016 au 15 janvier 2017.

L’exceptionnelle collection de services de Sèvres à décor ornithologique, connus sous le nom de « services Buffon », encyclopédie en images peintes sur porcelaine. Elle est exposée pour la première fois en regard de planches des archives Buffon et de volumes d’édition de luxe de l’Histoire naturelle des oiseaux (Paris, Bibliothèque centrale du Museum national d’Histoire naturelle) ainsi que de gravures de François-Nicolas Martinet.

Mortier à décor de "Toucan de Cayenne, dit toco", Manufacture de Sèvres. Provient du service livré le 15 mars 1787 au comte de Montmorin, ministre des Affaires étrangères, pour être offert à Eleanor Eden, épouse de William Eden, ministre plénipotentiaire de Grande-Bretagne. Inv. CAM 292.0544 © Les Arts Décoratifs / photo : Jean Tholance

Mortier à décor de "Toucan de Cayenne, dit toco", Manufacture de Sèvres. Provient du service livré le 15 mars 1787 au comte de Montmorin, ministre des Affaires étrangères, pour être offert à Eleanor Eden, épouse de William Eden, ministre plénipotentiaire de Grande-Bretagne. Inv. CAM 292.0544 © Les Arts Décoratifs / photo : Jean Tholance

Quelque 350 pièces, acquises par le comte Moïse de Camondo, allant du service de table, aux compotiers, en passant par les seaux à glace, mortier, jatte à punch ou tasses à glace... l’occasion de dresser la table de la salle à manger du musée pour 10 couverts avec le service Lefebvre orné d’oiseaux polychromes et camées en grisaille.

Sfar (Joann) - Salvador Dalí, une seconde avant l’éveil, à l’Espace Dalí. Du 9 septembre 2016 au 17 avril 2017 (prolongation).

En 1939, Dalí publie une « Déclaration d’indépendance de l’imagination des droits de l’homme à sa propre folie », en réponse aux censeurs. Il emploie dès lors cette liberté d’expression en favorisant les associations d’idées et d’images spontanées qui donnent à ses œuvres une incomparable puissance imaginative.

Joann Sfar, talentueux conteur, auteur de la bande dessinée Le Chat du Rabbin et du film Gainsbourg. Vie Héroïque, imagine le scénario d’une rencontre artistique avec celui que Brassaï appelait "l’explorateur aussi hardi que lucide de l’irrationnel".

Shoah et bande dessinée, au Mémorial de la Shoah . Du 19 janvier au 30 octobre 2017.

Non sans prudence, erreurs, tâtonnements, mais aussi génie, la BD s’est emparée de la Shoah. Interrogation ici des sources visuelles de ces représentations, de leur pertinence, leur portée et leurs limites (humour, satire).

Sidibé (Malick). Mali Twist, à la Fondation Cartier. Du 20 octobre 2017 à février 2018.

Une grande exposition rétrospective en hommage au grand photographe malien disparu en avril 2016. À côté d’œuvres iconiques, pour la première fois un vaste ensemble de photographies vintage et de portraits d’une beauté intemporelle, retrouvés dans les archives de l’artiste.

Sièges en société, du Roi-Soleil à Marianne, à la Galerie des Gobelins. Du 25 avril au 24 septembre 2017.

Silvestre (Les vues topographiques de Israël), au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas. Du 20 février au 22 mai 2017.

Sites éternels. De Bâmiyân à Palmyre, Voyage au cœur des sites du patrimoine universel, au Grand Palais, Galerie Sud-Est. Du 14 décembre 2016 au 9 janvier 2017.

Arche de Palmyre, reconstruction 3D, image 3D, © Iconem/DGAM

Arche de Palmyre, reconstruction 3D, image 3D, © Iconem/DGAM

Présentation par la Rmn-Grand Palais et le Louvre, sous le haut patronage de l’Unesco, d’une exposition gratuite pour (re)découvrir les splendeurs de grands sites archéologiques aujourd’hui inaccessibles : Bâmyiân, Khorsabad, Palmyre, la Mosquée des Omeyyades de Damas et le Krak des Chevaliers, sites du patrimoine universel sous la menace de conflits.

Sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce, au Palais de Tokyo. Du 3 février au 8 mai 2017.

Ce serpent de "zones affectives" enchaînera ou déchaînera des œuvres de Pedro Barateiro, Isabelle Cornaro, Marie Lund ou Michael E. Smith.

Spectaculaire Second Empire, au musée d’Orsay, Espace Exposition, Niveau 0. Du 27 septembre 2016 au 16 janvier 2017.

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T

Tallon (Roger), le design en mouvement, au musée des Arts décoratifs. Du 8 septembre 2016 au 8 janvier 2017.

Tenue correcte exigée, quand le vêtement fait scandale, au musée des Arts décoratifs. Du 1er décembre 2016 au 23 avril 2017.

Certains vêtements ont marqué une rupture, provoqué à leur apparition de virulentes critiques, voire des interdictions : trop courts ou trop longs, trop ajustés ou trop amples, trop impudiques ou trop couvrants, trop féminins pour un homme, trop masculins pour une femme...

© Simon Belcher- Age fotostock

Terra Data. Nos vies à l’ère du numérique, à la Cité des sciences et de l’industrie. Du 4 avril 2017 au 7 janvier 2018.

Théâtre du mouvement. L’aventure du geste, à la BnF, site Mitterrand. Galerie des donateurs. Du 13 juin au 27 août 2017.

La compagnie "Théâtre du mouvement" a joué un rôle majeur dans l’émergence d’un mime contemporain. L’exposition se propose de reconstituer une démarche artistique à l’esthétique singulière qui fait appel à des techniques diverses et n’hésite pas à dialoguer avec la danse, la marionnette, le théâtre, le théâtre non verbal ou le nouveau cirque.

Théâtre du pouvoir, au musée du Louvre, Petite Galerie du Louvre. Du 27 septembre 2017 au 2 juillet 2018.

Ting (Walasse), le voleur de fleurs (1929-2011), au musée Cernuschi. Du 7 octobre 2016 au 26 février 2017.

Pierre-Auguste Renoir, Mademoiselle Georgette Carpentier assise, 1876, huile sur toile, 97,8 x 70,8cm, Tokyo, Bridgestone Museum of Art © Bridgestone Museum of Art, Ishibashi Foundation

Tokyo - Paris. Chefs-d’œuvre du Bridgestone Museum of Art. Collection Ishibashi Foundation, au musée de l’Orangerie. Du 5 avril au 21 août 2017.

Pierre-Auguste Renoir, Mademoiselle Georgette Carpentier assise, 1876, huile sur toile, 97,8 x 70,8cm, Tokyo, Bridgestone Museum of Art © Bridgestone Museum of Art, Ishibashi Foundation

Des chefs-d’œuvre, notamment de Monet, Matisse et Pollock, nous visitant du fait d’une rénovation de ce grand musée de Tokyo.

Topor (Le monde selon), à la BnF, site Mitterrand, Galerie 1. Du 28 mars au 16 juillet 2017.

Roland Topor, Histoire comme si, 1975. Collection Gérard Klein © adagp, Paris, 2016

Roland Topor (1938-1997), créateur insatiable, mit son crayon au service d’un imaginaire débridé : dessins d’humour, illustrations pour la presse et l’édition, affiches, films d’animation, émissions de télévision, décors, costumes de théâtre, romans, nouvelles, pièces de théâtre, chansons et scénarii de films.

Cette rétrospective fait découvrir la variété de sa production artistique et montre un grand nombre de dessins originaux, rarement exposés, car provenant de collections privées.

Trésors de l’islam en Afrique, de Tombouctou à Zanzibar, à l’Institut du monde arabe . Du 14 avril au 30 juillet 2017.

13 siècles d’influences et d’échanges entre l’islam et l’Afrique subsaharienne à travers 300 pièces patrimoniales jamais montrées (manuscrits rescapés de Tombouctou,…) et œuvres d’art contemporaines monumentales de Rachid Koraïchi, Aïda Muluneh…

Tsar en France, Pierre Le Grand à la Cour de Louis XV (Un), au Grand Trianon . Du 28 mai au 24 septembre 2017.

Twombly (Cy), au Centre Pompidou, Galerie 1, Niveau 6. Du 30 novembre 2016 au 24 avril 2017.

Cy Twombly : Blooming, 2001 - 2008 Courtesy Archives Fondazione Nicola Del Roscio Photo : Studio Silvano, Gaeta © Cy Twombly Foundation

Cy Twombly : Blooming, 2001 - 2008 Courtesy Archives Fondazione Nicola Del Roscio Photo : Studio Silvano, Gaeta © Cy Twombly Foundation
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U

Ungno (Lee), l’homme des foules, au musée Cernuschi. Du 9 juin au 19 novembre 2017.

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V

Valentin de Boulogne (1591-1632). Réinventer Caravage, au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas. Du 22 février au 22 mai 2017.

La première monographie dédiée au plus brillant des peintres caravagesque d’Europe. Il fut l’égal de Poussin, et reçut de prestigieuses commandes des papes. Collectionnée par Mazarin et Louis XIV, son œuvre servit de modèle au XIXe à des maîtres comme David ou Courbet.

Valerian et Laureline, en mission pour la Cité, à la Cité des sciences et de l’industrie. Du 13 juin 2017 au 14 janvier 2018.

Vali Myers devant son miroir, Paris, 1953. Ed Van der Elsken. Épreuve gélatino-argentique. Collection Stedelijk Museum Amsterdam. © Ed van der Elsken/Nederlands Fotomuseum Rotterdam, courtesy Annet Gelink Gallery

Van der Elsken (Ed), au musée du Jeu de Paume. Du 13 juin au 24 septembre 2017.

Vali Myers devant son miroir, Paris, 1953. Ed Van der Elsken. Épreuve gélatino-argentique. Collection Stedelijk Museum Amsterdam. © Ed van der Elsken/Nederlands Fotomuseum Rotterdam, courtesy Annet Gelink Gallery

Une large sélection des images iconiques de son œuvre photographique : celles de Paris des années 1950, des personnes captées pendant ses voyages et dans sa ville natale d’Amsterdam au cours des décennies suivantes, mais aussi ses livres, des extraits de ses films et de ses diaporamas, plus spécialement Eye Love You et Tokyo Symphony.

Van der Elsken photographie et filme ses sujets dans des situations souvent théâtrales et se comporte en metteur en scène, engageant le dialogue avec les personnes qu’il photographie. Il aime provoquer, inciter les gens à accentuer la personnalité qu’il décèle en eux.

Jan Vermeer, dit Vermeer de Delft, La Dentelière (détail) © 2005 musée du Louvre / Angèle Dequier

Vermeer et les maîtres de la peinture de genre, au musée du Louvre, Hall Napoléon Bas. Du 22 février au 22 mai 2017.

Jan Vermeer, dit Vermeer de Delft, La Dentelière (détail) © 2005 musée du Louvre / Angèle Dequier

Les grands chefs-d’œuvre de Vermeer et des maîtres de la peinture de genre du Siècle d’or : Gérard Dou, Gerard ter Borch, Jan Steen, Pieter de Hooch, Gabriel Metsu, Caspar Netscher ou Frans van Mieris. L’insertion de Vermeer dans un réseau de peintres, spécialisés dans la représentation de scènes quotidiennes, qui s’admiraient, s’inspiraient mutuellement, et rivalisaient les uns avec les autres.

Verre, un Moyen Age inventif (Le), au Musée de Cluny, musée national du Moyen Âge. Du 20 septembre 2017 au 8 janvier 2018.

Versailles (Toutes les expositions 2017 au Château de)

Visiteurs de Versailles, 1682-1789 (Les), au Château de Versailles . Du 24 octobre 2017 au 25 février 2018.

Vivre ! La collection agnès b., au Musée national de l’histoire de l’immigration. Du 18 octobre 2016 au 8 janvier 2017.

Quand des œuvres de Claude Lévêque, Henri Cartier-Bresson ou John Giorno en côtoient de Mona Hatoum, Kader Attia et Chéri Samba, offrant un regard sensible sur les histoires de celles et ceux venus d’ailleurs.

Voyage d’hiver, au Château de Versailles . Du 21 octobre 2017 au 7 janvier 2018.

Les jardins de Versailles s’ouvrent chaque année à un artiste contemporain. Après Jeff Koons, Joana Vasconcelos, Anish Kapoor… ce sont 12 artistes, chacun intervenant dans un bosquet sur le thème de la promenade, de la métamorphose de la nature au passage de l’automne à l’hiver, métaphore de notre propre métamorphose.

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W

Jeff Koons, Poodle, 1991, Bois polychrome. Promesse de don des Wagner au Whitney Museum of American Art

Wagner (La collection Thea Westreich Wagner et Ethan Wagner), au Centre Pompidou. Du 10 juin 2016 au 6 février 2017. Musée, Niveau 4.

Thea et Ethan ont promis en don à la Centre Pompidou Fondation 350 œuvres, représentatives de leur vision du mécénat et de leur manière de collectionner, en lien constant avec les artistes. 150 de ces œuvres d’une cinquantaine d’artistes sont présentées. Parmi eux, de grandes figures reconnues de la scène contemporaine (Eija-Liisa Ahtila, Martin Barré, Jeff Koons, Philippe Parreno, Christopher Wool, Heimo Zobernig) ainsi que d’autres dont la pratique s’est plus récemment affirmée (Claire Fontaine, Sam Lewitt, Paulina Olowska, Laura Owens, Josephine Pryde, Danh Vo…).

Certaines œuvres viennent compléter des ensembles existants d’artistes, tels que Ryan Gander et Keith Tyson, d’autres font leur entrée dans les collections du Centre, à l’image de Michael Krebber, Lucy McKenzie et Simon Starling.

Walasse Ting (1929-2010). Le voleur de fleurs, au musée Cernuschi. Du 7 octobre 2016 au 26 février 2017.

Watteau à David, la collection Horvitz (De), au musée du Petit Palais. Du 21 mars au 9 juillet 2017.

François Boucher, Nu féminin allongé, sanguine et craie © The Horvitz Collection, Boston

Wilde (Oscar), l’impertinent absolu, au musée du Petit Palais. Du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017.

Une mise en scène d’Oscar Wilde (1854-1900) dans sa vie et dans son œuvre, grand écrivain d’expression anglaise, parfait francophone, qui écrivit dans notre langue sa pièce de théâtre Salomé dont il destinait le rôle titre à Sarah Bernhardt.

Women House, à la Monnaie de Paris. Du 20 octobre 2017 au 28 janvier 2018.

40 artistes femmes, entre genre et domicile.

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Domaine public. Anders Zorn, la Veuve (En Deuil). Création probablement 1882-1883

Z

Zorn (Anders). Le maître de la peinture suédoise, au Petit Palais. Du 15 septembre au 17 décembre 2017.

Domaine public. Anders Zorn, la Veuve (En Deuil). Création probablement 1882-1883

Avec Carl Larsson, Anders Zorn (1860-1920), qui fut peintre, sculpteur, graveur, fut aussi l’autre figure centrale de la peinture suédoise du tournant du XIXe et du XXe siècle.

Zurbaran à Rothko - La Collection Alicia Koplowitz / Grupo Omega Capital (De), au musée Jacquemart-André. Du 3 mars au 10 juillet 2017.

Kees Van Dongen (1877-1968). Femme au grand chapeau (1906). Huile sur toile. 100x80,5cm © ©ollection Alicia Koplowitz - Grupo Omega Capital. ADAGP, Paris, 2016

52 œuvres, de maîtres anciens et modernes, d’une collection peu connue en France et teintée de féminité : Zurbarán, Tiepolo, Canaletto, Guardi et Goya, mais aussi Toulouse-Lautrec, Gauguin, Van Gogh, Picasso, Van Dongen, Modigliani, Schiele, de Staël, Freud, Rothko ou Barceló, Bourgeois...

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Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.

Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14

Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.

Dans la série Toutes les expositions 2016-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musée d’Orsay, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, et au Petit Palais.

Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016,,2015, 2014, 2013, 2012.

Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers, - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon : Saintes-Maries-de-la-Mer, L’Isle-sur-la-Sorgue - Bègles - Biarritz - Biot, - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Cagnes-sur-Mer, - Cannes, - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco, - Montauban - Montpellier - Mougins, - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Ornans - Rennes : Landernau, Quimper - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire- Saint-Paul-de-Vence, - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne

Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam 2016-2017 : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc Berlin 2016-2017 Bâle 2016-2017 Bruxelles 2016-2017 Genève 2016-2017 Londres 2016-2017 Madrid 2016-2017 Milan, 2016-2017 et Venise 2016-2017.

André Balbo

sources : visites, musées, presse...

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

Pour aller plus loin
lundi 6 mai 2019,    Expositions