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Rodez 2017. Musées et expositions

Formidable musée Pierre Soulages, qui réveilla soudain la ville, avec ses collections publiques, ses prestigieuses expositions temporaires, et l’émulation transmises ainsi aux musées Fenaille et Denys Puech...


Rodez, du département de l’Aveyron, est dans la région Occitanie.

Le Musée Soulages - Rodez

Le Musée Soulages - Rodez. Jardin du Foirail, avenue Victor Hugo, 12000 Rodez. 05 65 73 82 60. musee-soulages.grand-rodez.com. Du 1er juillet au 31 août : ouvert le lundi de 14 à 19h et du mardi au dimanche inclus de 10 à 19h. Du 1er au 30 septembre : ouvert du mardi au dimanche inclus de 11 à 19h. Du 1er octobre au 30 avril : ouvert du mardi au vendredi de 10 à 12h et de 14 à 18h. Samedi et dimanche de 11 à 18h. fermé les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.

En voiture par l’A75 puis la RN88. En train Paris-Rodez ou Paris-Toulouse.
En avion Aéroport de Rodez-Aveyron à 15mn du musée Soulages. Liaisons quotidiennes pour Paris, Ajaccio, Londres, Dublin, Bruxelles.

9 ou 5€ l’entrée aux musées Soulages et Fenaille. Gratuit aux - de 18 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, allocataires du RSA, titulaires du minimum vieillesse, accompagnateur groupe, titulaires d’une carte de presse, de la carte Icom, Icomos, personnel des musées de France, artistes membres de la Maison des Artistes, donateurs. Avec l’abonnement annuel (15€) aux musées Soulages et Fenaille. Exposition Picasso 11€.

Bronze I, 1975. 116 x 86 cm

Le 31 mai 2014, le musée Soulages a ouvert ses portes à Rodez, ville natale du peintre. Acier et cube, matité, splendide. 23M€.

Il abrite les donations exceptionnelles de Pierre et Colette Soulages accordées à la Communauté d’Agglomération du Grand Rodez, plus de 500 œuvres et documents.

Plus de 15 000 personnes visitaient le musée Soulages le week-end de son inauguration, avec les premiers vernissages et les présences de l’artiste et du Président de la République.

... des Ruthénois, mais également des personnes venues des différentes régions de France, parfois de l’étranger, pour découvrir la plus grande collection au monde du maître de l’Outrenoir. Avec parfois près de 5 heures d’attente... Musée magnifique qui nous a enthousiasmé.

+ L’accrochage permanent du musée Soulages fait la part belle aux trois premières décennies de sa création.

La première donation est la plus importante octroyée en France par un artiste vivant. Elle comprend des œuvres de jeunesse (peintures figuratives des « années d’avant » 1934-1938) ; 21 huiles sur toile (sélection d’œuvres des années 1940 à 1970 rendant compte de l’utilisation partielle puis complète du noir), les tableaux de 1946 à 1950 étant les premières œuvres présentées dans des expositions en France, en Europe, et aux États-Unis ; 100 peintures sur papier produites à partir de 1946 (début des peintures abstraites et domination nouvelle du noir, dont les précieux Brous de noix, où flotte le souvenir des statues-menhirs du musée Fenaille de Rodez).

Peu représentées dans les collections publiques, ces œuvres de 1946-1948 comptent parmi les pièces majeures de l’artiste. Les peintures sur papier forment un ensemble unique qui va jusqu’aux gouaches linéaires, épurées, des années 70.

Vous verrez également la totalité de l’œuvre imprimé (49 eaux-fortes, 41 lithographies et 26 sérigraphies) ; 3 bronzes (1975-1977) ; 2 peintures incluses dans le verre (1979) ; la totalité des travaux préparatoires aux vitraux de Conques de 1987 à 1994 ; un important fonds documentaire rassemblé par Pierre Soulages (ouvrages, catalogues, films, archives et correspondances).

En novembre 2012, 2e donation du couple Soulages avec 14 peintures sur toile, certaines d’entre 1946 et 1948, des œuvres importantes de 1964 et 1967, et un précieux Outrenoir de 1986.

+ Du 24 juin au 29 octobre 2017. Calder. Forgeron de géantes libellules. Vernissage le vendredi 23 juin 2017.

Alexander Calder (1898-1976), l’un des plus grands sculpteurs du XXe siècle, est le créateur des célèbres sculptures en mouvement, et notamment de mobiles.

« Roi du fil de fer », il inventa la sculpture en fil de fer avant-guerre, et construisit modestement un cirque miniature... que l’avant-garde dans son ensemble vint admirer.

Mobile, c. 1949 Calder Alexander (1898-1976) © 2017 Calder Foundation, New York / ADAGP, Paris. Musée National d’art moderne, Centre Pompidou, Paris – AM1993-59 Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist.RMN-Grand Palais / Philippe Migeat

Et ce fut ainsi qu’il inscrivit tout naturellement sa sculpture dans le monde de l’art parisien, parmi d’autres grandes figures abstraites comme Mondrian, Léger et Arp. Calder vécu et travailla les 15 dernières années de sa vie, dans son atelier de Saché (en Touraine), dressant des sculptures métalliques monumentales destinées à des villes et des bâtiments de par le monde.

L’exposition, qui rassemble entre 60 et 80 pièces, présentera :

- des sculptures (mobiles, stabiles, des sculptures en « fil-de-fer »), des gouaches, des dessins provenant du Centre Pompidou, de la Calder Foundation (New York), de galeries dont Maeght, de fondations et de musées français et étrangers, de collections privées... mais également d’institutions comme la fondation Maeght ou l’Unesco par exemple, pour la pièce monumentale Spirale (1958) placée dans le jardin devant le musée.

- des portraits de l’artiste réalisés par de grandes figures de la photographie telles que Ugo Mulas, Gilles Ehrmann, Marc Vaux, André Kertesz.

La grande singularité de l’événement est de présenter des œuvres rarement exposées. Salle après salle, l’exposition retrace en touches thématiques de 1925 à 1976 une carrière particulièrement bien remplie et innovante, dans un vrai souci pédagogique adapté à tous les publics.

Alexander Calder est l’un des maîtres incontestés de la sculpture mondiale, des plus petites aux plus grandes dimensions : le titre de l’exposition,
Calder. Forgeron de géantes libellules exprime un oxymore en un raccourci poétique emprunté à André Masson.

La légèreté, l’aérien, et le métal que l’on assemble. Quel monde délicat, dans son instabilité même entre ciel et terre, cherchant par ses propres moyens les moyens de se saisir d’un précieux équilibre mais tout en exaltant le mouvement. Mais aussi une expression de métal, ductile et inventif, des inventions, de la récupération et des couleurs (notamment avec un ensemble de gouaches, moins connues, en un parcours spécifique).

Femme nue (c. 1929). Calder Alexander (1898-1976) © 2017 Calder Foundation, New York / ADAGP, Paris. Musée National d’art moderne, Centre Pompidou, Paris – AM1516S. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Adam Rzepka

Les harmonies de ces mouvements ramènent à la musique que Calder aimait tout particulièrement, comme en témoigne son intérêt pour celle de son ami Edgard Varese.

Commissariat général de l’exposition Benoît Decron, directeur des musées de Rodez agglomération, conservateur en chef, commissaire général. Alfred Pacquement, ancien directeur du musée national d’art moderne, conseiller.

+ Du 2 juin au 5 novembre 2017. Les Soulages du Centre Pompidou

Le Centre Pompidou fête ses 40 ans en 2017. Le musée Soulages (170 000 visiteurs en 2016), s’associe à cet anniversaire en exposant, au sein de son parcours permanent, 9 œuvres majeures de Pierre Soulages, prêtées exceptionnellement par le Centre Pompidou.

Goudron sur verre 45,5 x 76,5, été 1948 - AM2014-4, Soulages Pierre (né en 1919) - © ADAGP, Paris, Localisation : Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne - Centre de création industrielle. Photo © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Georges Meguerditchian

Ces œuvres, datées de 1948 à 2002, ponctuent l’évolution et les recherches picturales de Pierre Soulages. C’est le cas en particulier des rarissimes
peintures sur goudron qui préfigurent la réalisation de l’ensemble des 104 vitraux créés pour l’Abbaye de Conques. Très fragiles, elles quittent le Centre Pompidou pour la première fois. Sont également rassemblés plusieurs
« Outrenoirs ».

Les Soulages du Centre Pompidou forment à eux seuls une exposition au sein de la présentation permanente des collections du musée de Rodez, les complétant en quelque sorte. Les 9 œuvres sont réparties entre la salle des peintures, la salle Conques, et la salle des peintures sur papier.

Musée Fenaille. 14 place Raynaldy, 12000 Rodez. 05 65 73 84 30. musee-fenaille.grand-rodez.com. Du 1er juillet au 31 août 2016 : ouvert du lundi 14 à 19h et du mardi au dimanche inclus de 10 à 19h. Du 1er septembre au 30 septembre 2016 : ouvert du mardi au samedi inclus de 11 à 19h et le dimanche de 14 à 19h. Du 1er octobre 2016 au 8 avril 2017 : ouvert du mardi au vendredi de 10 à 12h et de 14 à 18h. Samedi de 11 à 18h et dimanche de 14 à 18h. Ouvert les jours fériés sauf les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.
Gratuit pour les moins de 18 ans, les étudiants, et le 1er dimanche du mois. Abonnement annuel 10€. À partir du 31 mai 2014, entrée aux musées Soulages, Fenaille et Puech 7 ou 4€. Gratuit aux - de 18 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, allocataires du RSA, titulaires du minimum vieillesse, accompagnateur groupe, titulaires d’une carte de presse, de la carte Icom, Icomos, personnel des musées de France, artistes membres de la Maison des Artistes, donateurs. Abonnement annuel 15€, entrée libre aux musées Soulages et Fenaille.

+ Les collections permanentes. La plus importante collection de statues-menhirs en France. Divinités, héros, dignitaires, ils nous renseignent sur les signes corporels, costume et accessoires portés par les hommes qui les ont érigés. Les figures féminines ont des seins en forme de boutons, des colliers à plusieurs rangs autour du cou et des cheveux tirés en arrière en queue de cheval. Les hommes portent des armes et un baudrier en travers de la poitrine, maintenu à l’arrière par une bretelle qui rejoint la ceinture.

Vierge de l’Annonciation en calcaire polychrome (détail). Photo Pierre Soisson

Des traces des habitants du Rouergue il y a 300 000 ans, aux débuts des travaux du métal, âge de bronze, l’oppidum gaulois Segodunum, chef-lieu des Rutènes, le Rouergue au temps des Gallo-romains, le Moyen-Âge jusqu’à la chute de la maison d’Armagnac, et la Renaissance en Rouergue, art religieux et vie quotidienne aux XVIe et XVIIe siècles.

Le musée Fenaille accueille dans sa collection permanente une sélection de portraits de Madame Fenaille (dépôt exceptionnel de 6 sculptures par le musée Rodin).

Maurice Fenaille, pionnier de l’industrie pétrolière en France, est un amateur d’art éclairé et un collectionneur animé par une grande générosité pour les musées français. Il cultive sa passion en fréquentant des artistes de son temps, achetant des œuvres ou passant commande selon ses goûts et ses centres d’intérêt.

Buste de Madame Fenaille (plâtre), Eugène Druet, épreuve gélatino-argentique, 40 x 30 cm, Ph. 4156, Musée Rodin, Paris

Fenaille rencontre Rodin en 1885 par l’intermédiaire de l’architecte Émile Bastien-Lesage, et devient, au fil du temps, un de ses fidèles mécènes, un ami, et un soutien infaillible pendant près de 30 ans. En 1898, il sollicite le sculpteur, alors au sommet de sa gloire, pour la réalisation d’un portrait de sa femme, Marie. La rencontre avec ce modèle, au port de tête si singulier, donnera naissance à de multiples variations et de nombreuses esquisses qui révèlent les chemins sinueux de la création chez Rodin.

+ Du 20 mai au 31 décembre 2017. L’Affaire Fualdès, le sang et la rumeur

200 ans après l’assassinat du procureur Bernardin Fualdès, l’exposition s’attache à révéler les ressorts et les mystères d’une des plus célèbres affaires criminelles du XIXe siècle. La France et l’Europe suivront cet incroyable feuilleton judiciaire nourri par le regard des premiers correspondants.

Dans un pays usé par les guerres napoléoniennes, marqué par les bouleversements révolutionnaires, agitée par des complots et des conspirations, l’affaire Fualdès agit comme un révélateur, annonçant le mariage entre la presse écrite et les récits de justice, entre le crime et les récits populaires, entre l’encre et le sang.

Au centre de l’histoire, une rumeur persistante constitue le terreau de toutes les affabulations. Les premières lithographies, des bois gravés, de multiples estampes accompagnent l’imaginaire des lecteurs des nombreuses notices, comptes-rendus, mémoires ou lettres publiés autour du procès.

L’affaire connaîtra un immense succès populaire. Les tableaux représentant les principaux accusés entament un tour de France avant d’être dévoilés à Paris. Des représentations théâtrales de rue fleurissent en province. Certains des accusés partiront faire fortune à la capitale en vendant leurs mémoires ou en répondant aux questions des curieux dans des cabinets de cire reproduisant les scènes de l’assassinat. L’artiste Théodore Géricault réalise une série d’études sur le sujet. Une complainte, fredonnée jusqu’à la fin du XIXe siècle, marquera durablement les esprits. « L’effroyable affaire » hantera l’imaginaire collectif et Rodez restera longtemps la ville où « on égorge les gens comme des cochons ».

L’exposition rassemble des documents originaux et inédits provenant de collections privées et bénéficie de prêts d’institutions nationales.

Musée Denys Puech. Place Georges Clemenceau 12000 Rodez, 05 65 77 89 60. musee-denys-puech.rodezagglo.fr. Le musée est ouvert en accès libre, du 1er juillet au 31 août, du mardi au dimanche de 14 à 19h ;
du 1er septembre au 30 juin, du mercredi au dimanche de 14 à 18h ; et fermé au public les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.

+ Le musée. Dès 1903, le sculpteur Denys Puech (1854-1942) forme le projet de réaliser à Rodez "un sanctuaire de l’art Aveyronnais". Après avoir offert à la Ville un fonds important de sculptures et de dessins, il convainc ses amis, le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et le graveur Eugène Viala (1858-1913), de faire don de quelques-unes de leurs œuvres pour constituer les collections du futur musée. En accord avec l’artiste, l’architecte André Boyer dessine les plans du musée. Une façade rythmée par de larges baies vitrées destinées à éclairer le rez-de-chaussée abrite la sculpture. Un escalier monumental mène à l’étage vers la salle initialement destinée aux peintures. Le musée est inauguré en 1911.

Denys Puech (1854-1942). La muse d’André Chénier, 1888, sculpture (marbre). Collection Musée Denys-Puech

Durant toute sa carrière, Denys Puech conserve un style académique très conventionnel. Grand Prix de Rome et fort célèbre de son vivant, il est l’un des sculpteurs officiels de la IIIe République. Ses représentations féminines, caractérisées par une posture alanguie, la tête inclinée laissant s’échapper en vagues une chevelure abondante, sont souvent empreintes d’une grande mélancolie. Il était également renommé pour ses portraits.

Depuis 1987, le musée Denys-Puech s’ouvre à la création contemporaine. En 1989, François Morellet réalise sur les façades Nord et Sud des "intégrations" qui commentent discrètement l’architecture de Denys Puech. Depuis 2005, six chiens jaunes de l’artiste Aurèle s’exposent sur la façade du musée. Les expositions contemporaines permettent également d’accueillir très régulièrement des artistes contemporains pour des créations in situ.

+ Du 8 juillet au 29 octobre 2017. Guy Brunet, réalisateur, La Paravision.

Une exposition organisée en partenariat avec le Lieu Unique, Nantes, et Collection de l’Art Brut, Lausanne.

Guy Brunet (1945), artiste autodidacte, dessine et peint ses propres affiches de film au verso d’affiches de cinéma héritées de son père, autrefois projectionniste et exploitant d’une petite salle. Il découpe aussi dans du carton des silhouettes qui représentent une multitude d’actrices, acteurs, réalisateurs et producteurs auxquels il donne chair et voix en les animant devant d’imposants décors créés par lui-même.


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Vous retrouvez comme chaque année dans PARIS 2017. LES GRANDES EXPOSITIONS de A à Z les différentes expositions annoncées par leurs établissements et musées.

Frederic Leighton (1830–1896) Crenaia, the nymph of the dargle, ca. 1880 Huile sur toile 76.2x26.7 cm Colección Pérez Simón, Mexico © Arturo Piera, Musée Jacquemart-André 09/13-01/14

Dans Le CALENDRIER 2017 des grandes expositions à Paris ces mêmes expositions sont classées par dates.

Dans la série Toutes les expositions 2017-2018 dans les plus grands musées de Paris... lire également :
Au musée du Louvre, au Centre Pompidou, au Grand Palais, au musées d’Orsay et de l’Orangerie, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, au Jeu de Paume, au Palais de Tokyo, à la Bibliothèque nationale de France, au musée du Quai Branly, au musée des Arts décoratifs, à la Fondation Cartier pour l’art contemporain, au musée Guimet, au musée Galliera, au Petit Palais, et au Château de Versailles.

Nous nous efforçons de tenir ces articles à jour, et nous vous remercions des suggestions, précisions, ajouts et corrections que vous pourriez être amenés à apporter à ces programmes.

Nous vous indiquons chaque semaine les nouveautés, les expositions qui fermeront bientôt leurs portes, et... nos préférences, car on ne se refait pas : PARIS EXPOS HEBDO. Nouveautés / Conseils / Derniers Jours.

Vous pouvez consulter plus d’une centaine de présentations d’artistes, classées de A à Z.

Contre l’actualité artistique qui chasse ce que l’on se croyait capable de retenir, les catalogues d’expositions peuvent avoir, quand ils sont faits avec exigence, un rôle certain à jouer. Nous établissons, au fur et à mesure de leur publication, notre sélection des catalogues d’expositions 2017 de Paris, comme nous l’avons fait les années précédentes : 2016, 2015, 2014, 2013, 2012.

Nous vous proposons aussi une sélection de musées et d’expositions 2017 dans les villes françaises suivantes, que nous nous efforçons de tenir assez régulièrement à jour :
Aix-en-Provence - Albi - Les Alpilles - Angers, - Angoulême - Antibes - Arles - Aubagne - Avignon : Saintes-Maries-de-la-Mer, L’Isle-sur-la-Sorgue - Bègles - Biarritz - Biot, - Blois - Bordeaux - Bourg-en-Bresse - Cagnes-sur-Mer, - Cannes, - Carcassonne - Dijon - Grasse- Grenoble - Hyères - Ile-de-France : Auvers/Oise, Boulogne-Billancourt, Bussy-Saint-Martin, Chamarande, Chantilly, Châtenay-Malabry, Compiègne, Écouen, Fontainebleau, Giverny, L’Isle-Adam, Jouy-en-Josas, Malmaison, Marne-la-Vallée, Meudon, Milly-la-Forêt, Noisiel, Pantin, Pierrefitte/Seine, Poissy, Pontoise, Royaumont, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Ouen-l’Aumône, Sceaux, Sèvres, Versailles, Vitry/Seine, Yerres - Le Cannet - Le Havre - Lens - Le Rayol - Le Canadel/Mer - Les Sables-d’Olonne - Libourne - Lille : Villeneuve d’Ascq, Roubaix, Tourcoing, Croix, Graveline, Cassel, Valenciennes - Lodève - Lyon - Marseille - Martigues - Metz - Monaco, - Montauban - Montpellier - Mougins, - Nantes - Narbonne - Nice - Nîmes - Ornans - Rennes : Landernau, Quimper - Rodez - Rouen - Saint-Étienne - Saint-Nazaire- Saint-Paul-de-Vence, - Saint-Tropez - Sérignan - Sète - Strasbourg - Toulon - Toulouse - Tours - Valence - Vallauris - Vence - Vendôme - Villeurbanne

Et juste des musées et expositions temporaires pour quelques villes étrangères : Amsterdam : Harlem, Rotterdam, La-Haye, Bois-le-Duc, Bâle, Berlin, Bruxelles, Genève, Liège, Londres, Madrid, Milan, Monaco, et Venise.

À voir également :
La carte des grandes expositions, musées et collections permanentes en France
La carte des grandes expositions, musées et collections permanentes en Europe

André Balbo

sources : visites, musées, presse...

Informations pratiques
Adresse, horaires, numéro de téléphone, liens...

05 65 75 76 77
lundi 6 mai 2019,    Expositions